Obus

tranchée et donc causer de glissements de terrain qui engloutissent les soldats. Beaucoup de soldats sont morts à cause de l'explosion d'un obus : effet de souffle, ou soldat frappé par du shrapnel ou un éclat de métal. Ainsi, les soldats, avant chaque assaut avaient peur, peur de la mort anonyme : de mourir seul, éloignés de leur famille, tués par l'éclat d'un obus lancé par un soldat ennemi qui a actionné un canon se trouvant à plusieurs kilomètres de là. Parfois même un soldat de la même armée que

souvent qu'à quelques centaines de mètres, mais pour y parvenir il faut franchir des barbelés et avancer au milieu des cratères creusés par les obus, sous le feu ennemi. 2. Les combats • La guerre de position favorise l'emploi de nouvelles armes, particulièrement meurtrières  : le tir de l'artillerie rend la protection des tranchées illusoire, les obus sifflent puis éclatent en blessant les soldats, en faisant s'effondrer les tranchées, en brisant l'assaut d'une section ; l'emploi des gaz ou des

la jeunesse et l'amour. Ils doivent se retrouver le soir même. Dans le car qu'il emprunte, il rencontre un vieil ami d'enfance qu'il s'efforce habituellement d'éviter soigneusement. En effet, Jorka a été défiguré et handicapé par l 'explosion d'un obus, triste vestige de la 2ième GM, manipulé au cours d'un jeu de l'enfance. Il avait alors une dizaine d'années et sa vie s'est alors figée dans le malheur et la frustration. Ce jour-là, l'humeur du narrateur est telle qu'il accepte de donner un peu de

de la « bague de tranchée » vient de cette constatation que le canal de mise de feu des fusées d'obus est à peu près du diamètre d'un doigt. La fusée allemande du 77 se rapprochant davantage des dimensions normales d'un doigt de femme, ce furent les obus ennemis qui donnèrent naissance aux premières bagues. On peut, sans trop de difficulté, obtenir, par simple sciage, trois à quatre petites rondelles dans la partie C des fusées de l'obus de 77. La partie terminale D, si elle n'est pas trop détériorée

Allemagne : 44781 morts 89000 blessés 300000 malades Les pertes déclarées des français sont beaucoup plus lourdes que celles des allemands cela peut s'expliquer par l'armement plus perfectionnés des allemands avec leurs fameux obus fusants plus efficaces que les obus percutants des français. On notera également que la commande des munitions des français aux belges n'est pas arrivés à temps et a conduit Napoléon III à capituler face aux allemands. Les pertes liées à la maladie sont dues à la variole

terre qui a été extraite au moment du terrassement de la tranchée est répartie sur le rebord avant, le parapet, et sur le rebord arrière, le parados. Ces deux reliefs artificiels ont pour but d'accroitre la protection à la fois des tirs de face et des obus qui éclateraient devant ou derrière la tranchée. Les changements de directions dans les tranchées doivent être nombreux afin de permettre un croisement facile car le boyau de communication est sujet à de multitude va et vient ; il y a les brancardiers

sonore » vers 10, qui exprime aussi la douceur évoquée par le poète, avec l’absence de ponctuation pour renforcer l’effet de l’amour-passion. Mais hormis, l’amour, Apollinaire aborde le thème de la Guerre « Et les cheveux sont fauves comme le feu d’un obus qui éclate au nord » vers 10-11. « Le ciel est plein ce soir de sabres d’éperons » vers 3. Par ailleurs, il nous fait part de sa colère et de sa tristesse regrettant l’amour inachevé, d’être loin de sa bien aimée, mais surtout sa douleur « Ta bouche

forts de la ceinture de Liège en août 1914 disloqués par les 305 mm autrichiens et les 420 mm allemands, le Haut Commandement français ne croit plus en l'efficacité des forts. Ceux-ci sont d'après-lui des cibles trop exposées, de véritables pièges à obus vers lesquels convergent tous les feux de l'artillerie adverse. En cas d'attaque, ils sont voués à une destruction certaine. Les ouvrages de campagne sont plus susceptibles de se camoufler, de se fondre dans le terrain. Le 20 février 1916 au soir

dans son trou, impuissant, attendant, espérant le miracle ». Ces quelques mots extraits du journal des tranchées résument l’horreur du conflit et la peur qui règne au quotidien. En effet, la vie d’un poilu peut basculer d’une seconde à l’autre : un obus, un assaut, une mitrailleuse peut être fatale. Les soldats, pour l’essentiel des civils ayant revêtu l’uniforme de leur patrie, font l’apprentissage de la brutalité du combat et en particulier de la puissance des bombardements d’artillerie qui, en

lunaire ». B – Le document ci-dessus est une photo. C - Cette photo nous démontre un champ de bataille qui ressemble très fortement à un paysage lunaire. La tranchée à gauche peut faire croire à une cicatrice. Et les trous causés par les obus à des cratères. A – Le document nous apprend ou nous confirme la vie monstrueuse que les soldats du front ont vécus. Nous pouvons voir une terre dévastée pas les tirs d’obus (ils pouvaient en recevoir toutes les cinq secondes !). Le no man’s