Obus

pour la France. Guillaume Apollinaire compare la porte Auguste à une frontière qui départage la vie et la mort. * 5eme colonne : « o belle pluie d’acier change toi en couronne infini pour mes amis ». Guillaume Apollinaire compare les obus et les balles qui s’abattent sur les soldats à une pluie d’acier. Il utilise le mot « acier » car c’est la matière avec laquelle on fabrique les armes, les balles et la plus part des matériaux de guerre. De plus, il voudrait que cette pluie d’obus

au mieux (munit°) Belligérants veulent armes + perfectionnées= recherches sc ds l’armemnt (gaz/char/avions) E∆ finance par particulier et par banq. Et inflationne Mobilisa° fem+etrg. Ent mobilisé aussi : Renault : ∆° car↘, camions↗. ∆uit char/obus/avions GT = conflit mondial qui mobilise à deg jms atteint ttes les ressources dispo d’1 E∆ aussi bien humaines (arrière+front) que milit, eco, sc, culturelle. 0pitié C) Bilan GT Bilan humain : lourd : fra=1.4 m°dead+5m° Civils touchés too

Boris Vian a voulu faire ressortir le dernier vers du poème, comme le dernier souffle du personnage : « Il avait eu le temps de vivre ». Guillaume Apollinaire, Tendres yeux éclatés, 1956 (édition posthume) Tendres yeux éclatés de l’amante infidèle Obus mystérieux Si tu savais le nom du beau cheval de selle Qui semble avoir tes yeux  Car c’est Loulou mon Lou que mon cheval se nomme Un alezan brulé Couleur de tes cheveux cul rond comme une pomme Il est là tout sellé  Il faut que je reçoive ô mon

nécessaires au combat, tels que des obus avec un simple chalumeau et une bouteille de gaz, ou encore des cartouches pour les armes. Ces travailleuses, surnommées les « Munitionnettes », constituent plus d’un quart de la part de femmes mobilisées pour l’effort de guerre. La presse incite même les petites et jeunes filles à vouloir participer à cet effort de guerre à l’avenir, comme le montre un dessin de Paillard, où une petite fille déclare vouloir « tourner des obus » lorsqu’elle sera grande.

juillet à mi-aout 1916 en une semaine l’artillerie britannique tire 1 700 000 coups soit une moyenne de cinq obus pour chaque soldat de l’armée allemande. Pour celle de Verdun février à juin 1916 plus de 60 millions d’obus ont été utilisés, ainsi l’artillerie provoque plus de 70% des pertes humaines. Ces deux guerres furent l’unes les plus meurtrières provoquant par l’artillerie et surtout les obus une véritable boucherie et hécatombe. Pendant toute la Guerre les soldats ont dû supporter cette puissance

HDA : La chambre des officers : Eugène Fournier était ce que l’on appelle une « gueule cassée » : il fut défiguré par un obus lors de la 1ère guerre mondiale.Eugène Fournier était le grand-père maternel de l’écrivain Marc Dugain. C’est de son histoire que s’est inspiré l’auteur pour écrire son premier roman : « La chambre des officiers ». Epoque de l'hisoire: Guerre 1914-1918 . Début de l’histoire = Début de la guerre Durée de l’histoire= Jusqu’à la fin de la guerre Personnages principaux :

pulsions,dîtes,animales. Tout comme leur condition de vie,ils rampent dans la boue,il fait froid,ils sont isolés de tout(manque de la famille),vivent dans des tranchées au risque de se faire tuer par un obus allemand et/ou qui les recouvraient de terre,en plus de respirer la fumée provoquer par cet obus. Les soldats ont vite compris que pour vivre il fallait tuer alors assassiné quelqu'un devient normal,certains combattants assument avoir tuer des gens au corps à corps dans des témoignages. Malgré

s'éloignant     En y veillant tard dans la nuit     Le Decauville qui toussote     La tôle ondulée sous la pluie     Et sous la pluie ma bourguignotte     Entends la terre véhémente     Vois les lueurs avant d'entendre les coups     Et tel obus siffler de la démence     Ou le tac tac tac monotone et bref plein de dégoût     Je désire     Te serrer dans ma main Main de Massiges     Si décharnée sur la carte     Le boyau Gœthe où j'ai tiré     J'ai tiré même sur le boyau Nietzsche

C° La mobilisation économique et sociale. La guerre impose la reconversion de l’économie de paix en une économie de guerre .Il faut en effet produire , en quantité croissante , armes et munitions .Pour exemple la fabrication quotidienne des obus de 75 est multipliée par 38 ( 1914 : 4 000 ; 1916 : 151 000 ) . Les États interviennent dans l’effort de guerre .Le conflit entraîne une mobilisation économique sans précédent. Doc 3 p 134 Les « munitionnettes » Prends garde au môme... hein

de son trou, à trente pas des Allemands, il agitait son fanion, le bras levé très haut. - Rouge ! Il demande qu’on allonge le tir, cria la tranchée. Secs, tragiques, des coups de mauser claquèrent. Le soldat s’était recouché, touché peut-être… Des obus piochèrent encore le point maudit, arrachant un tourbillon de terre dans la fumée lourde. Anxieux, nous attendions que le nuage s’écartât… Non, il n’était pas mort. L’homme se redressait en levant le bras très haut, il agitait sa ceinture d’un grand