Obus

femmes sont "anges blanc" infirmière au front, médecins, aides-soignantes dans des hôpitaux aménager , sous des tantes. - Il y a aussi les "munitionnettes " ou femmes des villes qui travail dans les usine de fabrication d'armes de guerres ,obus,armement, tout ce qui servira a la guerre , elles pallient aussi au manque de main d’œuvres dans de nombreux domaines: distribution de courrier,conductrice de tramway... Les femmes plus aisée au niveau social , sont marraine de guerre, ce qui consiste

n'y a pas, dans ces heures graves, de labeur infime. Tout est grand qui sert le pays. Debout ! A l'action ! A l’œuvre ! Il y aura demain de la gloire pour tout le monde ». Baïonnette (la) pour, le journal satirique montrant une femme portant un obus comme elle porterait un enfant. Champ pour, le champ de bataille (hommes) et le champ de travail agricole (femmes). Deuil pour, les proches de décédés et de disparus. Emancipation féminine pour, la nouvelle place de la femme dans la société

nuitamment, le soldat étant encombré et alourdi par tout le « barda » qu’il emporte pour son séjour en ligne : munitions, nourriture, couvertures, effets réglementaires et personnels, outils… Trébuchant sur les obstacles émergeant du sol retourné par les obus, ployant sous le poids, cherchant son chemin dans le dédale des « boyaux » qui mènent aux tranchées, la colonne montante met plusieurs heures à parvenir aux premières lignes. Le risque est bien réel, les adversaires ayant repéré les points de passage

BOTTE Valentine 1ère S2 DM : Première Guerre Mondiale « On attendait des balles, on reçoit des obus », tiré du film Marie Curie, une femme sur le front, « La guerre réduit l'humain à l'état de bétail : la faim, la vermine, la boue et ces bruits fous » déclare Otto Dix sur l'expérience combattante et traumatisante de la Première Guerre Mondiale. L'ensemble des situations et des pratiques de guerre auxquelles les combattants sont confrontés est appelé « expérience combattante ». Elle devient

DST : devoir sur la synthèse de documents Document 1 : « Les obus » (extrait de : Les croix de bois, Roland Dorgelès) Document 2 : « Qu'est-ce que la guerre? » site de la Croix-Rouge canadienne Document 3 : Voltaire, "Guerre", Dictionnaire philosophique, 1764 Document 4 :Otto Dix, Selbstbilnis als Schießscheibe (Autoportrait en cible), 1915, huile sur papier, 72 x 51 cm, Foundation, Vaduz. DOCUMENT 1 : « Les obus » (extrait de : Les croix de bois, Roland Dorgelès) Un souffle encore piqua sur

l'histoire ai jamais connue. Les conditions dans lesquelles se sont déroulés les combats sont horribles, dès le 1 jour un million d'obus sont tombés, ont se bat dans un paysage dévasté ou les arbres ne sont plus que des troncs noircis par la fumée des obus, le champs de bataille est un vaste charnier, les blessé sont souvent condamnés à rester dans la boue sur place. Certains d'entre eux meurent d'épuisement d'autres noyé par la pluie ou encore la gangrène d'autre encore cris pour signaler leur présence

inspecter une jeune femme tomber malade. Fière de son victoire, il se portait comme le Keiser, avec sa tête qui se portait de haut et un regard dédaigneux. Il avait subit aucunes blessures, et fut simplement déranger par les obus qui tombait. À cet instant, la pensée des obus, des éclats et les dégâts et le bruit. Le choc qui traversait tout le corps dans un instant, qui résonné jusqu’au fond du corps… Il lâchât un cri. Ses compatriotes se demandaient ce qui c’est passé, et en même temps, commencer

écarté… » (v.20). Également, l’auteur veut faire comprendre à Lou qu’il a peur qu’elle l’oublie. On le voit dans la comparaison suivante : « Et puis mon souvenir s’étendrait comme meurt (v.3)  Un obus éclatant sur le front de l’armée, » (v.4). La comparaison du souvenir (le poète) à la mort d’un obus qui éclaterait révèle que le poète se voit être oublié, une fois mort, comme l’illustre ce passage : « ce souvenir éclaté dans l’espace » (v.6). Ici, l’espace renvoie au vide, au monde céleste, à la

avec eux. Il détruit leurs maisons jusqu'à ce que les cochons se replient sur la maison du Sergent Pur Porc. C'est alors que débute la bataille entre le Loup et les cochons. À la fin du cartoon, Adolf le Loup est éjecté hors de son bombardier par les obus remplis d'obligation de guerre des cochons et chute vers le sol où une bombe qui explose l'envoie en enfer. Se rendant compte qu'il est mort il dit: « Où suis-je ? Ai-je été envoyé en… ? », ce à quoi un groupe de démons répond : « Aaaah, ça est possible

cette mort est certaine et se met déjà dans la sitation d'un mourant. On peut faire un véritable lien entre ce poème et la réalité. En effet, dans les vers 3 et 4: "comme meurt/ Un obus éclatant sur le front de l'armée", l'auteur compareson souvenir à un obus. On peut noter l'allitération en [b] au vers 5: "Un bel obus semblable" qui rappelle le bruit de l'obus. Pour Apollinaire, le front désigne la zone de combat. Mais, le front définit aussi la prtie supérieure du visage. Et, le 17 mars 1916, soit