Ombre Et Lumiere

dernière’’ jusqu’à ‘’chitine’’ il situe le lieu où il se trouve et décrit les odeurs qui se dégagent après une averse. Le premier paragraphe est essentiellement de la description de son environnement. Puis, dans la deuxième partie va de ‘’pas la moindre ombre’’ jusqu’à ‘’je suis devenu’’. Dans cette partie, les ressentiments du narrateur nous sont faits part, on comprend qu’il est en proie à une certaine souffrance due à la solitude ainsi qu’à un disfonctionnement dans son corps. La dernière partie va

. . . . . . . . . .8 Création d’un effet de miroir magique Recadrage créatif de photos Explosion de lumière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .13 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .16 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .21 Contrôle total du contraste à l’aide de deux images Peinture à la lumière numérique Gravures sur bois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .29 . . . .

répétition régulière du champs lexical de l'invisible: "Tout était noir" et "On ne distinguait rien" ligne 1, "...on ne voyait pas.." ligne 2, "indistinct" ligne 6, "On ne voyait rien" ligne 9, "sombre" ligne 12, "ombre" ligne 13, "ténèbres" ligne 15 et 19, "l'invisible" ligne 15, "noir" ligne 17, "ombre" et "obscure" ligne 20. De plus Hugo clarifie au lecteur l'impossibilité de voir quelque chose en décrivant les impressions des autres sens qu'il propose explicitement comme alternative à la vue. L 'ouï:

féerique, onirique.Confusion des sensations (perception par les sens)- Entrecroisement des perceptions visuelles et auditives.- 2ème strophe : "brume", "fumée", "ombre" (vers 9, vers 11, vers 12) Place est faite aux sensations visuelles, mais des sensations visuelles voilées (intérêt pour les ombres et les lumières) Opposition ombre / lumière lors des vers 9 à 16.Mouvements opposés (naître, monter / verser), verbes de mouvements.Adjectifs qualificatifs valorisant, le poète est engagé affectivement dans

d'orgueil, après tant d'étrange Oisiveté, mais pleine de pouvoir, Je m'abandonne à ce brillant espace, Sur les maisons des morts mon ombre passe Qui m'apprivoise à son frêle mouvoir. L'âme exposée aux torches du solstice, Je te soutiens, admirable justice De la lumière aux armes sans pitié! Je te tends pure à ta place première, Regarde-toi! . . . Mais rendre la lumière Suppose d'ombre une morne moitié. O pour moi seul, à moi seul, en moi-même, Auprès d'un coeur, aux sources du poème, Entre le vide

une fenêtre fermée et un coin de rideau blanc sur la fenêtre. A l’extérieur de cette pièce, il fait déjà noir. 3) Essai d’interprétation Maintenant, je vous présente ce tableau par quatre parties : l’interprétation de l’espace, les sources de lumière, les couleurs et les caractères du personnage. D’abord, nous ne pouvons pas voir clairement le visage et les mains de l’homme qui prend le vase de fleurs. Donc, on ne peut pas savoir la relation exacte entre eux. Mais, on peut supposer que la relation

avec son maître), ainsi que les mouvements saccadés de la diligence, donnent au film ce sentiment d’étrangeté. Mais l’étrange tient surtout à l’utilisation de l’image en négatif qui noircit le ciel et blanchit le paysage. Enfin, la présence d’une lumière bleue dans certaines scènes confère une atmosphère grinçante au film. Le comte Orlok illustre avec brio le monstre repoussant et inquiétant. Le jeu des acteurs est particulièrement expressif. Ce jeu expressif est très communicatif ; lorsque Knock

Le tracé terminé, le modèle se retire et laisse sur la toile la trace de son empreinte qui entoure son exacte surface. Le corps et son ombre se rejoignent dans une même forme. Il dit : « Ces peintures parlent de la présence/absence du modèle. Trace de la trace comme surface d’absence qui renvoie (rend voix) à la présence muette du tableau. Le corps et son ombre se rejoignent dans une même forme : la forme du corps est le corps de la forme. »Jean Daviot retire ensuite du dessin tout élément perspectif

roule La vie S’écoule Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 Il fait froid L’hiver blanchit le dur chemin Tes jours aux méchants sont en proie. La bise mord ta douce main ; La haine souffle sur ta joie. La neige emplit le noir sillon. La lumière est diminuée… Ferme ta porte à l’aquilon ! Ferme ta vitre à la nuée ! Et puis laisse ton coeur ouvert ! Le coeur, c’est la sainte fenêtre. Le soleil de brume est couvert ; Mais Dieu va rayonner peut-être ! Doute du bonheur, fruit mortel ;

L’Optique est la branche de la physique qui étudie la lumière. C’est un domaine très vaste qui a connu dans la deuxième moitié du XXe siècle une progression spectaculaire avec la mise au point des lasers. Les applications technologiques de cette science désormais multidisciplinaire sont très répandues dans notre société. Il suffit pour s’en convaincre d’observer, dans notre quotidien, de toutes les diverses sources de lumière qui nous entourent : écrans LCD, plasma ou LED de télévision