Peut On Agir Moralement

    Définition: est évident ce qui se voit de loin, ce qui crève les yeux, ce dont on ne peut douter. Vous avez à distinguer l'évidence sensible (le fait se voit gros comme le nez sur la figure) et le sens abstrait, l'évidence rationnelle qui entraîne immédiatement l'adhésion de l'esprit. Alors que la certitude caractérise un état mental du sujet, l'évidence désigne une propriété d'un objet. (ce peut être d'ailleurs un raisonnement logique si la conclusion est déduite rigoureusement du point

réelle. À la lumière de ces considérations, nous nous demandons : « Est-ce immoral de pratiquer l’amputation volontaire sur un membre sain? ».Tout d’abord, dans ce cas, plusieurs exigences morales sont impliquées. D’abord, l’amputation volontaire peut être considérée comme une chirurgie esthétique comme une autre ; c’est à se demander pourquoi une augmentation mammaire ou un changement de sexe, par exemple, serait plus moral que l’ablation d’un membre. Ici, c’est l’égalité qui entre en jeu. De plus

Peut-on dire de Lorenzaccio qu’il est un personnage d’action ? Le théâtre romantique désigne un courant théâtral né au début du XIXe siècle en opposition aux principes de la tragédie classique, et caractérisés par des héros romantiques très spécifiques au genre. Un exemple de drame romantique, Lorenzaccio, publié par Musset en 1834, est composé de cinq actes en prose. L’action se déroule à Florence au XVième siècle, et met en scène Lorenzo de Médicis. Peut-on affirmer que Lorenzo est un personnage

parti d’aller raisonner ailleurs des effets et des causes » - « il passa par dessus des tas de morts et de mourants » - « marchant sur des membres palpitants » - « Candide s’enfuit au plus vite » La seule pensée qui le pousse à agir est bien dérisoire face à toute cette horreur : « n’oubliant jamais Mademoiselle Cunégonde ». Ce chapitre se situe au début du conte et Candide est encore pétri des leçons de Pangloss. : tout s’explique dans ce  « meilleur des mondes », tout est

l’industrialisation des pays occidentaux. A l’échelle d’une société, les plus aisés sont davantage responsables des émissions de gaz à effet de serre que les plus pauvres (qui pourtant, en souffre le plus). Ainsi, il apparaît qu’« agir pour le climat revient donc à agir pour les autres, avant d’agir pour soi-même » p.22. F. Gemenne met ici en lumière le décalage manifeste entre nos actions et leurs conséquences qui, lié à une forme d’égoïsme de la majorité, est délétère pour la lutte contre le changement

faire retour sur elle-même, est toujours également conscience de soi. C'est elle qui fait de l'homme un sujet, capable de penser le monde qui l'entoure. CONSCIENCE MORALE: Jugement pratique par lequel le sujet distingue le bien et le mal et apprécie moralement ses actes et ceux d'autrui. CONSCIENCE PSYCHOLOGIQUE : Aperception immédiate par le sujet de ce qui se passe en lui ou en dehors de lui. • liberté : Ce mot, en philosophie a trois sens : 1° Libre arbitre. Pouvoir mystérieux de choisir entre les

sociale au sein d’une société. Par définition le morale sociale véhicule les conceptions du bien et du mal propre à une société ou une culture ; et pourtant ce sujet reste paradoxal : en effet « Est-ce parce que la société l’ordonne que nous agissons moralement ? » « Y-a-il toujours la notion du bien et su mal en dehors d’une société ? » C’est ce que réfute Alain, en critiquant vivement cette théorie : il affirme que nos exigences morales, c’est à dire ce qu’il nous semble juste de faire ou non (éthique)

Conséquence on n’en n’est plus à l’époque de Descartes qui considérer que la penser été toute puissante. Freud est un médecin scientifique qui a fait une observation à partir de trouble médicaux qui invente la cure par la parole. Cette hypothèse que l’on peut guérir en parlant ce sert de la conscience : car Freud c’est bien servit de son intelligence pour former cet hypothèse, il admet donc que l’homme puisse redevenir responsable et donner à nouveau un sens à sa vie. En conséquence au bout du compte il

Le commun ne cesse de répéter que le bonheur est le but de la vie, qu’il faut donc tout faire pour être heureux, et qu’on peut estimer avoir bien vécu quand la vie qu’on a menée peut globalement relever de cette idée. La notion de but signifie qu'une volonté s'est déterminée par une représentation. Si le bonheur est le but de la vie, cela peut donc signifier ou bien qu'il y a un Dieu qui veut que la vie débouche sur le bonheur, auquel cas c'est plutôt du souverain Bien (union du bonheur et de la

des moralisateurs, nous étudions la morale. On ne promeut pas un certain code éthique par rapport aux autres ; on analyse d’une manière critique des différentes approches éthiques, on clarifie les concepts, on débat les cas problématiques. Cela ne peut se faire sans un esprit ouvert et sans la capacité de d’examiner les différents arguments et approches et les évaluer d’une manière critique. La seule autorité doit être ici l’autorité de bons arguments. Chaque cours débutera par une présentation