Obus

sortie de Fleury, devant le fort de Souville. Nous avons passés trois jours couchés dans des trous d'obus à voir la mort de près, à l'attendre à chaque instant. Et cela, sans la moindre goutte d'eau à boire et dans une horrible puanteur de cadavres. Un obus recouvre les cadavres de terre, un autre les exhume à nouveau. Quand on veut se creuser un abris, on tombe tout de suite sur des morts. Je faisais partie d'un groupe de camarades, et pourtant chacun ne priait que pour soi. Le pire, c'est la relève

habit de travail en train de faire fonctionner une machine qui servait autrefois à fabriquer des obus Interprétation : En effet, les femmes ont également participer à la guerre. Elle ne se trouvaient pas dans les tranchées et les zones de combats mais elles ont eu une grande activité à l’arrière afin de les aider car c’est elles qui fabriquaient les outils de guerre, munitions, obus … On les appelaient les munitionnettes. Conclusion : Cette guerre a été un désastre sur

l’artillerie, de la balistique permettent d’utiliser des armes qui donnent « la mort » de loin. Utilisation de canons à longue portée : le plus puissant est un canon allemand appelé la Grosse Bertha dont la capacité de frappe était de propulser des obus de plus d’une tonne.   La découverte des armes chimiques   La mise au point des chars C – l’implication de l’arrière                 1 – un effort demandé à l’arrière en termes de participation au conflit : l’exemple des femmes                

des soldats relativement mal équipés. Les premières tranchées sont des trous dans la terre mais rapidement, des réseaux complexes y sont implantés. Les tranchées sont divisées en deux lignes, elles sont conçues afin de contenir l’explosion des obus ennemis et empêcher l’ennemi d’atteindre la ligne. Les tranchées ont été utilisées comme des lignes de défense. La guerre de tranchées est le symbole même de la Première Guerre mondiale. Mais petit à petit, l’armement se modernise : en particulier

signifie "précises", or ici, on pense également à "pointes, pointu" -"trouver un obus" = absurdité du hasard -On a donc ici un tragique moderne car la dérision n'avait jamais été évoquée à un tel point. c. Quelque chose qui dépasse l'Humain -"C'est une bien grande charogne en moins dans le régiment" ; "Chacun sa guerre" = Aucune compassion -"de sacrées ordures que j'aurais aidé bien volontiers à trouver un obus comme Barousse" = cynisme, immoralité. -Il n'y a aucun héros, le messager est

en place une économie de guerre sous la direction de l'industriel Rathenau. Tous les pays belligérants lui emboîtent le pas. Le principal problème est de fournir à l'armée la production qu'elle réclame. L'Etat-major français réclame ainsi 100 000 obus par jour alors que l'industrie d'armement ne peut en fournir que 10 000 ! La France est particulièrement concernée par ce problème de production parce que ses régions industrielles (le Nord et l'Est du pays) sont soit occupées par les Allemands depuis

la silhouette d'un soldat éveillé et qui guette en surveillant l'autre coté. On distingue également deux autres soldats endormis ou morts. Au dessus, le ciel d'où se distinguent des silhouettes d'arbres torturés, déchiquetés par les balles et les obus Le personnage central est mis en valeur. Il est au centre des diagonales du document, éclairé par la lampe donc plus précis que les autres qui sont flous Point de vue de l'auteur: comme si nous étions dans les tranchées 4) Interpréter l'œuvre

d'articulé : ‑ Le maréchal des logis Barousse vient d'être tué, mon colonel, qu'il dit tout d'un trait. ‑ Et alors ? ‑ Il a été tué en allant chercher le fourgon à pain sur la route des Etrapes, mon colonel ! ‑ Et alors ? ‑ II a été éclaté par un obus ! ‑ Et alors, nom de Dieu ! ‑ Et voilà ! Mon colonel… ‑ C'est tout? ‑ Oui, c'est tout, mon colonel. ‑ Et le pain ? demanda le colonel. Ce fut la fin de ce dialogue parce que je me souviens bien qu'il a eu le temps de dire tout juste : « Et le

sang, pas la moindre blessure. Mais je te le dis, ici c'est totalement l'inverse, Nous sommes sales, nous nous enlisons dans la boue, nous n'avons aucune hygiène de vie, la nourriture commence à manquer et nos oreilles sifflent après avoir entendu les obus tombés. Je suis tel un miséreux et vieux de plusieurs milliers d’années. Tu ne peux même pas imaginer de ce que l’homme peut faire contre l’homme.  Cette guerre est ignoble, voici plusieurs jours que je suis souillé de terre et de sang, que mes souliers

soir » Sens et contenu : portrait d'une ville sombre, peu avenante et réaliste Lecture : Si je mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font