Petite Dialogue Comique

Récapitulatif : La parole au théâtre (exposé) Les différents « types » de paroles au théâtre | Leurs fonctions théâtrales | Exemples | Le dialogue :Conversation entre deux ou plusieurs personnages (ou style direct). | Le dialogue entre les personnages permet petit à petit de les caractériser : avare/infidèle…/malheureux. | ALBERT (se levant) - Si on allait manger ! HENRI - Bonne idée. Je meurs de faim. Il ferme son livre avec tant de force qu'il en fit sursauter les autres lecteurs. (didascalie)

plein d’exagérations - Sganarelle Se prend pour un artiste -> métaphore filée grossière/comique - Souhaits de Sganarelle Rapport avec fin du texte - Sganarelle se plaint -> mais grandeur Dom Juan le soumet -> (trois phrases) rythme ternaire -> gradation -> impuissance, lâcheté, hypocrisie -> Dom Juan > volonté humaine - Dom Juan arrive-> comique -> Sganarelle vient d’avouer sa lâcheté et en fait preuve-> Comique du valet bouffon   2 personnages peu sympathiques -> Maître monstre, Valet ridicule

étonnante et fondée sur l'absurde. Elle mêle la dérision et l'angoisse. I.UNE SCENE COMIQUE A.Le comique de gestes • La saynète du début, lorsqu'Estragon est seul sur scène. Passage qui peut être à la fois comique ou tragique, cela dépend du jeu de l'acteur. • Les problèmes de prostate de Vladimir → il marche les jambes écartées : posture ridicule qui fait partie du comique scabreux → « VLADIMIR (s'approchant à petits pas raides, les jambes écartées) » (l.7) • Les répétitions de l'action d'Estragon

entier, aspect métaphysique . L'espace scénique n'existe que par ses fonctions qui se superpose. 1) des personnages sans identité C'est la première caractéristique du personnage beckettien. Chez Beckett le personnage ne se construit pas par son dialogue. Le personnage traditionnel n'existe que par sa psychologie, or chez Beckett ce n'est pas du tout ça : il n'y a aucun encrage historique, pas de repère sociale, pas de repère temporel = on ne sait pas comment situer ses personnages. Ils sont réduits

morales claires que venait animer une histoire simple et vivante. Dans la fable Le loup et le chien, le fabuliste nous raconte la rencontre d’un loup affamé et d’un chien égaré. Comment La Fontaine réussit-il à rendre cette rencontre vivante et comique tout en y ajoutant une morale nécessairement ambiguë ? I/ L’art du conteur 1) Aspect dramatique de la situation Deux adversaires : - un loup affamé : « L’attaquer, le mettre en quartiers. Sire Loup l’eût fait volontiers » Infinitif, rythme

passé. | |Cid. | | |- Revoir les formes du|d'E. Rostand (II,9) | | | | | | |comique. | | |- Le langage | | | | | | | |classique.

Fiche de lecture 1) indications générales : Marivaux de son vrai nom pierre Carlet de Chamblain de Marivaux auteur français né en 1688 et mort en 1763. Il est issu de la petit noblesse son père travaillait dans l administration de la marine. Il a reçu une éducation classique. Il fait des études de droit mais rapidement il s’oriente vers la littérature. Ces œuvres sont nombreuses et variées. Marivaux écrit des romans, des poèmes, des pièces de théâtre mais également des chroniques journalistiques

Polyphonie dans ce premier § : un narrateur (= auteur ?), Jacques, le capitaine de Jacques, et le lecteur (?) à travers les questions. * Relation maître-valet : le maître est plus effacé puisque ne dit rien. C’est donc Jacques qui va mener le dialogue. Proposition assez laconique pour le maître mais plus longue concernant Jacques, avec phrase enchâssée comme les voix. * La fatalité du titre est évoquée à travers les propos du capitaine. LE MAÎTRE—C’est un grand mot que cela. JACQUES—

, une pièce théâtrale comique conçu par Molière en 1668, a été écrite pour le Roi Louis XIV pour une occasion spéciale : de retour au pays, le Roi souhaiter fêter la victoire de la France après avoir pris possession de la Franche-Comté et signé le traité d'Aix-la-Chapelle. Louis XIV souhaite donc célébrer cela avec sa cour en organisant une grande fête à Versailles, le « Grand Divertissement royal ». Pour ce grand évènement, Molière a conçu une pièce comique et musicale, dans laquelle il

 » ⇨ l’espace est une composante essentielle (sens étym) du théâtre. 2) Un espace clos, nu, vide étouffant, sans issue : espace carcéral, abstrait Espace scénique : nu (sans meubles ) : espace clos (intérieur) , Murs droite et gauche ; petites fenêtres haut perchées ( pas de hors champ, l’extérieur est inaccessible, pour le spectateur et le personnage), rideaux fermés – tableau retourné ⇨ pas d’issue possible – seule porte vers la cuisine de Clov ( 3 mètres sur trois mètres sur trois