Philosophie épicure Sagesse

Adam Smith (1797) «L’origine de la philosophie» Extrait de : Essais philosophiques (traduction française : 1797) Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée

Dissertation de Philosophie "Désirer est-ce nécessairement souffrir ?" Introduction De tout temps, il est souvent admis que le désir se définit comme un manque à combler, à satisfaire. Du latin "dediderare" (regretter l'absence de) et "considerare" (contempler une étoile), le désir est un souhait de l'existence qui peut porter sur une réalité naturelle ou artificielle, matérielle ou immatérielle. Ce manque que l'on cherche à satisfaire peut aussi provoquer des souffrances physiques ou des

logique, thématique)  Par nature, l’essai est l’expression d’une pensée personnelle, l’auteur dit donc "je" et use de modalisateurs. Historique de l’essai : - l’Antiquité : dans leurs écrits, Sénèque, Epicure ou encore Cicéron offrent à leurs lecteurs un art de vivre nourri de sagesse. Les auteurs humanistes proposent une quête de bonheur, de connaissance de soi et du monde. - Au XVI° siècle, Montaigne introduit l’essai dans la culture française : c’est un genre qui se prête bien à l’individualisme

propre mort (…) dans son inconscient chacun est persuadé de sa propre immortalité », Freud, Essais de Psychanalyse La mort est la mort de la mort : Epicuriens Or pour Spinoza, la philosophie est méditation de la vie, sur l’Esprit dans sa plénitude : « L’homme libre ne pense à rien moins qu’à la mort, et sa sagesse n’est point une méditation de la mort, mais de la vie ». Spinoza, Ethique. Pour Sartre, la mort est étrangère à mon existence, elle ne fait l’objet d’aucune expérience. Elle n’est

durablement provoque en lui-même l'accumulation des satisfactions, ce qui le mène au bonheur. ------------------------------------------------- En philosophie[modifier] La tradition philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche

l’homme. B – LE BONHEUR COMME SOUCI DE SOI S’OPPOSE AU BONHEUR COLLECTIF La recherche du bonheur est un thème essentiel de la philosophie hellénistique et des "sagesses antiques". Ce que Michel FOUCAULT a nommé "souci de soi". Ici, c'est l'individu qui est l'objet de la réflexion. Il s'agit de déterminer ce qui rend heureux. Est-ce le plaisir ? Le contentement ? Pour EPICURE, le bonheur s'identifie à l'absence de trouble : on peut être heureux si l'on suit la loi de la nature, c'est-à-dire si l'on

CHARNEAU Cindy 30/04/10 Tle SES - Devoir de philosophie - Sujet : Faut-il libérer le désir ? Ou se libérer du désir ? Le problème ici, est de choisir la meilleure voie à suivre, celle qui puisse nous amener à notre bien-être et à notre tranquillité. Ainsi, faut-il libérer le désir ? C’est- à dire lui ôter toutes

durablement provoque en lui-même l'accumulation des satisfactions, ce qui le mène au bonheur. ------------------------------------------------- En philosophie[modifier] La tradition philosophique occidentale oppose les optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche

Qu'est ce que la philosophie 1. Apprendre à s'étonner -travail : pourquoi faire quelque chose de pénible pour être heureux ? -alcool, fumer... on aimes les choses mauvaises -le masochisme -religion : on adore un être qu'on ne voit pas -la démocratie : plus de hiérarchie comme chez les animaux, or tout le monde n'a pas les mêmes compétences politiques -pudeur + interdiction de l'inceste -guerre -homosexualité, fétichisme. -perversions « l'homme est le seul être qui boit

écrite par Hannah Arendt. Le christianisme comme humanisme : * Epicurisme : Philosophie des plaisirs, ceux qui sont nécessaires et nos besoins naturels, pour trouver lesquels, il faut de la sagesse. (Epicure, Lucrèce, Horace). Pas de but politique. Matérialisme, les dieux existent mais ne s’occupe pas des hommes. Pour éviter de souffrir, il ne faut pas avoir de désirs inutiles. * Stoïcisme : Philosophie de la volonté, il faut considérer ce qui dépend de nous et oublier le reste. (Epictète