Philosopher Cest

Jean-Jacques Rousseau, né le 28 juin 1712 à Genève et mort le 2 juillet 1778 à Ermenonville, est un écrivain, philosophe et musicien genevois de langue française. Il est l’un des philosophes du Siècle des Lumières, qui a en parti influencé la Révolution française (avec ses travaux sur l’homme, la société et l’éducation). A la mort de sa mère, et après que son père l’abandonne, Rousseau est recueilli par son oncle, un pasteur protestant. Il connaît une enfance et des débuts difficiles. Il reste

Introduction Les gouvernements mis en place après un conflit , nouvellement établis ou de transition ont eu la lourde tâche de faire face au passé et aux violations perpétrées par l’Etat tout en préparant l’avenir en construisant une société démocratique fondée sur l’Etat de droit. Dans de nombreux cas , ce dilemme a été aggravé par les accords de paix qui prévoyaient des amnisties pour les anciens oppresseurs ou par des amnisties que s’accordaient des anciennes élites avant de céder le pouvoir

PHILOSOPHIE : Faut-il se passionner pour la politique ? La politique fait partie, selon Malinowski, de l’organisation sociale, des règles, et des coutumes inhérentes à toute culture. Elle concernerait ainsi directement les individus. Mais faut-il se passionner pour la politique ? « Se passionner » signifie « avoir in vif intérêt pour quelque chose », mais par extension, il est possible de dire qu’une passion pour la politique peut impliquer une certaine forme d’engagement. Il n’est donc pas

efficaces que l'homme peut utiliser pour forcer son côté sérieux (Francesco)   Le rire nous permet de véhiculer les messages les plus durs à entendre par le biais d'une subtile touche de légéreté (Francesco)   Pendant des siècles de nombreux philosophes de Socrate à Descartes se sont interrogés sur la nature du rire en cherchant à trouver l'origine de ce phénomène (Gianrico)   Le rire est une fonction naturelle du corps qui permet de se distraire d'oublier les soucis et d'éviter le stress (Kellie)

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE Sujet : « Peut-on apprendre à vivre ? » Le savoir de la vie. Savoir vivre. C’est une idée que l’on attribue aux philosophes. Les philosophes connaîtraient le savoir de la vie. Mais la vie peut se rapprocher de plusieurs thèmes ; par exemple, une analogie avec la médecine serait à l'œuvre en cette opinion, car pour vivre, l'homme doit être en bonne santé. La médecine disparaîtrait, si l'homme était assuré de ne jamais être malade ou

Exemple de citation : Un)Lorsqu'un homme s'installe avec un travail dans un coin, il abandonne autant de vie qu'il acquiert de connaissance. William Butler Yeats Deux)Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile (Les Géorgiques) Trois)La connaissance de Dieu sans celle de sa misère fait l'orgueil. La connaissance de sa misère sans celle de Dieu fait le désespoir. Blaise Pascal (Pensées sur la religion) Quatre)La connaissance égaye l'âme. Hazrat Ali Cinq)Toute

une proposition ou une théorie est« vraie » lorsqu’elle est conforme au réel et qu’elle peut être attestée par l’observation ou par l’expérimentation. Cette approche est aussi celle de la philosophie, mais jusqu’à un certain point seulement. Les philosophes nous ont appris, depuis Socrate, à nous méfier d’une définition trop étroite, ou trop naïve, de la vérité. La vérité est un fait de langage, et le langage est un système de conventions. Des conventions sont par définition contestables. Et l’on observe

beauté des choses naturelles et celle des oeuvres d'art ? Mais une oeuvre d'art ne peut-elle pas être plus vraie que son modèle, en nous mettant en présence d'une vérité impossible à atteindre par d'autres voies ?Oppositions sur l'art. Ici, les philosophes divergent : certains condamnent l'art comme le règne des apparences mensongères, d'autres considèrent au contraire que l'art nous aide à aimer la vérité, non qu'il l'embellisse illusoirement, mais parce qu'il dévoile la beauté intrinsèque des choses

Le philosophe m’invite à douter de tout, je me rétracte. J’ai en mémoire l’ombre de doutes angoissants, j’ai peur de tenter l’expérience. Alors j’invoque l’idée que douter menace la cohésion sociale parce que tout le monde pourrait faire tout et n’importe quoi s’il n’y a pas de vérité morale. Et si je parvenais à douter radicalement, ne prendrai-je pas le risque de ne plus faire attention à ma santé en ignorant les actions qui la préservent ? A ces réserves quant à l’exercice du doute radical, s’ajoute

« grandeur de l’homme avec Dieu » ou « misère de l’homme  sans Dieu » et Foi et désespoir chez Kierkegaard. De surcroit une telle mise en perspective pourrait fournir un éclairage de la problématique qui prend pour point de départ « le Dieu des Philosophes » ou le « Dieu d’Abraham, d’Isaac ou de Jacob » et s’interroge sur leur correspondance ou leur disjonction,. En effet, le traitement des catégories envisagées par les deux auteurs semblent conduire à deux chemins différents. Si Pascal envisage