Philosophie Spontanée Et Réfléchie

PHILOSOPHIE L’auteur de cet extrait est Henri Bergson, philosophe français du XIXème et du XXème siècle. En 1927, le prix Nobel de littérature lui est décerné. Le texte présenté est celui de la spontanéité de nos actions qui en devenant habitude et monotone nous les font réalisé sans y prendre conscience. On y perd alors la notion de choix car la conscience nous permet de réfléchir et de prendre une décision. On étudie ici le lien entre choix et conscience. Lorsqu’une action s’enchaine on la

|conscience varie en fonction de nos actions. |c| | |En effet la conscience, qui conduit à la conception d'un sujet à part entière, capable de réfléchir, de penser sur lui-même et sur le monde, se |]| | |manifeste-t-elle toujours de la même manière ? Si la conscience est toujours présupposée dans toute pensée et dans toute action, nous n'avons pas| | | |toujours conscience que nous pensons

spirituelle. La conscience distingue l'homme de l'animal Il y a la conscience spontanée ou irréfléchie et la conscience réfléchie. La conscience spontanée: sentiment intérieur immédiat la conscience réfléchie: correspond au dédoublement du sujet se saisissant lui-même en tant que conscience. La conscience définit l'homme de l'animal, l'animal reste en simple sentiment de soi et a l'expérience spontanée où n'émerge pas le moi. L'homme se saisit comme moi, il est conscient de soi. « l'homme

préjugés théoriques de la philosophie (I), sur le sujet comique (II). Les approches philosophiques véhiculent des préjugés que l'analyse psychologique du sujet peut dissiper. Le thème de la spontanéité comique (III) sera ensuite développé au niveau propre (IV) et collectif (V) de façon plus objective. Il s'agira de comprendre le rapport de la conscience propre et de la conscience commune à l'exception. Enfin, seront considérés les effets de l'action volontaire et réfléchie du comique dans la société

vrai de l’âme » écrivait Victor Hugo, penser, voilà le triomphe vrai de l’Homme, pourrait-on dire. Contrairement aux animaux, pour qui l’on peut douter de la faculté de penser, de mettre en œuvre leur conscience, l’homme est de naissance apte à réfléchir ou tout du moins, d’agir en sorte. Mais qu’est-ce, par définition que le fait de penser ? Les traces écrites laissées à ce sujet témoignent d’une concordance de points de vue. Pour Destuit de Tr, par exemple la faculté de penser se résumerait toute

de soi , qui est dans l'usage courant , un sentiment que l'on a de soi. En philosophie, c'est une dimension propre à toute conscience d'être la conscience d'un moi qui se saisit aussi comme sujet de ses propres représentations. Elle correspond au "je pense", soit cogito en latin. Il est utilisé par des historiens de la philosophie et certains philosophes à partir du XXeme siècle pour désigner le principe de la philosophie cartésienne, "La proposition Je suis, j'existe est nécessairement vraie chaque

conscience : condition ou obstacle à la connaissance de soi ? Objet : c’est un être soumis ç un déterminisme physique, biologique et sociologique (Durkheim : le suicide) En philosophie, on considère l’homme comme un sujet. On est conscient de ses pensées et de ses actes : on est maître de soi-même, libre. La philosophie cherche à comprendre l’homme et non à l’expliquer. Mœurs : opinion : comme si indubitable (absolument vrai) vérité : moindre doute, trompant quelquefois : comme si absolument

philosophe français de la fin du 19è et du début du 20e siècle traite de la conscience et montre que l'intensité de la conscience varie en fonction de nos actions. En effet la conscience, qui conduit à la conception d'un sujet à part entière, capable de réfléchir, de penser sur lui-même et sur le monde, se manifeste-t-elle toujours de la même manière ? Si la conscience est toujours présupposée dans toute pensée et dans toute action, nous n'avons pas toujours conscience que nous pensons, que nous agissons

( géographes ). Il n'accepte pas de discussion sur ses thèses, tellement elles doivent être claires, indubitables. Dans l’Éthique, Spinoza se veut dogmatique, il est l'exemple même du dogmatisme en philosophie. Mais est ce que la philosophie peut elle être dogmatique ? Dans le sens où la philosophie est une doctrine qui touche à l'existence humaine. Quand on parle de philosophes dogmatiques, c'est souvent péjoratif. Comment réponde de façon dogmatique à des questions sur la vie humaines, sur le

Sophia = sagesse  Philosophie = amour de la sagesse La sagesse n’est pas un acquis, ns tendons vers elle. Aspect pratique, moral de la sagesse : La sagesse s’exprime à travers une conduite faite de juste mesure qui révèle d’une apparit° qui est relative aux circonstances et aux pers., dc il faut du discernement qui n’est accessible que par l’xp. • Juste mesure : agir selon un juste milieu entre 2 extrêmes, à chacun de l’appliquer selon son obs. • Xp. : rapport pensé, réfléchi ac le tps + Modération