Phénoménologie de la religion

diversité L’existentialisme à travers l’histoire La phénoménologie est une source de l’existentialisme ; il s’agit d’une philosophie qui consiste à comprendre l'essence des choses par la conscience. Edmund Husserl est considéré comme le fondateur de ce courant. Pour faire le lien entre la phénoménologie et l’existentialisme, il faut comprendre que l’existentialisme n’est qu’un tiroir dans cette large étagère qu’est la phénoménologie. L’existentialisme est un courant littéraire et philosophique

l'histoire de l'Église du Wurtemberg. De cette année date pourtant un écrit sur la philosophie de la religion de Kant, où Hegel critique aussi bien la position de la dogmatique chrétienne que celle des Lumières, lesquelles "rendent plus intelligent mais non pas meilleur". Le texte appelé Fragment de Tübingen pose la question d'une nouvelle "religion populaire" qui soit en même temps une religion rationnelle13. Berne 1793-1797[modifier] La Junkergasse à Berne (en 2005) où habitait la famille Steiger

électronique de phénoménologie publiée par l’unité de recherche « Phénoménologies » de l’Université de Liège Bulletin d’analyse phénoménologique http://www.bap.ulg.ac.be/index.htm ISSN : 1782-2041 Volume I, numéro 1 Septembre 2005 Sommaire Présentation 3-5 Arnaud DEWALQUE, Denis SERON Quelques réflexions introductives 6-15 Daniel GIOVANNANGELI L’homme en question 16-29 Présentation L’objectif du Bulletin d’analyse phénoménologique est de rendre à la phénoménologie sa vocation première

du Marais poitevin. Sa vie est jalonnée de crises spirituelles qui le conduisent à approfondir la foi catholique dans laquelle il a été élevé. Il projette d’écrire un grand ouvrage pour la conversion des tièdes et des libertins, l’Apologie de la religion chrétienne et en expose le plan dans une conférence donnée à Port-Royal mais gravement malade, il meurt le 19 août 1662. Les fragments trouvés dans ses dossiers seront triés et publiés par ses amis en 1670 sous le titre de Pensées. Homme de foi,

Husserl et Fichte : Remarques sur l’apport de l’idéalisme dans le développement de la phénoménologie* Par Denis Fisette UQAM Département de philosophie (Ce texte est destiné à un numéro thématique de la revue Symposium dont le coordonnateur est Claude Piché.) L’usage consacré du terme « phénoménologie » renvoie à ce mouvement de pensée qui s’est inspiré de la philosophie de Husserl. Mais il suffit de remonter en amont du « mouvement phénoménologique » et de la philosophie husserlienne pour

époque du discours que nous voulons recharger notre langage, .que nous .voulons repartir du plein du langage. Or cela aussi est un cadeau de la « modernité »; car nous sommes, nous modernes, les hommes de la philologie, de l'exégèse, de la phénoménologie de la religion, de la psychanalyse du langage. Ainsi c'est la même époque qui développe la possibilité de vider le langage et celle de le remplir à nouveau. Ce n'est donc pas le regret des Atlantides effondrées qui nous anime, mais l'espoir d'une recréation

incorporelle que représenterait l’âme, capable de dépasser l’essence mortelle de l’homme. Cette dualité corps / âme, dont l’apanage se retrouve dans les religions, est assez critiquée. Gilbert Hottois, dans le chapitre 3 de Essais de philosophie bioéthique et biopolitique, part de cette conception du dualisme ontologique, pour ensuite la dépasser par la phénoménologie et ensuite enchaîner sur l’approche technoscientifique du corps pour ensuite analyser l’aspect de l’intégrité / indivisibilité du corps face au

sa rationnalité. Possède donc principe de la dialectique. Reconnait à Kant d'avoir associé raison et antinomies mais déploire la non reconaissance de l'objectivité de ces antinomies soit la nature objectivement dialectique de la raison. Ds La Phénoménologie la conscience est marquée entre écart subjet et objet. Designe un sujet adossé à un objet et qui tente de vérifier sur lui et en lui la certitude qu'elle se forge à son propos. Au fil de ses expériences, va se réduire le fossé qui sépare la représentation

dans un contexte de lutte entre la phénoménologie naissante et le néokantisme ambiant du début du 20ème siècle en Allemagne. Husserl critiquait en Dilthey (dans un article paru dans la revue Logos) sa théorie qui conduirait au scepticisme et au relativisme. Heidegger, autre phénoménologue, opérait quant à lui une récupération (partielle) de la philosophie de la vie. Cette double posture phénoménologique interroge à la fois sur l’unité de la phénoménologie (Heidegger et Husserl renvoient tous

christianisme et son destin (1798-1799); En 1801 , il devient " privat-dozent " (enseignant libre) à l'université d'Iéna. Hegel, qui compose les Cours d'Iéna (1803-1806), s'enthousiasme alors pour Napoléon, l'" âme du monde " (Weltgeist). La Phénoménologie de l'Esprit (1807), qui exprime cette passion pour l' histoire et l'actualité, deviendra le véritable évangile des temps modernes. En 1808, il est nommé professeur, puis directeur du Gymnase (lycée) de Nuremberg . Il clarifie sa pensée pour l'enseignement