Obus

Le but de l’artillerie est de pilonner le camp ennemi et de faire le plus de blessé possible. Des obus, projectiles creux remplis d’explosifs, sont envoyer sur les tranchées ennemies. L’artillerie se trouve souvent localisée en retrait du front, grâce à sa grande portée. L’utilisation de ces obus fait de nombreux victimes de tous côtés. Les puissante déflagration qui résulte du tir de ces obus changent également la topographie du terrain. Durant la Grande Guerre, les campagnes du nord-est de

Rapidement, des besoins en matériel se font sentir sur le front où il faut des obus, des uniformes, des chaussures, des munitions... et la production n'y répond pas. Ainsi le 7 août 1914, les femmes sont appelées à travailler par le chef du gouvernement Viviani. Dans les villes, celles qui fabriquent des armes dans les usines sont surnommées les munitionnettes. Les femmes ont fabriqué en quatre ans 300 millions d' obus et plus de 6 milliards de cartouches. Dé plus, elles distribuent le courrier, s’occupent

plan nous pouvons voir des corps déchiqueter par les obus larguer par l'armée allemande au second plan est dessinés plusieurs hommes mobilisés au front ( au combat ) pui au dernier plan ont peut y voir des barbelés auquelles des corps y sont accrochés … II-ANALYSE DE CETTE BD Dans son livre Tardi veut nous faire passer un sentiment d'enguoisse, en y mettant des scènes complètement glauque ( personnes étant morte broiller par les obus ) il y met aussi un langage vraiment familier comme

Séance 4: Un peu de versificationDominante : Méthodologie Compétences visées : -Je suis capable de reconstituer des vers (et connais les vers les plus fréquents)-Je sais retrouver des rimes et les nommer (révision système de rimes)-Je sais repérer des assonances et des allitérations et comprendre l'effet qu'elles produisentSupports : Différents petits extraits de poèmesManuel p 238 ex 3,4 et 5Activité 1 : Manipulation3 p 238Activité 2 : Les rimesP238, n° 4Faites un rappel des

contre les obus et les balles perdues comme il l’avait cru auparavant.C’est un ancien facteur. -Kropp: C’est un ancien camarade de classe de Paul. C’est un penseur . -Tjaden: Il est un ami de Paul et un ancien camarade de cours. Il pisse au lit et à cause de l’attitude d’Himmelstoss face à cela, il a une haine envers ce caporal. Mais il y a aussi Müller, Haie Westhus et Detering. Il font tous partie de la deuxième compagnie. Certains d’entre eux mourront abattus ou touchés par un obus du camps

lieux d’un accident ; * dans le cas d’une personne intubée et ventilée dans le coma. L’oxygène est distribué au patient de 2 façons : - par une distribution centralisée, qui aboutit à la prise murale ; - à l’aide d’un conteneur sous pression (obus) muni d’un manodétendeur. Les 2 systèmes sont munis d’un débitmètre permettant de régler le débit de l’oxygène délivré au patient. Préparation du matériel : L’AS prépare avant tout le matériel nécessaire à l’oxygénothérapie : Un débitmètre

ils tuent. Guerre impersonnelle : le soldat ne voit pas qui il tue et qui le tue (par exemple lors d’assauts sur le No Man’s Land), les attaques par obus ( 1,5 millions d’obus tombent par jour sur Verdun). Les armes utilisées sont des baÏonettes, des couteaux, des pelles, des coups de fusils, des obus. En fait TOUT POUVAIS SERVIR D’ARMES. Les obus peuvent mutiler les soldats et ils font disparaitre les corps car il y a un énorme souffle quand l’obus explose. Certains soldats ne sont jamais retrouvés

central : 1er plan : La tranchée est transformée en charnier humain de boyaux éparpillés sur toute la largeur du panneau, avec des cadavres déchiquetés. On voit que le sol est recouvvert de sang et un tronc d'arbre carbonisé, plus rien ne survie aux obus et au feu. 2ème plan :Un squelette empalé sur une char pente semble pointer du doigt la mort. Il montre l'atrocité de la guerre et la déshumanisation des actes et de ces conflits. A droite, il y a un cadavre la tête en bas et les jambes en l'air

cette souffrance,de tout ce sang et de l'horreur qui pèse sur tout nos lendemains. Tu rêves pas de resserer ton gosse dans tes bras toi? Si on reste ici on est juste bon a enterrer." Avait il tord? Je mentirais si je disais que oui. Me jeter sous un obus paraissait plus simple comme choix. Ma reponse fût negative et celui ci plissa les yeux face a ma reponse et siffla quelques injures banale d'une personne qui se sentait coupable. Son depart me reveilla au beau milieu de la nuit, je le vis recupperer

qu'ils nous avaient inculquée. » — Erich Maria Remarque, À l'Ouest, rien de nouveau, chapitre I4. Paul raconte les abominations de la guerre : les tranchées ne sont même plus en état d'être occupées, envahies de rats ou complètement détruites par les obus. Heureux d'avoir une permission, Paul rentre chez lui, mais n'est compris que de sa mère qui ne lui pose aucune question. De retour de permission, il est heureux de n'avoir perdu aucun de ses amis. Obligé de mûrir d'un coup à 19 ans, Paul remet en