Obus

externeIS 1Nature Citation 1Deux papillons jaunes jouent tout un après-midi devant notre tranchée; leurs ailes sont tachetées de rouge. Qu’est-ce donc qui a pu les attirer ici? Il n’y a pas une plante, pas une fleur aux alentours.Citation 2C'est un second obus qui vient

tranchée et donc causer de glissements de terrain qui engloutissent les soldats. Beaucoup de soldats sont morts à cause de l'explosion d'un obus : effet de souffle, ou soldat frappé par du shrapnel ou un éclat de métal. Ainsi, les soldats, avant chaque assaut avaient peur, peur de la mort anonyme : de mourir seul, éloignés de leur famille, tués par l'éclat d'un obus lancé par un soldat ennemi qui a actionné un canon se trouvant à plusieurs kilomètres de là. Parfois même un soldat de la même armée que

le peintre utilise exclusivement des formes géométriques, comme le cercle, le cube; c’est une référence au cubisme pour suggérer que ces soldats ne ressemblent plus à des hommes, leurs bras, mains font penser à des pièces mécaniques mais aussi à des obus. On ne peut reconnaitre que ce sont des hommes seulement au fait qu’ils aient des pipes, des cartes de jeu, et des accesoires qui font référence à l’univers du soldat. Ce tableau dégage une impression de froideur qui est représentée par des couleurs

aveuglement, des douleurs intenses et des séquelles après la guerre, ou encore les obus « avancé » appeler « shrapnells » qui en explosant envoyer des salves de balles en plus et causer des assourdissement, des morts, des blessures affreuses, ou encore les mines avec une mort immédiate ou des blessures attroce. Il y a aussi les mitraillettes, les char d’assaut et les premiers avions de chasse qui larguent des obus. Les soldats qui ont survécu à cette guerre en sont ressortis traumatisé psychologiquement

portent des masques à gaz qui les font ressembler des mouches. Au premier plan on voit donc trois hommes, un qui, on dirait, a les mains totalement ensanglantées par les barbelés, il semble agrippé a un lopin de terre, on pourrait donc aussi penser qu’un obus a éclaté, que le soldat a perdu ses mains dans les éclats et ne peut plus bouger, crispé par la douleur ; d’où le fait que les deux autres essaient de dégager le chemin pour aider leur compagnon. A l’arrière plan, on voit encore des hommes, qui suivent…

offrons 2 semaines de vacances. Rentrez voir votre famille, amusez vous, reposez vous. Avec mes sincères salutations, Mr le ministre de la Défense » Ces vacances je vais les prendre. Mais ce petit ministre sait-il que mes enfants ont reçu un obus sur leur école; que ma femme est, depuis en dépression et que mes amis sont soit au front soit mort? Je prépare mes valises. J'avais perdu l'habitude. Mais je m'aperçois que mes affaires se résume à un réveil noir, un pantalon blanc, une chemise

entre les deux premiers poèmes du corpus. En effet, on remarque dans ces deux textes des champs lexicaux relativement marqués comme celui de la mort, avec “je mourais”, “s'éteindrait”, et “meurt” et celui de la guerre, avec “le front de l'armée” et “un obus”, dans le second. On a ensuite le champs lexical de la décomposition dans le poème de RONSARD avec, “les os”, “un squelette”, et “décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé”. Dans le premier texte, l'auteur utilise le pronon personnel “je”. On comprend

// conflit sur les mers (navires ou soumarins) = Europe du nord ou méditerranée Blocus en mer du nord = empêcher le raivitaillement de l’All et Aut-Hong = but d’affaiblir l’ennemi Forces de combat : 1er conflit industriel // puissance de feu : obus en grande quantité, innovations : gaz asphyxiant (All) // Royaume-Uni = tank Durée de la guerre : front a du mal à avancer = 4 années de conflit Allemagne passe par la Belgique et viole le principe. 2) Les tranchées : la guerre de position Si

que la Roumanie. L’empire Ottoman rejoindra les empires centraux et le Japon. Les alliés viendront & égalem± des colonies. II. Les Fr ds une G totale 1) Combattre ds une G nouvelle 1.1 Vivre au front Les dangers au front étaient les Obus, la nuit (les gazs, bruits, attaques…) Les soldats subissent des bombardem±s. Soldats devant traverser le « nomansland » - assauts meurtriers. Ils vont souffrir du manque d’hygiène, la vermine va proliférer : les rats, la boue, le froid, manque de

bombardait le no man's land. Les anciens obus qui explosaient une fois au sol sont remplacés par des obus qui explose à l'impact. Pendant l'assaut l'artillerie tirait une salve toute les 3 minutes 100m devant l'infanterie. De plus le développement permis d'ajuster la précision des bombardements. Pour le soldat ces bombardements étaient une vraie torture psychologique. La précision des canons malgré le développement des techniques restaient imprécis et des obus alliés pouvaient arriver dans leur propre