Obus

les carnages de la bataille de Verdun . La période sur laquelle la bataille a durée . Sur la photo je peux observer que la ligne ferroviaire ce situe sur un champ de bataille . A côtés de la ligne ferroviaire , nous pouvons voir qu'il y a un obus qui a explosé la . Nous pouvons voir qu'il y a un soldat mort a côté du trou d'obus, d'où la violence des combats . Sur la ligne ferroviaire , il y a deux soldats qui marchent . Le paysage derrière semble vide et meurtri . Doc 2 L'offensive

jour n'existe plus le soleil s'est noyé La caserne est changée en maison de l'effroi Et je suis triste ainsi qu'un cheval convoyé Que t'est-il arrivé souffres-tu ma chérie Pleures-tu Tu m'avais bien promis de m'écrire Lance ta lettre obus de ton artillerie Qui doit me redonner la vie et le sourire Huit fois déjà le vaguemestre a répondu "Pas de lettre pour vous" Et j'ai presque pleuré Et je cherche au quartier ce joli chien perdu Que nous vîmes ensemble ô mon coeur adoré

texte que nous allons étudier est extrait du chapitre 2 du Voyage au bout de la nuit, dans lequel Céline narre les péripéties du soldat Bardamu lorsqu'il entre en contact avec le colonel de sa division, et que celui-ci est malencontreusement tué par un obus qui laisse la vie sauve à Ferdinand, qui décide ensuite de rejoindre un avant-poste tant la guerre lui fait peur. Il est intéressant de démontrer comment l'auteur a voulu dénoncer la guerre et transmettre son point de vue à travers un anti-héros qui

Les obus qu'il tirait pesaient 800 kg et avait un diamètre de 420 mm. A la fin de la guerre, il fût fondu pour que cette arme ne tombe pas entre de mauvaises mains. - Le Canon de Paris: c'est sans doute l'arme la plus mystérieuse de cette guerre. Il n'aura été utilisé qu'une seule fois par les allemand, lors du bombardement de Paris. Comme la Grosse Bertha, il fut détruit après son utilisation et les plans furent brûlés. C'est un canon à très longue portée (120 km). Il utilisait des obus 8x plus

suis dans les tranchées je ne dors presque plus. J'ai énormément maigri mon dit mes camarades, mais depuis quelques temps la nourriture me rend malade. Je n'arrive plus à mangé. Mais ce n'est pas cela qui me dérange le plus. Le bruit des fusils, des obus et des bombes ne cessent jamais, aussi bien le jour que la nuit. Les soldats reviennent soit blessés soit morts. Chaque jour, je me demande si c'est le dernier. J'ai peur et j'ai froid. Oui, très froid. Le vent ici est glacial et nous n'avons pas beaucoup

- 1915 : entrée en guerre de l'Italie et « guerre des Cimes » contre l'A-H. - 1916 : Verdun de février à décembre (10 mois) et Somme (contre offensive britannique) de Juillet à novembre. C'est « l'impossible percée » et la mortalité de masse (1 obus tous les 5m² à Verdun. 1917 : Avril ; chemin des Dames : illustration de l'« attaque pour l'attaque », offensive qui ne sert à rien. → Pétain prend le commandement + mutineries en parallèle. Entrée en guerre des États-Unis qui « compense » le

successivement par les allemands et les français. Les anciens habitants ont décidé de ne pas reconstruire ce village qui vivait principalement d'agriculture parce que les champs et les terres n'était plus habitables. En effet, les obus non déterrés et non explosés sont encore présents (20 obus non explosés sont découverts chaque année) .Pour moi, voir cette ville était important pour illustrer les destructions dues au combat, en traversant la ville le vide laissé par la guerre et les plaques indiquant ce qui

prolonge. Les forces en présence se retrouvent face à face dans des tranchées creusées pour s’abriter. On appelle cette période : la guerre de position. Là, les soldats des deux camps, mal nourris, ont une vie épouvantable, dans la boue et exposés aux obus. Beaucoup meurent, sont blessés, et souvent mutilés. Ils sont si chevelus et barbus qu’on surnomme ces soldats les « Poilus ». Certaines batailles durent plusieurs mois comme celle de Verdun en Lorraine qui fait 500 000 morts en 1916. En 1917

décrire son état d’esprit pendant les combats. Il évoque, à travers une énumération des armes utilisées, les combats d’une extrême violence qui caractérisent une offensive dans le cadre de la guerre de position : le « canon », tirant des obus de plus en plus gros et des obus à « gaz » asphyxiants pour affaiblir au maximum les lignes ennemies avant l’assaut de l’infanterie. Des lignes ennemies défendues par des champs de « mines », par le « feu » des « mitrailleuses » et par les « torpilles » tirées par

L’armée allemande veut « saigner à blanc » l’armée française, briser les nerfs de l’adversaire, lui infliger des pertes telles qu’elle ne pourrait pas se relever. Le déroulement de la bataille. Le lundi 21février 1916 vers 7 heures, un obus de 380 explose dans la cour du palais épiscopal de Verdun. 1300 obusiers ravagent la zone. L’infanterie allemande monte à l’assaut des lignes françaises. Certains soldats sont équipés d’un lance-flamme. Les poilus résistent à la première attaque. Philippe