Peut On Atteindre La Sagesse

le droit de mentir chez les gens en situation de pouvoir et ceux qui sont soumis à ces derniers? Peut-on appliquer ce raisonnement à un enseignant versus ses élèves? Les personnes en situation de pouvoir peuvent mentir pour garder les gens unis. Tandis que ceux qui n’ont pas le pouvoir doivent obéir et ne pas mentir car ils pourraient mettre fin au pouvoir, donc à la structure et à l’unité. On ne peut pas prendre cela avec la situation d’un enseignant et d’un élève, puisque si l’enseignant ment malgré

capable d’être juste ? C’est une femme qui t’en fait la question ; tu ne lui ôteras pas du moins ce droit. Dis-moi ? Qui t’a donné le souverain empire (1) d’opprimer (2) mon sexe ? Ta force ? Tes talents ? Observe le créateur dans sa sagesse ; parcours la nature dans toute sa grandeur, dont tu sembles vouloir te rapprocher, et donne-moi, si tu l’oses,

Le bonheur est un état de satisfaction ou de contentement extrême qui peut se fonder sur différents éléments. Le plaisir tout d’abord, même s’il existe des états de plaisir où l’on est pas heureux, voire même où l’on reste malheureux. Il serait donc peut-être réducteur de réduire l’idée de bonheur à une simple accumulation de plaisirs qui restent plus ou moins éphémères. Le bonheur suppose surtout un sentiment plus profond et plus durable d’être en accord avec soi, avec le monde, d’avoir réussi ce

bonheur dépend de nous ? En effet, est ce que le bonheur dépend de notre faculté à nous satisfaire de ce que l'on a ,donc de nous ou est ce que essayer de le contrôler n'es pas une perte de temps car nous n'avons aucuns pouvoir dessus ? Pour atteindre le bonheur il faut être capable de distinguer bonheur et plaisir. Sachant que nous sommes seul capable de le faire il serait donc vrai de dire que le bonheur dépend de nous mais le bonheur est dit éphémère, donc nous ne serions pas capable de le

la lucidité est un obstacle au bonheur, puis que la lucidité est un chemin dur pour atteindre le bonheur et enfin que la lucidité peu amené au bonheur. La lucidité est un obstacle au bonheur. D’après certains philosophes comme Rousseau, la recherche de la connaissance est contre nature, elle va a l'encontre de la nature de l'homme, parce que l'homme chercherait naturellement ce qui est le plus facile a atteindre et commode. En décidant d'accroitre sa connaissance, l'homme va contre ces instincts

dialectique à partir de prémices probables et contingentes, et non par la démonstration. Elle ne se prétend pas connaissance objective et universelle de la vérité, mais peut être une étape dans la genèse de la connaissance, en particulier en matière de connaissance pratique. C’est par et dans le contingent que l’on peut en venir à atteindre l’universel. La connaissance scientifique se fonde ainsi d’abord sur une confiance dans le réel, dans la valeur de l’expérience immédiate. Dans cette considération

un être de raison plutôt que de désir c’est-à-dire qu’il a la capacité a distinguer le Bien du Mal mais aussi de maitriser ses désirs ? Epicure montre que certains désirs non naturels et non nécessaires sont dangereux et empêchent d'atteindre la sagesse et le bonheur, doit on alors satisfaire tous nos désirs sans même réfléchir sur la question ? Ne faut -il pas plutôt procéder a une hiérarchisation de ses désirs ? Toutefois, le désir n'est-il pas l'essence de l'homme, le carburant de son existence

Epicure Introduction : La définition générale du mot riche est : qui possède de la fortune, des biens en abondance, aspirant à un certain privilège. Cependant, dans un sens plus moderne, on peut aussi le définir comme ce qui a beaucoup de valeurs, d’intérêts à nos yeux (la famille, les amis,…). De ce fait, devenir riche n’aura pas la même signification pour chaque individu, car nous avons tous une version différente de ce qu’est la richesse

recherche d’un bonheur et d’une sagesse dont le but ultime est l’atteinte de l’ataraxie. C’est une doctrine matérialiste et atomiste. Epicure a écrit de nombreux ouvrages mais très peu traverseront les siècles. Il laisse seulement trois célèbres lettres dont la Lettre à Menécée. II. Plan du texte La lettre débute avec une sorte d’introduction dont le but est bien visible : Epicure souhaite interpeler son lecteur. Selon l’auteur de la lettre tout le monde peut et a le devoir de philosopher,

du savoir est tout le temps en action et préoccupé tant qu’il n’a pas acquis ce savoir recherché. Selon l’opinion commune, le savoir apparaît comme une cime élevée et inaccessible. Cela dit, savoir n’est-elle pas une condition du bonheur ? Le savoir peut-il nous amener au bonheur sans spécialement rencontrer des obstacles ? Se mettre à la recherche de connaissances qui, une fois trouvées ne procure pas une certaine joie mettrait des barrières à l’aboutissement de ce bonheur. La question se pose