Obus

1) Le déblaiement, première étape de la reconstruction Le lendemain de la libération, la ville est un champ de ruine, conséquence de la stratégie de bombardements aériens intensifs entre le 6 juin et le 19 juillet 1944. Plus 600 000 obus se sont abattus sur la ville en soixante dix-huit jours créant un chaos urbain. La violence des bombardements laissera un profond traumatisme parmi la population civile Des milliers de tonnes de gravats occupent la totale partie de la ville, et il

monstre tout droit sorti des enfers. Mais pourquoi ? Pourquoi est-ce que je suis toujours vivant ? Pourquoi je ne suis pas tout simplement mort ? Pourquoi est-ce que j’ai survécu à cet obus ? Tout aurait été tellement plus simple, que ce soit pour moi ou pour mon entourage, si seulement j’avais succombé à cet obus, tout aurait été tellement plus simple… Je préfère me savoir mort que de lire la peur dans le regard de mes proches. Les larmes coulants sur ce qu’il reste de mon visage me sortent

mobilisation économique et sociale. [pic][pic] La guerre impose la reconversion de l’économie de paix en une économie de guerre .Il faut en effet produire , en quantité croissante , armes et munitions .Pour exemple la fabrication quotidienne des obus de 75 est multipliée par 38 ( 1914 : 4 000 ; 1916 : 151 000 ) . Les États interviennent dans l’effort de guerre .Le conflit entraîne une mobilisation économique sans précédent. Doc 3 p 134 Les « munitionnettes » [pic] Prends garde au môme... hein 

Guillaume Apollinaire : Poèmes à Lou : « Si je mourais là-bas...» Texte étudié : Si je mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme

travaillant dans les usines sont payées moitiés moins que les hommes qu’elles remplacent. Elles doivent parfois travailler pendant 11h sans protections et lutter contre la faim et les maladies. Le travaille à l’usine est très dure : chaque obus pèsent 7kg, sachant que 25 000 obus passent dans les mains de l’ouvrière, cela représente 175 000kg portés pendant la journée. La santé des ouvrières est mis à rude épreuve. Certaines femmes sont recrutées pour aller soigner les soldats sur le front, mais ces « anges

accompagne son grand-père. Il construit depuis 1999 une œuvre littéraire couronnée de succès avec des romans qui mettent en avant des personnages très variés dans des circonstances très différentes, comme un jeune officier français défiguré par un obus en 1914 au tout début de la Première Guerre mondiale, un homme d'affaires britannique dépressif, un officier de marine russe et Staline ou John Edgar Hoover et le monde politique américain. · Le genre: Le genre de ce livre est un Roman. · Le cadre:

aussi faire ressortir sa tristesse. Ce poème, est un récit historique car en effet il fait référence à la guerre de 14-18. L’ambiance de la guerre est mise en évidence par le champ lexical de la guerre « feu de bois » (vers 42), « un obus » (vers 43), « un cavalier » (vers 45) et « le chemin » (vers 46). Ici l’auteur veut faire rendre compte dans quelles conditions il écrit, par le champ lexical de la lumière « lueur tremblante » (vers 41), « feu de bois » (vers 42), « la nuit » (vers

| Texte analysé : Si je mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font

dans l'armée allemande. Dans ce roman est décrite l'atrocité de la guerre et l'évolution de la mentalité des soldats durant celle-ci. Le lexique de la mort est omniprésent tout le long du livre. Le narrateur insiste sur le fait que les cadavres, les obus, etc.. sont toujours autour d'eux, ce qui leur enlève tout espoir de paix et les fait vivre dans une optique de mort imminente où il faut tuer pour soi-même survivre. L'idée d'amitié et de camaraderie est cependant présente car les personnages sont

combattu sous les obus, pour défendre leur nation et s'emparer de l'ennemi. Les « poilus », nom donné aux soldats français,vivent dans des conditions catastrophiques, outre les souffrances morales omniprésentes qui leur ronge leur cœur, les tranchées prennent l'apparence d'un charnier humain. La faim, la soif, le manque de sommeil, le froid, la boue, la nostalgie du foyer, la saleté et les poux endurcissent le séjour des soldats. Ils utilisent de nombreuses armes comme les obus, les canons, l'artillerie