Ovide

d’Hector, les princes grecs furent appelés chez Agamemnon à  un grand festin, dans lequel ils examinèrent les moyens de se rendre maîtres de Troie. Achille se déclara pour la force ouverte, Ulysse pour la ruse, et l’avis de celui-ci l’emporta. Suivant Ovide, l’amour causa la mort d’Achille épris des charmes de Polyxène, fille de Priam Il la demanda en mariage. Et alors qu’il était sur le point de l’épouser, au moment où Déiphobe l’embrassait, Paris le blessa au talon d’un coup de flèche. C’est, dit-on

nymphe, lui inspirant ainsi un profond dégoût pour Apollon. Ce dernier se lança donc, avec ardeur, à la poursuite de la belle qui s’enfuit de terreur. Prise de panique et épuisée, la nymphe pria son père de l’aider à se dérober au poursuivant. Selon Ovide, le dieu fleuve Pénée métamorphosa alors sa fille en laurier (dáfni en grec). Apollon, déçu de cet amour perdu, en fit alors son arbre, représentant de ses triomphes, emblème des chants et des poèmes. C’est donc ce mythe qui a servi de sujet à

pas laisser cet attentat impuni, elle changea les cheveux de la Gorgone en d'horribles serpents ; maintenant même, afin de frapper ses ennemis d'épouvante et d'horreur, elle porte sur l'égide qui couvre son sein les serpents qu'elle fit naître». OVIDE, Les Métamorphoses, IV, Traduction de Louis Puget, Th. Guiard, Chevriau et Fouquier (1876) Extrait 2 : Après un long voyage, Persée, fils de Jupiter, arrive sur les côtes de l’Hespérie, dans le royaume d’Atlas, fils de Japet. Persée

Deux mythes sont superposés dans notre texte : Jupiter châtiant la démesure des géants qui voulaient escalader le ciel d’une part, et le mythe chrétien de la tour de Babel d’autre part. Il s’agit d’un texte écrit à la manière d’Hésiode, Homère ou Ovide. Généalogie La généalogie permet de décrire le monstre. Son père est Jupiter (= Dieu le Père), sa mère est la Présomption (c’est l’orgueil qui a inspiré les théologiens protestants, lesquels ont voulu relire la Bible). L’opinion est fille de la vengeance

dans la : , , , , , poudre, Et disait , le coeur plein de son beau lac nat al : Eau, quand do nc pl euvras-tu? quand to nnerastu, fo udre? Je v ois ce m alheur eux , m yt he † t range et fat al , Vers le ciel quelquef ois, comm e l' homme d' Ovide , , on , , , Vers le ciel ir onique et cruellement bleu , d Sur son co u convulsif t endant sa t e t e avide, Comm e s' il adressait des reproches „ Dieu! ( : , / , / , 72 aine , , / , / , / : , , / ? / , , , / , / ?

Le sujet de la pièce de Shakespeare n'est pas nouveau loin s'en faut. Avant d'être le sujet d'une pièce de théâtre,il fut le sujet de textes narratifs. Le thème de l'amour clandestin en raison de l'inimitié des parents se trouve déjà chez Ovide (-42, +17 ) : il fait du récit de Pyrame et Thisbé dans le livre IV des Métamorphoses et l'on sait que Shakespeare connaissait bien et appréciait beaucoup Les Métamorphoses d'Ovide. Dans Le Décaméron de Boccace(1350), on peut lire dans la dixième

» (sonnet 11). Refuser la fureur (sonnets 7, 13, 21 et 42), c’est une manière de condamner son passé poétique et de se séparer d’une tradition qui remonte à Homère et à Lucrèce, et dont la théorie, présente chez Platon, est exprimée nettement par Ovide : « Il y a un Dieu en nous, nous brulons lorsqu’il s’agite ». Platon énumère les 4 fureurs dans Phèdre et celle qui concerne la poésie est accordée par les Muses. C’est une des raisons pour lesquelles Du Bellay souligne sa séparation d’avec elles (sonnet

referma ses jambes en ciseaux sur le cou de son ennemi ; et, de toutes ses forces, il serra ! […]Bientôt, [le Minotaure] jeta un épouvantable meuglement de rage, eut un sursaut … et rendit le dernier soupir. Christian Grenier (d’après Ovide), Contes et légendes des héros de la mythologie.QUESTIONS A) LE MONSTRE 1) Quel est le sujet de « se tenait » ? 2) Le Minotaure est un être hybride (croisement entre deux êtres d’espèces différentes). Quels sont-ils ? Dans le premier paragraphe

la sagesse; et autant le pilote qui gouverne le vaisseau est audessus du rameur, et le chef d'armée au-dessus du soldat, autant je l'emporte sur toi. Cependant mon génie n'est pas supérieur à mon courage, et l'un et l'autre ont la même vigueur. » Ovide, Les Métamorphoses, XIII, 360-369 De plus l’horizon temporel de la mètis est très large: « l’homme à la mètis se montre (par rapport à son concurrent), tout à la fois plus concentré dans un présent dont rien ne lui échappe, plus tendu vers un avenir

les classes B : résoudre l’hétérogénéité C : développer l’autonomie et la coopération D : un moyen pour l’adulte de mieux transmettre des savoirs Dans quel ordre chronologique et qui a dit ou écrit ? 1 Célestin Freinet – 2 Philippe Meirieu – 3 Ovide Decroly - 4 Pauline Kergomard – 5 Jean Piaget – 6 Maria Montessori – Jérôme Bruner A : Il est nécessaire de mettre en œuvre une interaction de tutelle (aider l’enfant à résoudre un problème qu’il ne peut résoudre seul) et un étayage. B : Le jeu est