Petit Chapron Rouge

plus fort et toujours la meilleure », on est en droit de se demander si l’on peut qualifier cette morale de vérité générale. Pour bien comprendre les sens des histoires il faut bien savoir que tout n'est pas là au hazarre -Comme pour "Le Petit Chaperon Rouge" le fait de partir de chez elle jusqu'a passez dans la forêt pour apres aller voir le loup chez sa mère grand signifie un passage de l'adolescence. En étant jeune on ne voit pas ce côté détourné de l'histoire. Conclusion : Leurs avantages

« Quel plaisir de raconter des contes et de créer ainsi ce rituel chaleureux et merveilleux qui fait la magie de l’enfance.  » Les contes concernent donc les enfants car les récits sont très bien adaptés pour eux et ils plaisent rapidement au tout petit. On y trouve un aspect manichéen, imagé et symbolique, cette vision simplifiée et dichotomique du Monde ( le faible, le fort - le gentil, le méchant - le pauvre, le riche - le vilain, le beau) et c'est tout ceci qui en fait une littérature facilement

à étudier un conte traditionnel et ses différentes réécritures. Nous sommes de ce fait rendues aux bibliothèques de nos villes respectives afin de voir quels livres seraient les plus réécrits. Nous avons ainsi trouvé Hansel et Gretel, Le Petit Chaperon rouge, Peau d’Anne et Boucle d’Or. Néanmoins, nous voulions des contes que nous n’avions pas encore étudié. Nous avons ainsi hésité entre Peau d’Anne et Boucle d’Or et les trois ours. Finalement, notre choix s'est dirigé vers Boucle d’Or du fait

I. Auteurs, périodes, et motivations différentes A. Charles Perrault, les frères Grimm CHARLES PERRAULT (1628-1703) Il était une fois, dans la grande ville de Paris, une petite famille appartenant à la bourgeoisie parlementaire. C’est dans cette petite famille que naquît en 1628 un petit garçon, Charles Perrault. Charles grandit vite fit ainsi des études littéraires au collège de Beauvais où il sera diplômé d’une licence de droit. Il se fait remarquer par des poésies galantes et des écrits

d’enfants. » (fin) B. les personnages du conte On retrouve l’imprécision (indétermination) des contes : Les personnages ne sont pas décrits physiquement. Les personnages principaux portent des prénoms « Jeannot et Margot » ou des surnoms « le Petit Chaperon rouge », « Blanche-Neige », « Grincheux »… Les personnages secondaires sont désignés par des noms communs (« la mère ») ou des groupes nominaux (« le pauvre bûcheron »). C. le merveilleux dans le conte Le monde du conte merveilleux ne ressemble

Janie et Armand Langlois. Puis il y a des adaptions au théatre comme ici. Mais cette pièce n'est pas qu'une réécriture de Cendrillon, Joël Pommerat est allé plus loin en abordant les questions douloureuses liées à l'enfance comme dans le « Petit chaperon rouge » ou encore « Pinocchio ». Puis Joël Pommerat à réécrit ce texte d'une façons moderne, en effet il y a introduit un langage familier avec des expressions du XXIème sciècle. La critique - «  La simplicité » L'histoire part d'un mal entendu

Balzac et la petite tailleuse chinoise L’auteur Dai SIJIE fait l’éloge tout au long du roman de la culture occidentale et orientale contre la barbarie qui règne durant la révolution culturelle chinoise et qui a censurée le monde artistique et supprimée beaucoup de liberté de 1966 à 1976. La culture dans le livre représente la littérature, le cinéma, la musique . Plusieurs exemples dans le livre le montrent. La culture est décrite de manière méliorative car elle permet aux personnages de voyager

certaines modifications. Le petit chaperon à été l’objet de nombreuses réécritures dont une de Ferron qui s’écarte sensiblement des versions classiques du conte, même s’il s’inspire du celui de Perrault et des frères Grimm de part le reprise de certaine répliques et de mises en scène, la version de Ferron apparait comme bien plus complexe. D’une part parce qu’un personnage y est rajouté et d’autre part parce que le rapport entre les personnages est différents Chapeau rond rouge : Ecrit par Geoffroy

la stratégie du détour. Le détour peut se décliner sous différentes formes, par exemple en imitant une peinture célèbre. Un autre exemple, serait une des publicités de Chanel, détournant le conte de Charles Perrault ou des frères Grimm, Le petit chaperon rouge, pour attirer l’attention des téléspectateurs sur le produit vendu qui n’est autre qu’un parfum. Il n’y a aucune intention de cultiver l’auditoire mais plutôt d’intéresser et d’émouvoir autour du parfum. La Joconde de Léonard de Vinci est l’œuvre

Esope. 3 Et enfin, même si l’enfant ne comprend pas tout, il en comprendra toujours une partie, on peut très bien envisager que certaines œuvres aient différents niveaux de lecture, un pour chaque âge, un pour chaque moment de la vie : « Le petit chaperon rouge » a ainsi deux destinataires : la 1ère version s’adresse directement aux parents et les engage à ne pas laisser leur progéniture vagabonder seule dans les forêts Même si on ne comprend pas les références historiques ou culturelles de La Fontaine