Paradoxe de Jevons

Coton et céréales aux USA. Les coûts pour fabriquer les produits sont plus élevés que leurs prix de vente. Pour protéger les prix les gouvernements de pays en crise ont décidés d’acheter les productions et de les détruire par le feu. Ceci est un paradoxe parce que la misère n’empêche pas les états de bruler les récoltes. 2.2 Le protectionnisme. Avant la grande crise du capitalisme, le libre-échange était dominant. * Pour protéger les économies de la concurrence mondiale et également pour

distinguer le travail abstrait du travail concret. Le travail abstrait est la dépense d’énergie nécessaire à la production. La valeur d’un bien ne prend en compte que le travail abstrait. Le TTSN est le travail abstrait. Marx essaye d’aller au-delà du paradoxe que Ricardo n’avait pas pu surmonter, et contourne la chose en dissociant travail concret et abstrait. Quelle est maintenant la valeur de la force de travail ? Car on a défini la valeur de la marchandise par le TTSN à la production, mais le temps

relié les classes sociales par des flux de matières et de monnaie. La valeur possède deux sens : La valeur d’usage (utilité) et la valeur d’échange. Le classique Adam Smith s’attache surtout à la valeur d’échange (il pose, mais ne résout pas le paradoxe de l’eau et du diamante). Pour lui, « C’est du travail d’autrui qu’il faut attendre la plus grande partie de toutes ces jouissances; ainsi, il sera riche ou pauvre, selon la quantité de travail qu’il pourra commander ou qu’il sera en état d’acheter

| | | |Ils observent la hausse des prix mais l’attribuent le plus souvent aux mutations monétaires. L’explication correcte est entrevue par | | | |J. BODIN en 1568 dans un opuscule intitulé :  “ réponses aux paradoxes de M. de Malestroit touchant à l’enchérissement de toute chose| | | |”. Il attribue l’inflation à l’afflux de métaux précieux en provenance du nouveau monde et tente de formuler une loi selon laquelle | | | |le pouvoir d’achat des monnaies est

sont : la hausse des prix et le taux de l’intérêt. Ils observent la hausse des prix mais l’attribuent le plus souvent aux mutations monétaires. L’explication correcte est entrevue par J. BODIN en 1568 dans un opuscule intitulé :  “ réponses aux paradoxes de M. de Malestroit touchant à l’enchérissement de toute chose ”. Il attribue l’inflation à l’afflux de métaux précieux en provenance du nouveau monde et tente de formuler une loi selon laquelle le pouvoir d’achat des monnaies est inversement proportionnel

séquentiels, ou jeux sous la forme extensive 1 courssegmiparisx.canalblog.com Université Paris Ouest Nanterre La Défense - Cours SEGMI Introduction I. Mise en perspective historique Les bases de la microéconomie furent mises en place par Jevons (GB) et Menger (Autriche) au début des années 1870. Ces deux économistes sont également à la base d’un nouveau courant idéologique, les néo-classiques. Nous allons tout d’abord observer les disparités entre la pensée classique et néo-classique.

des différents biens. Exemple : produit ayant une forte valeur d'échange mais une faible valeur d'utilité : METAUX PRECIEUX produit ayant une faible valeur d'échange mais une forte valeur d'utilité : le pain/l'eau/l'air Conclusion : il y a un paradoxe de la valeur lié à la rareté qu'Adam Smith n'a pas examiné. Il s'est concentré sur la valeur d'échange car les individus échangent pour assouvir leurs besoins. Pour lui, une marchandise achetée permet d'acheter du travail d'autrui et donc de s'éviter

l'oeuvre même du Professeur Cannan - que, bien loin d'être inutiles à la conduite favorable d'une guerre moderne, les enseignements de l'Économie sont sans aucune espèce de doute indispensables à l'administration en temps de guerre. C'est un curieux paradoxe que cette déclaration du Professeur Cannan soit située dans un ouvrage qui, plus qu'aucun autre publié dans notre langue, utilise l'appareil de l'analyse économique pour éclairer un grand nombre de problèmes parmi les plus urgents et les plus complexes

classique qui fait correspondre : la valeur travail à la simple peine subie par travailleur. Galbraith : pour les classiques l'homme est pour nature paresseux c'est sa nature. Ce sont souvent les travaux les plus pénibles qui sont les moins payés (paradoxe car on penserait que ce sont les travaux les plus pénibles qui seraient les mieux payés). Par exemple le carrossier détermine avec l'expert pour la réparation d'une aile : ça fera 5h de travail + 3/4 d'heure de travail vivant; s'il le fait en 1/4

nouvelle école de pensée économique. C’est l’école néoclassique, fondée par 3 économistes : Stanley Jevons (1871) Théorie de l’économie politique ; Carl Menger (1871) Fondement de l’économie politique ; Leon Walras (1873) élément d’économie politique pure. Ces trois fondateurs formeront des successeurs immédiats dans trois écoles différentes : à Cambridge Alfred Marshall il est le successeur de Jevons. L’école autrichienne ou école de vienne fondée par Carl Menger laisse la place à Böhn-Bawer. La