Pale

herbages, on peut dire que le petit val respire la vie et la joie : c’est un lieu heureux et protégé, un écrin de verdure accueillant. Apparaît ensuite un soldat : il est jeune (vers 5), tête nue (vers 5), il est étendue sans l’herbe (vers 7), il est pâle (vers 8) et il dort la bouche ouverte (vers 5), la main sur sa poitrine (vers 13), il sourit (vers 9). Mais le dernier vers apporte le choc de la révélation : ce jeune soldat est mort. La répétition de la sonorité [ou] (trous rouges), les allitérations

relecture de ce poème ,on ressort une comparaison forte entre la nature vivante et le pauvre soldat:tout dans ce val est dynamique ,sauf que le soldat est tranquille et dort comme un enfant malade ;le décor est coloré (,,),alors que le visage du soldat est pâle ;il fallait qu’il fasse bien chaud en ce mois avec tant de soleil pour faire la sieste dans ce val ,mais le soldat a froid.Un personnage tragique se distingue peu à peu devant les lecteurs:un jeune soldat inconnu meurt isolément dans un décor tel enchanteur

l'écriture pour exprimer un sentiment LA DESESPOIR Ce qui peut nous rendre désespéré : Perdre l’amour S’être battu jusqu’au bout et perdre Quand les parents se séparent Ce que nous pouvons ressentir dans notre cœur et dans notre corps : être pâle être marqué Expressions sur la désespoir ou avec le mot désespoir : Se rendre malade Sombrer dans le désespoir Etre au bord du gouffre Toucher le fond Moins fort que le désespoir : mélancolie, tristesse plus fort que la désespoir :

valeur hypocoristique, ce qui signifie qu’elle caractérise à la fois le physique et le mental de Julien. Dans sa description, on remarque le champ lexical de la pureté : « pâle » ligne 4, « blanche » ligne 4, « propre » ligne 5, « blanc » ligne 5, « doux » ligne 6. Ces mots sont accentués par des hyperboles : « extrêmement pâle » ligne 4, « bien blanche » ligne 4, « fort propre » ligne 5, « fort blanc » ligne 5, « si doux » ligne 6. Dans un premier temps, ce champs lexical nous ferait penser que

haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans

souhaite épouser Eugénie Madame cruchot : Madame grandet : soumise a son mari, femme séche, elle decouvre l’échange de la boite fait avec charles , 1820 l e Père Grandet demande comme chaque année, à voir tout l'or qu'il a donné à sa fille. maigre, pale, dents noir , gros os et nez, etc. Son maris lui offrait chaque mois 6 louis et les reprenait a sa femme de fur et amesure. Devient agonissante a la suite de la dispute de son mari et sa fille. Femme meurt en 1922. Eugénie grandet :anniversaire,

atmosphère est renforcée par la présentation d’un décor symbolique. L’opposition entre la lumière, « la seule lumière », ce « grand rectangle d’électricité pâle » à l’intérieur et l’obscurité de « cette nuit », « comme ci la nuit n’eut pas suffit à cacher ses gestes » évoque un contraste symbolique entre la vie et la mort. « un grand rectangle d’électricité pâle […] comme pour accentuer le volume de la vie » et « sous son sacrifice à la révolution grouillait un monde de profondeur » confirme ce contraste nuit/jour

rêver de vengeance et à répéter des attaques au couteau dans la cour de son immeuble. Un soir, il rencontre la jeune Eli, qui est depuis peu sa voisine et habite seule avec son père. Eli semble être une jeune fille de 12 ans mais elle est étrangement pâle, ne sort que la nuit et ne semble pas être affectée par le froid de l'hiver suédois. Très vite, Eli intrigue Oskar. De plus son arrivée dans le quartier coïncide avec une série de meurtres et de disparitions mystérieuses. Oskar finit par découvrir

servi, elles restaient entrouvertes, comme pour présenter d’elles-mêmes l’humble témoignage de tant de souffrances subies. Quelque chose d’une rigidité monacale relevait l’expression de sa figure. Rien de triste ou d’attendri n’amollissait ce regard pâle. Dans la fréquentation des animaux, elle avait pris leur mutisme et leur placidité. C’était la première fois qu’elle se voyait au milieu d’une compagnie si nombreuse; et, intérieurement effarouchée par le drapeau, par les tambours, par les messieurs

allégorie, montre bien que l’amour est une personne à part entière, qu’elle est mortifère tout comme le « Soleil ». Si on situe le sonnet dans son contexte « Sonnet d’Automne », on peut comprendre que c’est à l’automne ou tout tombe, tout est « fâde », « pale », moment ou l’amour se défait … Le poète clame haut et fort sa conception de l’amour par les nombreuses exclamations présentes dans ce sonnet. Mais à travers son plaidoyer, se dessine, une femme « froide » qui paraît inaccessible. Celle-ci est fragmentaire