Ovide

géométrisation de l'univers physique : → Avenement d'un système d'explications sans analogies avec les mythes III) La relecture du mythe par Ovide 1) Présentation des Métamorphosmes d'Ovide Ovide poète latin du Ier siècle : latins s'inspirent des grecs pour philo + art Les Métamorphoses : un des plus longs poèmes de l'Antiquité 2) Création du monde Ovide adopte plan chronologique : il commence par la genèse création du monde tiré par une volonté divine du chaos mise en ordre des événements → rôle

Distinction sacré profane chez OVIDE Le territoire de la polis se distingue en la ville (astu) et d'autres part le territoire de la ville, et le territoire périurbain divisé lui meme en deux zones : une à dominante rurale (la chora) et l'escktiai, soit les confins qui ne sont pas travaillés comme la chora, ce sont des forets des montagnes ou des marecages, dans le monde mediterranéen etaient confondus avec les frontieres meme de la polis, ces espaces sont consacrés à des divinités. La géographie

fils de la nymphe Liriope violée par le dieu fleuve Céphise L'histoire la plus détaillée est rapportée dans le Livre III des Métamorphoses d'Ovide. C'est cette version qui est la référence de la majorité des écrivains et artistes par la suite. Ovide s'est inspiré d'auteurs grecs de l'époque alexandrine comme le poète Parthénios de Nicée auquel on attribue une version de Narcisse composée vers 50 av. J.-C. cette version se terminant, à la différence de l'auteur latin, par le suicide du chasseur

Le mythe d’Orphée, notamment rapporté par Ovide dans ses Métamorphoses, constitue l’une des légendes les plus singulières de la mythologie grecque, celle-ci étant en particulier rattachée à la religion des mystères (Le mythe ayant donné naissance à un courant religieux de la Grèce Antique : l’Orphisme). Cette recherche relative au mythe, tout en se concentrant sur la geste du protagoniste principal, Orphée, et sur les évocations artistiques du mythe, s’articulera autour d’un texte source issu du

dû en grandissant, les fait jeter dans le Tibre en crue. Mais l’ordre est mal exécuté, les nouveaux-nés sont abandonnés dans une fondrière du fleuve et survivent miraculeusement. Ils sont nourris par une louve et par un pivert, l’oiseau de Mars (Ovide, Fasti III), puis découverts par le berger Faustulus et sa femme Larentia (selon Tite-Live, une prostituée que les bergers surnommaient Lupa, la Louve, d’où l’histoire) qui les élèvent. Plus tard, les jumeaux, à qui est révélé le secret de leur naissance

il se dégage un érotisme ambigu. 2c Dans cette extrait on peut remarquer en effet que cet érotisme renouvelle le mythe de pygmalion nous allons le démontrer dans cette partie. Cet érotisme renouvelle le mythe de Pygmalion car, dans le mythe selon Ovide il se marie et ils ont un enfant alors que dans cet extrait la statue s'anime, prend vie. Mais comme nous avons pu le constaté cette scène est dramatisée donc cet érotisme ne va pas ce finir en délicatesse. Son amour pour elle est toujours là mais

de douze mille vers), qui raconte l’histoire mythique du monde depuis le chaos originel jusqu’à l’apothéose de Jules César, nous allons étudier qu’un extrait de la traduction du poème concernant Narcisse qui est très long. Les métamorphoses d ovide, le texte en latin : Fons erat inlimis, nitidis argenteus undis, quem neque pastores neque pastae monte capellae contigerant aliudve pecus, quem nulla volucris 410 nec fera turbarat nec lapsus ab arbore ramus; gramen erat circa

• Parfois les dieux et les magiciens associaient au jet d'eau magique ou à l'absorption de breuvage ou des formules incantatoires. Typologie des métamorphoses Les catégories de métamorphoses sont les mêmes dans la version romane que chez Ovide. Types traditionnels: les changements de règnes: a) La métamorphose en animal • c'est peut-être la plus fréquente ◦ Le but est de rendre la scène plus vivante, a permettre au lecteur de visualiser la transformation et parfois de la vivre

L'histoire la plus détaillée est rapportée dans le Livre III des Métamorphoses d'Ovide. C'est cette version qui est la référence de la majorité des écrivains et artistes par la suite. Ovide s'est inspiré d'auteurs grecs de l'époque alexandrine comme le poète Parthénios de Nicée auquel on attribue une version de Narcisse composée vers 50 av. J.-C. (version redécouverte dans les papyri d'Oxyrhynque à Oxford en 2004[1]), cette version se terminant, à la différence de l'auteur latin, par le suicide du

connaissa[nt] point d'autres biens que la simplicité et l'innocence. ». L'Homme, tel que nous le décrit Ovide, paraît ici comme libre et serein vis à vis du monde dans lequel il vit, en totale harmonie avec la nature qui l'entoure, sans besoin de quelques modifications que se soit. Ainsi, « la terre donnait libéralement toutes choses, sans y être contrainte par la bêche ou par la charrue. » Ovide met en relief le sentiment d'apaisement et celui d'épanouissement par l'évidence du respect et de l'adaptation