Personnage Sur Fond Bleu

la mort du Christ. On peut y repérer des zones de vides et de plein. En effet, le premier plan est composé des personnages de la Bible tous tournées vers le Christ sur sa croix, et le second plan est un paysage sombre et plutôt vide dans lequel tout se fond. En faisant attention au paysage d’arrière plan, notre regard pourrait s’y perdre, tant il est chaotique et sombre. Les personnages bibliques sont éclairés par une lumière plutôt artificielle qui semble venir de droite. Alors que la croix du Christ

compare le résumé du roman et les résumés des films, on s’aperçoit que les grandes lignes des résumés des films sont fidèles aux grandes lignes du roman. Le moment (l’année 1922), l’endroit (la « Belle Angerie », dans la région d’Angers), les personnages principaux (le jeune narrateur révolté, ses deux frères plus passifs, la mère haineuse et le père dépassé) et l’intrigue (une mère surnommée « Folcoche » qui s’acharne sur ses fils après son retour de l’étranger) correspondent, à des détails

soucieux d’arts décoratif que le réalisme. Nous allons passez au tableau. L’œuvre représente une femme debout, la tête couverte d’une coiffe blanche, habillée d’un corset jaune ainsi que d’une jupe rouge. Cette dernière est recouverte d’un tablier bleu. La jeune fille est vue de bas en haut alors que le dessus de la table est peint d’un point de vue légèrement surélevé et penché vers l’avant. La jeune femme aux allures de servante verse du lait dans un bol en terre cuite, à l’aide d’une jatte elle-même

destinée même si certains craignent également la lumière venant du ciel. Tous les personnages sont dans un mouvement de chute malgré que leur attention soit captée par le ciel. On peut notamment constater que la seule source d’éclairage vient de ce dernier. Le personnage Phaéton est au premier plan et tombe du char de son père dans un mouvement très exagéré, ainsi que les mouvements de tous les autres personnages, comme le veut le baroque. Il est semi vêtu d’une toge rouge qui suit son mouvement

Datant de 1830, l’huile sur toile La liberté guidant le peuple propose une foule qui converge vers le spectateur, dans un nuage de poussière, brandissant des armes. Quatre personnages debout, au centre, une femme. Déesse mythique, elle les mène à la liberté. A leurs pieds gisent des soldats. L’action s’élève en pyramide selon deux plans. A la base : succession d’horizontales et au-dessus : succession de verticales qui symbolisent la force. En avant plan, à gauche, le cadavre d’un homme dépouillé

parles de Gelstalt : il y a une bordure, un fond et une figure Gelstalt : mise en avant d’une perception Cadre = Format Vertical ( portrait ) français Horizontal ( paysage ) italien Prise de vue : 3 types de prise de vues : ← à hauteur d’œil ← en plongée ← en contre-plongée Les plans : - plan général : situe l’action dans sa globalité , montre l’ensemble des personnages - le plan d’ensemble = un décor + un personnage - Plan de demi ensemble : 1 partie du

Ocre, Rouge, Orange, Jaune, Bleu, Mauve7Rose, Vert, Blanc Couleurs dominantes: Le brun et l'ocre sont les couleurs dominantes, le brun allant des teintes rouges/orangées à des teintes tirant vers le noir. Fond: Brun rougeâtre, teintes vertes et bleues, touches ocres. Contraste: On peut observer un contraste fort en entre le fond sombre et les masses colorées des deux joueurs, accentué par la géométrie des droites verticales et horizontales constituant le fond et l'arrondi des dos des deux

qu’il a l’impression de se mouvoir dans un tableau lorsqu’il rentre dans les maisons ou dans les églises de cette région décorées des couleurs les plus chatoyantes.9 Son étude du folklore de cette région, en particulier l’usage de couleurs vives sur un fond sombre a rejailli sur son œuvre primitive. Kandinsky écrit quelques années plus tard que « la couleur est le clavier, les yeux sont les marteaux et l’âme est le piano avec les cordes. »10 C'est cette même année, avant de quitter Moscou, qu’il voit

couleurs dominantes sont jaune dore et bleu qui désignent les couleurs de la noblesse. On peut les retrouver dans les portraits de rois avec le jaune de la couronne, de leur sceptre et le bleu de leurs habits. Le deuxième est un extrait de « Du mérite personnel » de J.De La Bruyère. Ce texte présente un dialogue entre 2 personnages avec l’un, admirateur de Philémon et l’autre, n’est pas convaincu de son pouvoir. L’admirateur est attire vers ce personnage par son apparence. Il complimente les habits

L’ESTHÉTIQUE PICTURALE *récurrence de couleurs pastelles « rose » « bleu » « clair » : tableau idéalisé. Esthétique picturale. *champs lexical de la peinture « petits pois » « se détachait » « pointe » « tachetée » « droit » influence de l’impressionnisme, petites touches *métaphore « tte sa personne se découpait sur le fond de l’aire bleu » harmonie qui ressemble à une iconograpgie. Perfection. LA TRANSFIGURATION DU PERSONNAGE *hyperbole « splendeur de sa peau brune » sublimation, idéalisation