Ordre des Pauvres Dames

Toine I On le connaissait à dix lieues aux environs le père Toine, le gros Toine, Toine-ma-Fine, Antoine Mâcheblé, dit Brûlot, le cabaretier de Tournevent. Il avait rendu célèbre le hameau enfoncé dans un pli du vallon qui descendait vers la mer, pauvre hameau paysan composé de dix maisons normandes entourées de fossés et d’arbres. Elles étaient là, ces maisons, blotties dans ce ravin couvert d’herbe et d’ajonc, derrière la courbe qui avait fait nommer ce lieu Tournevent. Elles semblaient avoir cherché

la sécurité absolue de sa dot (à supposer qu'il y ait eu une stabilité économique), mais à la dissolution du mariage, elle n'avait aucun gain de survie; aussi la veuve dotale bénéficiait-elle d'un droit d'origine romaine, la « quarte du conjoint pauvre », de nature successorale, dont les caractères et les buts étaient nettement alimentaires. Si différents fussent-ils, le droit coutumier et le droit écrit avaient ceci de commun qu'ils ne conféraient pas à l'époux survivant un droit successoral

le plan de l’Abbesse de Castro, comme des Chroniques italiennes, ou de la Chartreuse ellemême, sont puisés dans de vieux ouvrages 13 italiens. Le Rouge et le Noir, quand à lui, n’est qu’un fait divers romancé. Antoine Berthet, fils d’artisan pauvre est distingué par son curé à cause de sa vive intelligence. Il entre au séminaire, mais sa mauvaise santé l’en fait sortir. M. Michoud lui confie l’éducation de ses sens ; il devient l’amant de Mme Michoud, âgée de trente-six ans et d’une réputation

.........................................5 Chapitre premier. Une petite ville ............................................... 5 Chapitre II. Un maire................................................................... 9 Chapitre III. Le Bien des pauvres ...............................................13 Chapitre IV. Un père et un fils ....................................................19 Chapitre V. Une négociation...................................................... 24 Chapitre VI. L’Ennui ...

Philippe Lejeune, ces deux parties ne sont qu'une façade et ne révèlent pas la progression chronologique de l'œuvre. Il considère que le texte devrait plutôt être divisé en cinq parties qu'il appelle « actes ». • Le premier acte présente dans un ordre chronologique la préhistoire de l'enfant en donnant ses origines familiales. • Le deuxième acte évoque les différentes comédies qu'a joué Sartre sous l'influence de ses parents en s'enfermant dans un monde imaginaire. • Le troisième acte

injustices. III] Le titre : Germinal était le septième mois du calendrier républicain. Il commençait le 21 ou le 22 mars et finissait le 18 ou le 19 avril. Par ce biais, le titre deZola se réfère évidemment aux soulèvements en vue d'instaurer un ordre nouveau de la grande Révolution. Mais le sens premier de « germinal » est lié au renouveau cyclique de la nature, qui se situe au printemps (mars et avril). A ce renouveau s'apparente symboliquement l’éveil, chez les mineurs, d'une prise de conscience

monsieur de Paris, puisque vous administrez le bien des pauvres avec la plus scrupuleuse probité ? – Il ne vient que pour déverser le blâme, et ensuite il fera insérer des articles dans les journaux du libéralisme. – Vous ne les lisez jamais, mon ami. – Mais on nous parle de ces articles jacobins ; tout cela nous distrait et nous empêche de faire le bien. Quant à moi je ne pardonnerai jamais au curé. 10 Chapitre 3 Le Bien des pauvres Un curé vertueux et sans intrigue est une Providence

qualités spécifiquement féminines. Il fallait toujours être bonne, patiente, douce, soucieuse du bien-être des autres, ce qui équivalait pour elle à une mort quotidienne. On exigeait en effet de la « lady » classe et style. Elle ne devait jamais paraître pauvre ou surmenée. Bien que produisant toutes sortes de biens et de services essentiels à la vie de sa famille, la « dame » se trouvait coupées de l’économie de marché. Son dur labeur demeurait invisible. Aux yeux du monde, elle ne travaillait pas. Seules

l’auteur. C’est ainsi que, selon l’époque où a été écrit le poème, il peut exprimer la beauté féminine lorsqu’il est amoureux comme la manipulation et la souffrance qu’elles peuvent lui infliger pendant ses périodes de rupture ou de déception. « Des dames regardaient du haut de la montage Vous êtes si jolies mais la barque s’éloigne » (Mai, Alcools, G.Apollinaire) « A Bacharach il y avait une sorcière blonde Qui laissait mourir d’amour tous les hommes à la ronde » (La Loreley, Alcools, G.Apollinaire)

pour se tirer de cet affreux endroit. Enfin l’idée du prince prisonnier s’explique aussi par son immobilité dans l’état métamorphosé à la fin de l’histoire, le prince oranger est démuni d’action, n’est-ce pas également une sorte de prison pour le pauvre prince ? En bref, à partir de cet analyse des personnages nous constatons une intention de l’auteur de rehausser l’image conventionnelle de la jeune fille passive par des traits psychologiques favorables qui l’ont tout à la fois rendue forte,