Philosophie Mill La Coutume

ou une doctrine (morale religieuse, philosophie morale, éthique). Les règles morales peuvent se diviser en deux groupes : d'une part, les maximes de la morale personnelle (individuelle) et, d'autre part, les codes de conduite (ou systèmes de principes) partagés au sein d'une communauté culturelle, religieuse ou civile (collectifs). Les règles morales peuvent être vues comme de simples habitudes qui ont fini par s'imposer à un groupe social (mœurs, coutumes), c'est-à-dire des façons d'agir culturelles

déterminer pour lui les doctrine et arguments à entendre. Supposons donc que le gouvernement et le peuple ne fasse qu'un et que ce premier ne songe jamais à exercer aucun pouvoir de coercition, sauf s'il le fait en accord avec la voix du peuple. Pour Mill, le peuple n'a pas le droit d'exercer une telle coercition (par lui-même ou par l'intermédiaire du gouvernement) car ce pouvoir est illégitime : Un tel pouvoir est aussi nuisible lorsqu'il s'exerce en accord avec l'opinion publique qu'en opposition

explication des phénomènes sociaux à partir des seuls comportements individuels. L'individualisme méthodologique s'oppose au holisme. Ainsi, Durkheim distingue deux formes d'individualisme : l'individualisme utilitariste et l'individualisme associé à la philosophie morale de Kant ou à la doctrine politique de Rousseau. Ce dernier concept qui a abouti à la Déclaration universelle des droits de l'homme, ne repose pas sur l'égoïsme mais sur le respect de l'humain. Il contribue à individualisation, et à l’accroissement

rôle. L’expression économie politique est créée au début du 17e siècle et employée à l’ origine selon Charles Gide pour dire que « l’étude de la production économique, l’offre et la demande de biens et services et leurs relations avec les lois et coutumes ; le gouvernement, la distribution des richesses et la richesse des nations incluant le budget. » Pour Léon Walras, l’économie politique se définit comme l’exposé de ce qui est, et le programme de ce qui devrait être. L’évolution de la pensée économique

la conception la plus répandue, l’échange devait être une simple routine régit par des prix « juste ». Le concept de prix « juste » discutée par les théologiens peut être défini de plusieurs façons : globalement c’est un prix correspondant à la coutume et assurant au vendeur un niveau de vie stationnaire conforme à la place attribuée aux diverses classes sociales. Le prêt à intérêts était quant à lui condamné, c’était l’usure (qui était un péché) réservé aux chrétiens. Un certain nombre d’exceptions

rôle. L’expression économie politique est créée au début du 17ième siècle et employée à l’origine selon Charles Gide pour décrire « l’étude de la production économique, l’offre et la demande de biens et services et leurs relations avec les lois et coutumes ; le Gouvernement, la distribution des richesses et la richesse des nations incluant le budget ». Pour Léon Walras, l’économie politique se définie comme l’exposé de ce qui est, et le programme de ce qui devrait être. L’évolution de la pensée économique

racines linguistique. Le mot étymologie vient du grec etumos, qui signifie le sens authentique, vrai, premier du texte et de logos, étude, discours, raison, etc… Le mot éthique vient des mots grecs ethikos, ethiké, habituel et de ethos, habitude, coutume, mœurs. Et en latin de 13iem siècle, on trouve le mot morale, de moralis et mores, qui veut dire les mœurs (habitude de se comporter, conduite en fonction du bien ou du mal) 1.1.1.2 Origines historiques de la distinction… Au moyen-âge la morale

administrations et les organisations publiques, donc l’Etat. Partant de cela, les premières études et analyses concernant ce phénomène ont été établies dans un cadre purement politique, notamment avec des auteurs comme fredrich Hegel, John .Stuart .Mill et Karl Marx. Après, la sociologie c’est intéressé à cette notion avec des sociologues comme Gaetano Mosca, Robert Michels et Max Weber. Ce dernier est considéré comme le fondateur de la théorie bureaucratique. Nous présenterons dans le cadre

Justice occidentale [modifier] Justice et inégalitéLa justice est polymorphe, dépendant des époques et des civilisations. Pour la philosophie occidentale antique, la justice est avant tout une valeur morale. La « justice morale » serait un comportement alliant respect et équité à l'égard d'autrui. Cette attitude, supposée innée dans la conscience humaine serait elle-même à l'origine d'un « sens de la justice », valeur universelle qui rendrait l'être humain apte à évaluer et juger les décisions

morale chrétienne. St Thomas d’Aquir : la propriété est nécessaire car on s’occupe bien de ce qui nous appartient. Au niveau du commerce, l’apport du bien et la cupidité sont condamnable. Le marchand doit vendre un juste prix qui correspond a la coutume et à l’entretien du marchand (ce qu’il a besoin pour vivre). De plus il condamne le prêt à intérêts (le temps n’appartient qu’à Dieu). L’emprunteur et le créancier doivent avoir un comportement chrétien et donc charitable : le créancier prête car