Ombre Et Lumiere

sera brièvement évoqué dans Reste avec nous (1967), puis apparaîtra comme une figure centrale dans plusieurs textes. Du dernier chapitre du Portrait des Vaudois (1969) intitulé « Voir sa mort » à L’Imparfait (1996), en passant par le « Portrait d’une ombre » qui constitue le troisième volet de Bréviaire (1976), la figure du suicidé sera posée par Chessex à l’origine de différents aspects de son identité d’homme et d’écrivain. De même, la présence de la mère – Lucienne Chessex, née Vallotton – se retrouve

phonographe … Mac Orlan est l’un des premiers à introduire cela en poésie et il s’ancre donc fortement dans le réel. Mac Orlan est fasciné, tout comme G.A, par le nouveau paysage industriel, résolument moderne. Nous nous attacherons donc à mettre en lumière les marqueurs de la modernité poétique dans ce poème. Trois mouvements : V 1à 22 – évocation du passé V 23 à 42 – hommage V 43 à 45 – conclusion détachée / volta I . Apostrophe à Venus ref au premier poème d’Inflation Sentimentale « Vénus

a provoqué un scandale à l'époque. Celui-ci portait sur deux points, le sujet et la facture, la présence d’une femme nue au milieu d’hommes habillés n'était pas expliquée. Manet laisse ses dégradés habituels pour des contrastes brutaux entre ombre et lumière. Avec Le déjeuner sur l’herbe, Manet se libère des sujets et des modes traditionnels de représentation. Ce tableau a d'ailleurs était réinterpréter à plusieurs reprise par de nombreux artistes tels que Jacquet, Picasso, Monet... Cette toile

L'éclairage aussi contrasté, avec ombres puissantes (antithèse clair/sombre) Les éléments ont une connotation triste, angoissante même, symbolisent la mort : • Forte présence nuit : univers sombre, nébuleux où évolue, se cache C (antithèse avec A) • Ombre régnante semble annoncer mort • Pierre peut être euphémisme mourir, pierre devenant alors pierre tombale (confirmé par "froid") • boue suggère aussi enfouissement, connotation gluante qui emprisonne : illustre relation Il parait clair que comme

chanté accompagné d’un tam-tam. * La femme est évoquée à différents moments de sa vie, mais elle est toujours présente aux côtés du poète : lors de l’enfance c’est la mère protectrice qui élève son enfant tout en le choyant « J’ai grandi à ton ombre ; la douceur de tes mains bandait mes yeux ». Lors de son l’adolescence, c’est la jeune femme aimée et sensuelle, mise en valeur avec « voilà qu’au » et « ta beauté me foudroie en plein cœur » + répétition du mot cœur. Lors de l’âge mûr, c’est la

‘‘Un chant dans [...] métal clair’’, et d’un quatrain : ‘‘Les découpures [...] dans l’ombre’’. Le mètre utilisé est l’octosyllabe et il est conservé tout au long du texte mis à part le vers 9. Les rimes des quatrains sont embrassées : ‘‘[ombre] [if] [if] [ombre]’’ et les rimes féminines et masculines sont alternées : ‘‘[eur] masculine, [èle] féminine, [oi] masculine, [ière] féminine’’. Enfin, le dernier vers constitue la chute du poème, ‘‘ce crapaud-là c’est moi’’ donne tout son sens au texte. Il

nuit apparaît soudainement. Plus le temps passe et plus Victor Hugo fait face à l’obscurité qui ne cesse d’augmenter « l’obscurité croissait comme un effrayant mur », ici, l’obscurité est comparée à un effrayant mur, tel un obstacle qui projette son ombre sur nous et nous plonge dans l’obscurité. La présence de noirceur et donc de la nuit fait place à l’effroi, la peur, l’inquiétude. Encore une fois on retrouve la noirceur « l’échafaud devenait ténèbres », plus la nuit passe et plus l’échafaud est effrayant

d'actions au passé simple qui donne de la vivacité au récit : importance de la lumière ( antithèse la pièce est d'abord obscure «  ombres » «  obscure » qui s'oppose à » brillante clarté », une fois le rideau tiré . On peut noter que le terme «  fantastiques » associé à « ombre » préfigure la dimension fantastique de la scène à venir et renvoie à toute la problématique du récit fantastique : lumière = réalité et raison / ombre = surgissement du surnaturel = le côté sombre , que l'on ne peut expliquer

parce qu’il faisait tout noir car mes rideaux étaient fermés. J’ouvris mes rideaux et je vis une ombre traverser en courant ma chambre. Quand elle fut sortie de ma chambre, je n’avais aucune idée ou elle se trouvait. Je sortis donc dans le couloir et je vis une lumière au-dessous de la porte de la chambre de mes parents. Je rentrai dans leur chambre mais je ne vis rien. En regardant bien, je vis une lumière au-dessous de la porte de la salle de bain de mes parents. Ça ne pouvait être qu’elle, car j’étais

minutes, j'entendis une voix, puis je sentis un frisson et je vis une ombre blanche passer devant moi. Je ne bougeai plus. L'ombre blanche se rapprocha de moi, je crus voir une créature vêtue d'un drap blanc. Je me rappelai alors les histoires de mon enfance : c'était peut-être une dame blanche qui voulait me tuer. Je m'enfuis de peur, mais je ne pouvais m’empêcher de regarder derrière et je ne vis plus rien, plus une ombre, plus de bruits, plus de frisson, juste mon panier entouré de brume.