Pale

description poussée et détaillée de l'étoffe, contrairement au cas de la casquette de Charles Bovary, dans Madame Bovary, écrit par Flaubert au XIXème siècle. De plus, « une impression vague, générale, d'ennui et d'irritation » (l.7) et « plutôt petite, pâle, je crois... » (l.8) nous démontrent une expression de la pensée incertaine, caractéristique du surréalisme présent ici. Parallèlement au manque de détails, Aragon se focalise sur les pensées et impressions personnelles du héros : « voilà

Son Identité, son portrait, ses vêtements. Dans ce film, le compte Dracula a un teint pâle, des ongles longs, des yeux bleus et des poils sur les mains. C'est un vielle homme, «le dernier de son espèce». C'est quelqu'un d'assez froid et surtout bizarre. Avant de devenir Dracula, il porte une sorte d'armure rouge et quand il est vampire il porte une cape rouge encore une fois. Son teint est extrêmement pâle. On dirait même que c'est un homme livide, sans vie. 3. Son caractère, sa personnalité

Répertorié Mesuré et corrigé ± 0,0003 20,727 1,761 8,496 1,530 1,5284 Couleur de l’huile de clou de girofle : Jaune pâle translucide Calculs 1- Rendement = 8,496 % DISCUSSION Le but est d’extraire et de purifier l’huile essentielle de clou de girofle. Tel que la littérature l’indique, l’huile extraite du clou de girofle est jaune pâle. En effet, l’indice de réfraction obtenue suite aux manipulations est de 1,5284 tandis que celle répertoriée est de 1,530

durant la fin de la seconde guerre mondiale entre 1944 et 1945 -L'éditeur est Nathan et la collection est Les romans de la mémoire -On peut y apercevoir Rémy (héros principal) devant un camp de concentration nazi dans l'obscurité avec un visage pâle avec un air triste. Cette couverture montre toutes les souffrances que l'on peux endurer pendant des conflits ou guerres . B: -Les sabots présentent la déportation de Rémy, jeune lycéen de 17 ans, qui va survivre un an dans un camp de concentration

"Nos" v1 > familier au lecteur, connu de tous. - Architecture de la maison : lieu de passage ("escaliers", v3) b) Une nuit pénétrante : - Maison fermée, éteinte (inquiétude dans le noir : "cercueils scellés ... le mur froid" v14) - Lueur pâle > lune, intrus ? (renforce inquiétude, peur : "lunes ... blêmes" v8) - Obscurité et silence grandissants ("bornes d'ombre" v13) II. Sous ce toit, des habitants... a) Un éveil nocturne : - Focalisation interne, ils ne dorment pas (découverte

La chambre était pale, très pale. Une seule lumière blanche éclairée la piece. Je ne sentais plus mon corps, j'étais entièrement anesthésié, il n'y avais plus que mon bras droit qui pouvais encore bougé. C'est donc jours après jours que j'essayais de me concerter sur ce corps meurtrie, et donc de le faire bouger. Quel ne fut pas ma deception : après 4 jours seul mon majeurs pouvait se mouvoir d'à peine quelques centimetres. Avec la morphine mes sens étaient perturbés, mais je parvenais à distinguer

: Premier mouvement , de « J'appartiens à un pays » à « écoute bien, car… » (l.1 à 13) : une description à la fois sensuelle et onirique du pays natal de l'auteur. Deuxième mouvement , de « Comme te voilà pâle » à « pas même les chèvres » (l.14 à 22) : le retour à la réalité. Premier mouvement, de « J'appartiens à un pays » à « écoute bien, car… » (l.1 à 13) : une description à la fois sensuelle et onirique du pays natal de l'auteur.L.1 « J’appartiens »

all in a perfect row, destituted from this certain mood. I come in. The streets are going up and down. One of them, in a freedom will, has escape from the ground to the stars, like a stone rainbow. As I go down those dark streets, I am meeting some pale and transparent shadows, white as the truth. Their gait are supple and stealthy. I’m noticing this particular smile on their faces. Mingled with a strange feeling of suffering. Are they in pain or are they in peace? Whatever, all that matters that

voit un cadavre enroulé dans une sorte de tissu , à coté, il y a un soldat qui, nous supposons, agonise. Son masque à gaz est en dessous sa tête. On ne voit pas très bien son visage. 2e plan : On voit Otto Dix, debout, pâle, qui porte un autre soldat, blessé à la tête, pâle aussi. On ne sais pas si il est mort ou pas. Otto Dix essaye de sauver lui, et l'autre soldat. Son visage montre de la détermination. Arrière plan : L'arrière plan est apocalyptique : on voit de la fumée rouge noire, qui

heureuse de cette obscurité ; elle paraissait pour la première fois devant cet homme qu’elle aimait tendrement, qui le savait fort bien, mais enfin auquel elle n’avait jamais parlé. Une remarque qu’elle fit lui rendit un peu de courage ; Jules était plus pâle et plus tremblant qu’elle. Elle le voyait à ses genoux : « En vérité, je suis hors d’état de parler, » lui dit-il. Il y eut quelques instants apparemment fort heureux ; ils se regardaient, mais sans pouvoir articuler un mot, immobiles comme un groupe