Philosophie Voltairienne

les hommes, prévoit, règle leurs réactions. Dans ces conditions, l'homme n'est plus qu'un « jouet » entre les mains de Dieu. Il risque de se désintéresser de la vie, d'abandonner tout mode d'action, de demeurer passif. Et cependant, continuant la philosophie Stoïcienne, Spinosa voit une possibilité de libération dans l'acceptation de l'inévitable: il s'agit de n'attendre rien de la vie et de régler sa volonté personnelle à celle toute puissante de Dieu. La vie morale ne risque t-elle pas alors de

la peau de chagrin Balzac écrivit : «”La peau de chagrin” relie en quelque sorte les “Études de mœurs” aux “Études philosophiques” par l'anneau d'une fantaisie presque orientale où la Vie elle-même est peinte aux prises avec le Désir, principe de toute passion.» Il a choisi la forme symbolique pour exprimer un thème auquel sa pensée a toujours été fidèle : la vie est un capital qu’on détruit d’autant plus vite qu’on est avide de jouissances ; en somme, l’être humain se détruit lui-même. Dès 1830

retour au sommaire   La toile, le support, le pliage     A partir de 1960, Hantaï ne peint plus sur la toile tendue. Il la plie, la froisse préalablement. La toile brute offre ainsi une surface faite d'aspérités, celles des plis plus ou moins réguliers du tissu "chiffoné. C'est cette surface qui est peinte, c'est-à-dire sur laquelle il applique de façon à peu près uniforme la couleur. Les surfaces repliées, plus ou moins serrées et pressées, restent non-peintes, blanches. Cette application,

FICHE LECTURE : Paul VERLAINE : "mon rêve familier", Poemes saturniens, 1866 I. Situation Poèmes Saturniens: Saturne symbole de la mélancholie Section Melancholia Inspirations romantiques: femme idéalisée II. Plan 1. Contraste rêve/réalité 2. Problème de l’identité 3. Thème du temps III. Etude 1. Contraste rêve/réalité · Confusion rêve accompagne la réalité de l’auteur: “je fais souvent” à passivité “familier” mais “étrange et pénétrant” à confusion : il s’agit d’un

convaincant (...) C’est vraiment l’existence dans la rue (…). C’est à vous de dire si ça vous convient ou pas…" G. Deleuze, Cours sur Spinoza du 24/01/1978 Université de Vincennes Dans l'article qu'il lui consacre dans le tome IV de l'Histoire de la philosophie dirigé par F. Châtelet, Deleuze décrit l'empirisme de Hume comme "une sorte d'univers de sciencefiction avant la lettre". Comme dans la science fiction, ajoute-t-il, "on a l'impression d'un monde fictif, étrange, étranger, vu par d'autres créatures;

Peut-on reprocher à une œuvre d'art de ne rien vouloir dire ? Souvent, il nous est arrivé de nous arrêter devant une œuvre d'art et de méditer longuement, cherchant sa signification que nous ne voyions pas. En effet, le sens d'une œuvre n'est pas toujours explicite et il se peut même que l'auteur n'ait volontairement pas donné de signification à son œuvre. Mais la question n'est pas de savoir si une œuvre d'art peut être ou non dépourvue de signification, mais si cela peut constituer un reproche

CORRECTION Y A-T-IL UNE VERTU DE LA RICHESSE ? Vertu que suppose la richesse ; ou qu'elle comprend intrinsèquement. Mais quand mm somme de biens → vocation à s'accroitre. Ce que l'on possède, en regard de quoi la vertu = exigence. Mais en tant que tel, c'est aussi le souci de se conformer à un idéal. Il faut subordonner la rich à la vertu → rapport extrinsèque. Ne pas la limiter à des biens que l'on possède. Il faut se demander ce qui croît. Bien qui ne peuvent etre une rich que s'ils enrichissent

Brouillon commentaire voltaire Micromégas écrit par Voltaire , de son vrai nom François Marie Arouet est un conte philosophique et éponyme paru en 1752 qui s’inscrit parfaitement dans le courant philosophique des Lumières, Dans Micromégas et notamment au chapitre VI que nous allons étudier Voltaire s'amuse à jouer sur les différences de proportions entre des géants et des êtres minuscules comme Rabelais dans le Garguantua ou Pentagruel ou Les Voyages de Gulliver de Swift. Mais derrière

Amélie Yergeau 2011-04-11 Philosophie Hobbes a-t-il raison selon vous d’affirmer que les hommes se méfient naturellement les uns des autres ? Selon moi, je crois que Hobbes a raison d’affirmer que les hommes se méfient naturellement les uns des autres. Si je prends exemple sur ses thèses anthropologiques, la deuxième parle de ce sujet. Cette thèse dit : l’être humain est naturellement libre de se conserver par tous les moyens qu’il juge nécessaires (droit de nature). Si nous sommes

[pic] |Bureau au Maroc | |Pour le dialogue et la coopération entre les cultures | http://www.kas.de/proj/home/events/25/3/veranstaltung_id-39346/index.html [pic]  [pic][pic][pic] |Discussion | |La mondialisation, la communauté et l'individu