Personnage Sur Fond Bleu

Notre Dame (au fond à droite). La lumière du soleil couchant se mêle à la fumée des canons. b) Couleurs Au centre de l’œuvre, la Liberté et le drapeau qu’elle porte sont fortement éclairés. Aussi la lumière de l’arrière plan la met en valeur. En bas du tableau, les couleurs sont plutôt sombres, c’est en accord avec le thème morbide. Dans l'ensemble du tableau, la palette de couleurs utilisées est homogène : des bruns et des beiges où uniquement les couleurs plus franches tel que le bleu, le blanc,

On assiste à la naissance d'une passion pour une femme mariée que le jeune homme idéalise directement. Comme toujours chez Flaubert, on trouve une description qui se fait à travers le regard de Fréderic et le narrateur se joue avec ironie de son personnage et de sa médiocrité bien réelle, sous ses idéaux de jeunesse. On a donc une focalisation zéro, puisque le narrateur glisse des remarques. Le roman s’inspire d’une expérience personnelle de l’auteur qui à 15 ans va tomber éperdument amoureux d’une

et de son enfant . Au second plan, le fond est très sombre, ne permettant pas de reconnaître un endroit en particulier. On voit une ligne de force diagonale au niveau de la main de la femme, ce qui évoque pour nous une attitude de protection envers l'enfant et une seconde plutôt pyramidale au niveau de l'ensemble composé du corps de la femme et de celui de l'enfant qui nous évoque la stabilité. Ce tableau est principalement peint en différentes teintes de bleu et de marron, elles sont plutôt froides

était pas satisfaite de son travail notamment en ce qui concerne le lien qui uni la couleur à la forme et à sa ligne, elle écrit, selon Bernard Dorival et son livre Sonia Delaunay Sa vie son oeuvre 1885-1979 édition Jacques Damase, “la couleur était au fond retenue par son emploi complémentaire à la ligne, qui la retient, qui la paralyse, qui la rend rigide et, pour ainsi dire, la sacrifie à une stabilisation archaïque”. C’ est son deuxième marie, Robert Delaunay, qui lui ouvrira les portes de l’abstraction

Explication de texte poésie "Le Mendiant" Un riche peut-t-il se sentir mieux au fond de lui en tendant la main à un pauvre? La pauvreté des uns empêche-t-elle la richesse des autres? Les riches et les pauvres peuvent-t-ils s'entendre? L'hospitalité à-t-elle des limites? Rencontre entre 2 personnages, un homme banale et un pauvre homme. Cette première partie raconte l'histoire d'un pauvre homme parmi tant d'autres faisant son chemin dans le "givre et le vent" (Indique la détresse). Lorsque

moulins, dont le moulin de la Galette. A cette époque, c’est un café de plein air, l’une de ces nombreuses guinguettes où des gens du quartier, des canotiers, des artistes, des étudiants viennent danser le dimanche et manger des galettes. On voit au fond du tableau à gauche l’orchestre qui joue sur une estrade, sous les globes de l’éclairage au gaz entrainant les danseurs du second plan, et au premier plan, des hommes qui boivent un coups, assis, accompagnés des femmes. Le bal commence à quinze heures

rencontre Emile Bernard, période charnière et décisive, avec lequel il travaille et invente une technique baptisée  le "synthétisme". Il s'agit de traiter les sujets de manière à ne pas s'en tenir à la simple reproduction détaillée des paysages ou des personnages, mais de peindre de mémoire, pour ne retenir que l'essentiel des scènes selon un assemblage de couleurs posées par aplats, sans convention de composition ou de perspective. C'est un traitement symbolique du thème dans une nouvelle expression esthétique

pour les distinguer des pièces plus tardives ainsi classées "Imari", qui étaient généralement destinées à l'exportation. La plupart des pièces Imari anciennes présentent des motifs peints en bleu de cobalt sur un fond blanc, puis recouverts d'une glaçure transparente, dans le style connu sous le nom de bleu sous glaçure. La porcelaine a une texture grossière et granuleuse et les motifs sont souvent réalisés par une main libre et fluide. La technique consistant à peindre des motifs picturaux sous

cette première guerre pour créer « Les joueurs de skat ».Cette toile est une peinture à l'eau avec des traits nets. On y voit des couleurs telles que le noir, le marron autour de la scène : le fond est donc sombre. Les personnages sont mis en évidence par des couleurs plus vives telles que le blanc, le bleu et la couleur rose de leur peau. Otto dix est un artiste expressionniste qui livre sa vision de la réalité. Il laisse libre cours à son inspiration et exprime ses sentiments. Son travail interpelle

final. La foule converge vers le spectateur, dans un nuage de poussière, brandissant des armes. Elle franchit les barricades et éclate dans le camp adverse. A sa tête, quatre personnages debout, au centre une femme. Déesse mythique, elle les mène à la Liberté. A leurs pieds gisent des soldats.   Les quatre autres personnages aux abords de la barricade : deux enfants des rues – l'un coiffé d'un béret brandissant des pistolets de cavalerie, la bouche ouverte sur un cri, l'autre coiffé d'un bonnet de