Patriarcat

insolubles, le père quitte la maison pour faire une promenade pendant laquelle il réfléchit. Dans ce passage essentiel la fonction symbolique, qui est primordial pour le message du livre, est évidente. Le père qui représente la tradition et le patriarcat commence dès cette discussion centrale à changer son point de vu. Pendant les conversations intensives avec son fils Nagib il réussit à la fin de vraiment comprendre les problèmes de sa femme et ainsi les problèmes de leur société. Il explique :

générations vivent sous le même toit Elle inclue des couples, des individus non liés par le sang (domestiques) ; Ses membres élisent un maître et une maîtresse, les biens sont indivis, le Maître garde le contrôle des fils et marie les filles (patriarcat ou matriarcat). La famille souche Le groupe domestique comprend trois générations. Un seul couple à chaque génération : Parents – enfants mariés – petits enfants, quelquefois les enfants célibataires (Oustal) Il n’y a pas de statut individuel

de l’héritage, c’est le père qui transmet à ses enfants. La mère ne transmet rien, ses biens deviennent ceux du mari à son mariage ou plus rarement ses bien iront à son frère. C’est la père qui détient l’autorité=>PATRIARCAT. Toutes les sociétés patrilinéaires sont des patriarcat. Exemple : _La Rome, la Grèce antique. _ Les BALUBA (Congo) ont un système patrilinéaire. b. Le système matrilinéaire Matri = mère L’essentiel de l’héritage est transmis par la mère. Ce

témoignage suivant : 1 Sur le caractère négro-africain de l’Egypte pharaonique lire les ouvrages de Cheikh Anta Diop, édités chez Présence Africaine, Paris : Nations nègres et culture ; L’Unité culturelle de l’Afrique Noire – Domaines du patriarcat et du matriarcat dans l’antiquité classique. 2 Diodore de Sicile (1er siècle av. J. C.), Histoire universelle, Livre 1er, LXX, Traduction de Ferdinand Hoefer (1851) http://www.mediterranees.net/geographie/diodore/livre1.html (visite le 12 mai

cache-sexe politique. En effet, ceux qui font les lois sont les mêmes que ceux qui réhabilitent un néo-traditionalisme africain. Cette contradiction reflète une volonté affirmée de transversaliser le genre – discours législatif – pour mieux enfouir le patriarcat sous le tapis de la démocratie – discours populaire. Cette institutionnalisation du genre dépolitise de fait tous les enjeux de rapports sociaux de sexe. Entre institutionnalisation et radicalité : des contradictions Les gouvernances des mouvements

christianismes : L’Est est orthodoxe : c’est le cas du Grand duché de Lithuanie (qui recouvre l’Ukraine, l’Est de la Pologne…), de l’Est du royaume de Pologne, de la Moscovie. Le centre en est la métropole de Moscou, qui se veut héritière du patriarcat de Constantinople (le patriarcat de Moscou ne sera reconnu qu’à la fin du XVIe siècle) Le Sud-Est est également orthodoxe, mais est placé sous domination turque. Le patriarche est à Constantinople, prise par les Turcs en 1453. Le sultan conserve cependant les

son caractère strictement musulman. 28 Symboliquement importante, cette première étape est facile à mettre en œuvre. Elle est suivie par une politique d’islamisation de nombreux édifices religieux : Saladin fait transformer le patriarcat latin, qui bordait le Saint-Sépulcre au nord, en un couvent destiné aux soufis, le Khanqah Salahiya (reprenant le nom Salah al-Din). Au sud, il fait bâtir l’oratoire d’Omar, commémorant ainsi la tradition de la « venue » à Jérusalem de ce calife

cette domination traditionnelle trois sous types : - Le sultanisme : Repose sur un chef traditionnel qui concentre dans ses mains la totalité du pouvoir. Ce type de légitimation s’incarne par exemple dans le sultanisme. - Gérontocratie ou patriarcat : Le chef traditionnel partage en partie son pouvoir avec d’autres autorités qui ont-elles aussi une légitimité. C’est un régime de type triumvirat tel qu’il a existé dans la Rome antique. - Patrimonialisme : Le chef traditionnel s’appuie

division sexuelle du travail : les aidants naturels sont pour la plupart des femmes, qui prennent en charge des personnes vulnérables au détriment de leur propre travail et de leur vie professionnelle.  Maintien d’autres systèmes d’exploitation : patriarcat et racisme, particulièrement virulent envers les femmes autochtones.  Harcèlement psychologique au travail et maladies professionnelles affectent davantage les femmes, qui éprouvent plus de difficultés à se réinsérer sur le marché du travail.

(Tonatsouits) arménien en usage dans l'Eglise arménienne reçut sa forme définitive du catholicos Siméon d'Erevan, qui fut le premier à le publier en 1775. L'Eglise arménienne adopta le calendrier grégorien le 6 novembre 1923, à l'exception de Tiflis et du Patriarcat arménien de Jérusalem où le calendrier julien est toujours d'usage en raison du " statu quo des Places Saintes ". Il est un mécanisme intéressant inhérent au calendrier arménien qui diffère des systèmes de calendrier des autres Eglises. Dans toutes