Peut On Agir Moralement

durablement content de son sort, aussi les gens heureux n'ont rien à dire été ne se plain de leur sort au contraire. Donc, maintenant les explications, ce n’est pas seulement le mérite qui peut me rendre heureux été ce n’est pas non plus ce qui va m’empêcher de l’être. Surtout que contrairement à la vertu on ne peut pas se tromper, pour savoir ce que c’est, on l’est ou l'on ne l’est pas. Par exemple, il y a 50 ans la vertu pour les femmes était de rester à la maison de s’occuper des enfants et de la

pourquoi s’intéresse t-on à la politique ? Quels avantages cela apporte t-il, et à qui ? La politique est-elle nécessaire pour un gouvernement correct ? Si l’on peut s’intéresser à la politique sans aucun problème, ne pas s’y intéresser n’est pas non plus puni par l’Etat. Mais a-t-on vraiment le droit de tourner le dos à la politique ? Peut-on ne pas s’intéresser à la façon dont notre pays est gouverné, ne pas participer à son bon fonctionnement ? Est-ce vraiment sain d’ignorer tout du sujet, de n’avoir

obeir. Mais alors que les moeurs varient avec les cultures et l'époque, la morale peut se definir comme un ensemble de conduites permises à l'homme. Dès que l'on fait quelque chose que n'est pas moralement bonne, on aura une punition. Le regard des autres compte sur nous. L'éthique nous enseigne où est notre bien, cet une sagesse qui a comme fin le bonheur et une sagesse veritable. Être sagesse signifie être moralement bon mais aussi avoir tous les autres aspects qui font l'homme un ê parfait. Dans

conscience = idée neuve (XVIIe siècle → siècle du rationalisme)Descartes : premier à affirmer que l’homme a une conscience. Être conscient c’est dire que l’homme est avant tout un individu, il est unique. L’homme est un sujet libre qui peut se détacher du monde, voire s’y opposer. Il ne se réduit pas à ce qu’il est pour le monde, il se pense indépendamment du monde extérieur - les artistes montrent ces idées avant tout le monde : → Montaigne : l’individu devient une réalité évidente

rester fidèle, sans par là-même porter atteinte à la moralité. La fidélité est-elle fondée, à la fois moralement et dans l’être de l’homme ?La question qui nous est posée comporte une certaine ambiguïté : en effet, elle demande si on doit rester fidèle. Tout se passe donc comme si devoir d’être fidèle ne faisait pas problème : la difficulté porterait seulement sur le fait de le rester. Ainsi peut-être que " être fidèle " est une vertu, mais pas " le rester " ? La difficulté de cette distinction est

renvoie au cas où nous ne sommes soumis à aucune loi. Nous avons une liberté d’action, une autonomie absolue. L’individu fait son propre choix, que se soit des idées ou des positions. D’où cette forte contradiction entre le devoir et la liberté. On peut dégager un paradoxe, d’un coté le devoir ne semble pas être un choix, alors que de l’autre faire son devoir semble être un choix. Avons- nous le choix en faisant notre devoir ? Ici nous voulons avoir le choix. Faut-il atteindre la liberté ? Ne sommes

concevoir le monde et une manière de penser. L'affranchissement est toujours limitée et compensée, de manière à ne pas mettre en péril les systèmes qui s'appuie sur l'esclavage. L'esclave nous paraît aujourd'hui tellement monstrueux que l'on ne peut s'empêcher de penser qu'il a ou aurait du logiquement dû disparaître avec l'industrialisation, c'est a dire, le remplacement progressif de l'homme par la machine moins productif, le condamnent ainsi pour des raisons économiques, à disparaître progressivement

L’homme injuste peut-il être heureux ? Injuste : qui n’est pas conforme à la justice, à l’équité. Qui est contraire à la justice. Le sentiment d’être heureux, lié au bonheur. Le bonheur : composé de bon, qui provient du latin bonus (« bon ») et de heur qui signifie « destin favorable » et qui provient du latin augurim (« augure, présage, prophétie »), le terme de bonheur signifie à l’origine le bon augure, c’est-à-dire la bonne fortune, la chance. Il désigne en général un état de pleine satisfaction

comprenait que ce qu'il avait fait n'était pas un comportement socialement admis. Donc il savait ce qu'il faisait. On ne connaît pas forcément le sens qu'attribue autrui à nos actions mais on connaît toujours le sens qu'on y attribue soi-même. Ainsi, on peut toujours savoin ekjfdiekpkeJe peux ne plus être totalement responsable de mes actes. Notamment, par passion ou par jalousie, je peux commettre un crime : un crime passionnel donc. Les crimes passionnels sont souvent moins sévèrement punis devant la

conduirait chacun à agir comme il le souhaite au mépris de ses semblables. Comment donc vivre libre, sans interdiction ni contrainte et avec les autres dans une société harmonieuse. Nous verrons qu’être libre s’apprend. Définissons la liberté La liberté désigne la capacité à agir en conformité avec soi-même, sans que rien ni quiconque n’interfère. La liberté est une capacité, cela suppose que nul n’est obligé de faire usage de sa liberté. Il existe différents degrés de liberté dont on peut plus ou moins