Petite Dialogue Comique

S’entraîner à la question sur un corpus 1) Dans ces scènes, le comique repose sur le comique de situation grâce aux quiproquos, le comique de gestes et le comique de mots. Le comique de situation du texte 1 repose essentiellement sur le quiproquo qui règne entre l'abbé qui veut avoir l'avis de la baronne sur son sermon, et cette dernière qui répond à côté, plus préoccupée par la recherche de son fil que par les questions de son interlocuteur. L'abbé, de son coté, a du mal à suivre

UE 32 – séance du 2 nov. 2010 - Commentaire d’un dialogue comique Molière, Le Misanthrope, Acte I, scène 2 (extrait) Alceste, « le misanthrope», cultivé et homme de goût, est sollicité par Oronte, un mondain, qui se mêle de poésie et lui demande son sincère avis sur le sonnet qu’il vient de composer. Philinte, ami d’Alceste, assiste à la scène. (…) ORONTE « Sonnet... » C'est un sonnet. «L'espoir... » C'est une dame Qui de quelque espérance avait flatté ma flamme. « L'espoir... » Ce ne sont point

géant habitant de Saturne. À l’extrême fin, ils découvrent la petite planète Terre et ses habitants, les humains. Ils partagent leurs pensées et leurs points de vue sur la question de l’âme. Enjeux : Une fin énigmatique, ouverte L’intérêt d’un dialogue pour confronter les points de vueLe rôle du comique dans l’argumentationUne critique de l’orgueil humain face au savoirMouvements : 1) L. 1 à 16 : Dialogue à propos de l’âmea) Interventions des différents sagesb) Intervention

jeux de mots, ils plaisantent et vers la fin du passage, le père Goriot se fait un peu ridiculiser. Ce bout de texte prend une tournure comique dans la manière avec laquelle l’auteur fait parler les personnages. Champs lexicaux Le repas : poêle, cuiller, assiette, table, farine, pain, potage, soupe aux choux..L’odorat : sentir, humer, flairer, nez Le comique : drolatique, plaisanterie, farce, bêtise L’argent : commercial, économe, payer, cher Découpage en partie du passage Nous avons découpé

La Cantatrice Chauve, Ionesco (1950) Sommaire I. L’auteur, ses sources et la réception de son œuvre II. Le comique de la pièce III. La cantatrice chauve : une « anti-pièce » IV. Le message de l’œuvre : l’absurde de la société V. L’explosion du langage I. L’auteur, ses sources et la réception de son œuvre Eugène Ionesco est né le 26 novembre 1909 et mort à Paris le 28 mars 1994) est un auteur dramatique et écrivain français d'origine roumaine. Il est élu à l'Académie française en

soit fondés Comment le texte théâtral, texte écrit pour être représenté, rend-il compte de son époque ? I- Un dialogue dans lequel le valet critique le libertinage de son maître II- Un valet qui apparaît pourtant comme le personnage ridicule de la pièce Le plan détaillé : I - Un dialogue dans lequel le valet critique le libertinage de son maître Un dialogue qui révèle la supériorité du maitre Le tutoiement (l.1) / vouvoiement (l.2) → différence de classe sociale

en scène des personnages ridicules et grotesques, et utilise les ressorts scéniques comiques de la commedia dell’arte pour contribuer au développement de comédies nouvelles dont le rire devient l’instrument privilégié d’une critique lucide de la société. Ainsi, c’est à la lumière de deux œuvres issues de la seconde moitié du dix-septième siècle, âge d’or du classicisme que nous pourrons aborder l’étude du comique et de ses procédés en classe de cinquième. Tout d’abord, Georges Dandin, qui est joué

Question d'oral: qu'est ce qui fait le comique de la scène 7 de l'acte 1 ? INTRO: Dans mon expose, je vais parler de la scène 7 de l'acte 1 de la pièce de théâtre du mariage de figaro de Beaumarchais. Plus précisément de ce qui rends cette scène comique. Dans cette scène nous avons deux personnages : Chérubin et Suzanne. Seul ces deux personnages interviennent dans la scène. En effet il y a un long dialogue entre Chérubin et Suzanne. Le jeune garçon dans cette scène incarne a la perfection

scène d’exposition. Après avoir entendu Sostrate se lamenter alors qu’il se croyait seul, Clitidas se donne pour mission de découvrir le mystère derrière cette mélancolie amoureuse (p. 9 : « Ah ! Mon cœur, ah ! ») CARACTÉRISATION : À travers ce dialogue entre Sostrate, l’illustre général de basse naissance, et Clitidas, le valet bouffon de la cour d’Aristione, la scène d’exposition

d'un quart d'heure" jusqu'à la fin) Une grande partie du texte est rédigée sous la forme d'un dialogue au style direct, comme au théâtre, les paroles des personnages sont rapportées à l'aide de signes et de dispositions typographiques spécifiques (tirets, passages à la ligne). L'écrivain a évité l'usage des guillemets et il y a peu de verbes de déclaration, ce qui rend le dialogue plus vivant. Les personnages sont fortement typés : dans la lutte qui oppose tout au long du roman