Périurbanisation

de travail élevé (18 km), distance moyenne la plus longue des régions de France métropolitaine. (…) Cette (…) distance domicile-travail moyenne s'explique par de meilleures infrastructures de transport qui favorisent les déplacements, une périurbanisation persistante qui éloigne les habitants de leur travail, et une forte attractivité des villes voisines (Paris, Reims, Lille). Par ailleurs, (…) les difficultés du marché du travail, poussent les gens à chercher du travail plus loin de chez eux

d’outre-mer, littoralisation. Ils sont attractifs car ils peuvent retenir la population et les activités grâce aux avantages proposés (emplois, services, meilleure qualité de vie, 75% de la population française se concentre dans les villes ou en périurbanisation). Les territoires peu attractifs : Nord, Centre car anciennes régions industrielles ou zones rurales avec peu d’activités. - Les beaux jours ouvrent ainsi le temps des transhumances. Deux mois et demi où la géographie de la population est

quartiers sensibles. J. Donzelot décrit la banlieue selon trois « catégories » distinctes : La relégation La périurbanisation La gentrification L’entre soi contraint est le propre de la relégation, c’est la vie obligée en banlieue, l’habitant n’a pas le choix, ghettoïsation et stigmatisation de la banlieue vont alors de paire L’entre soi protecteur caractérise la périurbanisation où les habitants recherchent la sécurité pour eux et leurs enfants, sur le modèle des cités protégées américaines

villes qui dépendent de la métropole. C. Quelles sont les conséquences socio-spatiales de l'intégration mondiale de Shanghaï ? La ville de Shanghaï connait des évolutions : étalement urbain (plus grande superficie de surface urbanisé) = Périurbanisation de nouvelles villes se créent aux alentours = ville polycentrique Shanghaï doit relever le défi écologique, limiter l'exode rural, réduire les inégalités, devenir un pôle financier majeur. Une ville mondiale est donc une ville fortement

| |urbanisé |Nouveaux arrivants entraînent étalement des villes : | | |* Pays riches (Europe, Amérique du Nord) : périurbanisation ( lotissements pavillonnaires à | | |la campagne proche de la ville centre | | |* Pays du Sud ( apparition de bidonvilles et forte opposition entre

II] La France : les transformations de la vie quotidienne depuis 1945 A) LA VIE CITADINE a) Trois Français sur quatre vivent aujourd'hui en ville : - 53 % de citadins en 1946, 75 % en 1998. - Croissance de l'urbanisation avec la périurbanisation (banlieues). - Poussée de la rurbanisation. b) De meilleures conditions de vie - Logements plus confortables (9 sur 10 avec salles de bain). - Des logements équipés (95 % ont la télévision, 85 % ont le téléphone). c) Des déplacements quotidiens

les formes? - Au niveau local : elle sert de lieu vers lequel toute l'économie rurale ou industrielle se tourne. Elle tend à s'étaler de plus en plus vers ses périphéries et à absorber les villages et campagnes avoisinantes : c'est la périurbanisation. la conséquence est l'augmentation des migrations pendulaires (quotidiennes) pour le travail par exemple - Au niveau régional : chaque ville (sup à 2000 hab)dispose d'un collège et d'un hypermarché au minimum. Mais plus un service va

développée sous la forme de biens ecclésiastiques, sécularisés sous la Révolution française ; les châteaux, qui se comptent par milliers, se sont multipliés à partir des portes mêmes de la capitale. La périurbanisation L'Île-de-France présente l'un des plus beaux exemples de ce que l'on appelle la périurbanisation, ou rurbanisation : l'espace est structuré non par les anciens réseaux de relations, ni même par les voies ferrées et les gares, mais par les autoroutes et échangeurs rayonnant autour de Paris

distinguer trois grandes fonctions de l’espace rural français : • Une fonction résidentielle : les espaces ruraux ne sont plus des terres d’exode, ils enregistrent une dynamique démographique positive du fait de l’accentuation de la logique de périurbanisation. • Une fonction productive : de nombreux emplois sont créés en zones rurales, ce qui compense la chute de l'emploi agricole mais pas de manière à fournir un emploi pour chaque habitant. L'agriculture occupe désormais une place relativement

(1/2 Français a changé de logement entre 1982 et 1990), c'est souvent dans la même agglomération ou zone urbaine (16% ont changé de région en déménageant). En fait, on observe des migrations pendulaires qui se développent avec le phénomène de périurbanisation. Seulement un Français sur deux travaille dans la commune où il habite et cela a été renforcé avec la crise économique. On va de plus en plus loin pour trouver un emploi quitte à ne revenir chez soi que le week-end. Ce sont donc les communes