Pale

sous forme de granules verdâtres dans le filtre, résidus de la filtration. Les impuretés solubles sont observables grâce à la filtration à froid : après avoir filtré la solution, le filtrat contient les impuretés solubles et sa couleur est bleu ciel pâle. Les résidus contenus dans le filtre représentent la substance pure, elle est sous forme de petits flocons brillants de couleur blanc. Question 3 Oui, la silice est une substance insoluble dans l’eau et avec une très haute température de fusion, elle

gaz ( appuyer en tournant d’un quart de tour ) puis craquer l’allumette .  La réaction est terminé car il n’y a plus de cuivre ni de gaz. A) Action de l’acide nitrique (HNO3) sur le cuivre  Observation * Coloration de la solution en bleu pâle Þ formation d’ions cuivre Cu²+ * Disparition des copeaux de cuivre : * Apparition d’un gaz roux ( Dioxyde d’azote NO2)  3) Deuxième expérience Le métal cuivre a disparu mais quelque chose s’est conversé, un élément chimique . B) Action

Pandora Le thème : Les flocons de neige Le message : Découvrez notre nouvelle collection de l’hiver Décor : flocons de neige autocollants, branches de plastiques métallisées, images de flocons de neige, présentoirs en vitre Couleurs : blanc, bleu pâle métallique Analyse : On trouve qu’il n’y a pas assez d’éléments accrocheurs. La vitrine ne nous incite pas à entrer dans la boutique. Dans un jardin Le thème : Le thème est peu précis Le message : affiche de promotion des produits en vente en

l'intérieur de chacune des quatre strophes. • Première strophe : Démontre un décor plein de vie, une vallée accueillante qui démontre une vue d’ensemble sur le paysage. • Deuxième strophe : Un jeune soldat dort dans la vallée. Il a l’air anormalement pâle et malade dans une vallée pleine de vie. • Troisième strophe : On comprend qu’il ne prend pas plaisir à la beauté de la vallée. Même le soleil ne peut pas le réchauffer. Il sourit comme un enfant affaiblit. • Quatrième strophe : La tournure devient

dirige vers l’arrière-plan, les couleurs sont de plus en plus pâles et froides. En avant-plan, le rouge et le brun sont foncés, alors qu’en arrière-plan, le rose de l’église est pâle et les branches des arbres, près de l’église, sont beaucoup plus pâles et moins définies que celles en avant. Même le ciel bleu paraît plus pâle. 3.3 Ligne La qualité de la ligne est fine et continue. De plus, on peut constater une ligne virtuelle. On peut bien percevoir sur la veste rouge de l’homme, en avant-plan. Il

le râle des mourants. On a l’impression d’entendre ce mélange des rires et des râles grâce à une allitération en r. « Mais le rire cessa, car soudain l’enfant pâle » (v.16) : Le mais est brutal car il est suivi d’un verbe au passé et de soudain : cela créé un effet de surprise qui introduit l’enfant (pâle) sans verbe derrière. Le mot pâle est dû à la peur, à la mort = la peur de mourir. « Brusquement reparu, fier comme Viala » (v.17) : On attend l’action. La comparaison avec Viala (enfant mort dans

différents états, selon le « vent » : la « tempête et ses convulsions » ou le « calme plat ». Les conditions de navigation (la « brume » ou « le bon vent », « dans un vaste éther ») sont mentionnées. Enfin, la destination du périple est spécifiée : « la pâle étoile » donne le cap et guide le marin. Mais c’est à travers l’écriture poétique que Baudelaire évoque surtout ce voyage. La phrase qui en rend compte s’étend sur 12 vers et les coupes successives marquées par des points-virgules (v. 4, 8, 10) traduisent

(v. 5), elle équivaut aussi au « livre vieux ». 3) De même, « la Sainte », pure essence (mise en valeur de « est » en tête du v. 5, antéposé), avec majuscule, reprend le titre qui désigne le poème. Donc, la « Sainte pâle », c'est la poésie que j'ai sous les yeux. Pourquoi « pâle » ? parce que c'est aussi la page blanche ou vierge comme la vierge Marie qui chantait ce « Magnificat ». Enfin, la « Sainte » est définie explicitement au vers 16 comme « Musicienne du silence » ; or, la musique, c'est

D'argent; où le soleil de la montagne fière, Luit; C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le chaudement: il a froid. Les parfums ne font plus frissonner sa narine; Il

et physique. « Ses jambes amollies le laissaient glisser à terre », « Daniel était aussi pâle que lui ». Cet extrait ressortit au mouvement romantisme, les sentiments de Jacques et Daniel sont révélés à travers le champ lexical de la crainte. « Daniel était aussi pâle que lui », « Ses doigts raides...Et ses jambes amollies ». Cette peur est décrite à travers un narrateur omniscient « « Daniel était aussi pâle que lui ». Par ailleurs, la chute du cheval est soigneusement dépeinte par le narrateur,