Obus

 La bataille de Verdun faisait rage , rien ne pouvait arrêter les français qui acharner, continuais à débarquer dans les tranchées adverse malgré les trous d'obus qui les empêchait de marcher droit . Le bruit des obus qui atterrissait à quelques mettre de lui ne le déstabilisa pas un seul instant . François n'était pourtant le plus courageux de tous les soldats comme lui répétait sans cesse le chef de son régiment "si tous les soldats était comme cette fillette de François vl a qu'on serais mal

contre les obus et les balles perdues comme il l’avait cru auparavant.C’est un ancien facteur. -Kropp: C’est un ancien camarade de classe de Paul. C’est un penseur . -Tjaden: Il est un ami de Paul et un ancien camarade de cours. Il pisse au lit et à cause de l’attitude d’Himmelstoss face à cela, il a une haine envers ce caporal. Mais il y a aussi Müller, Haie Westhus et Detering. Il font tous partie de la deuxième compagnie. Certains d’entre eux mourront abattus ou touchés par un obus du camps

devoir partir au front. Au début des combats il raconte qu'il passe de ville en ville, qu'il n'a pas encore connu le vrai visage de la guerre, car il n'avait pas encore pu combattre. Il passe dans des villages où les maisons ont été bombardé par les obus, ou les églises sont brûlés.. Il raconte sa vie au front et à la fin du livre celui-ci termine en fauteuil roulant à cause de la guerre. # Appréciation personnelle. J'ai apprécié lire ce livre, même si il était cour, malgré que ce sois un livre

J’ai passé ces derniers jours très èpuisé moralement et physiquement par l’intensité des combats, harcelé par le bruit des obus et par les mitrailles transformant la nuit en jour. La nuit dernière par cette luminosité j’ai pensé à ma rencontre avec ma tendre Celine qui se blottissait de peur dans mes bras lors du dernier feu d’artifice de la fête du village. D’un seul coup un obus explosa à quelques pas de moi tel un tremblement de terre, je sentis le sol se dérober et du ciel une masse s’éclata sur

soldats au front puis celle des civils ainsi que leur rôle à l’arrière. Les soldats français ont tout d'abord souffert physiquement: la guerre fut un véritable massacre. Ils étaient exposés à de nouvelles armes telles que les mitrailleuses, les obus, les gaz... Beaucoup de soldats blessés dans le no man's land mourraient faute de soins. « Les gueules cassées », c'est ainsi que l'on surnommait les victimes de blessures pendant cette guerre. Ce surnom est représentatif des dégâts que pouvaient causer

pendant six longs mois par l'officier Himmelstross qui les a humiliés et trait"s comme des moins que rien mais arrivés au front, ils rencontrent la réalité. Une horreur,les cadavres, les rats, le manque de nourriture et d’hygiène, l’odeur, le bruit des obus... Chaque jour ils n’attendent qu’une chose, les permissions. Là-bas , la vie est paisible, les soldats ont de quoi manger et de quoi boire. Quand ils sont dans les tranchées , ils n’osent même pas raconter a leurs proches la vie dur qu'ils mènent

on coupe la lumière.» page 29 Adrien, escorté par deux sous-lieutenants, avance dans la forêt, en longeant la Meuse. Ils arrivent près de la rive, à un endroit où le fleuve se resserrent. Ils s’arrêtent, «un sifflement d'un quart de seconde» et un obus éclate près d’eux. Adrien est touché. Les deux autres autres hommes meurent sur le coup. Ce passage contient l'élément déclencheur (perturbateur) du récit. C'est là que tout commence. Toute l'histoire est construite sur ce moment qui ne dure que quelques

ces usines. Bonjour mademoiselle Capy , vous avez travaillé quelques semaines dans les usines d’armement. Pourrions nous savoir quelle était votre tâche durant ces heures de travail ? Oui , avec plaisir . Nous étions toujours debout à saisir un obus qui pèse 7 kilogrammes pour le poser sur un appareil où il fallait soulever la partie supérieure. Lorsqu’il était en place, nous devions rabaisser cette partie pour ensuite vérifier les dimensions qui était le but de l’opération. Ensuite , nous

images a-t-on aujourd'hui de ces combats ? - Manque d'hygiène, rats, boue, pas de douche...) - Obus Deux visions qui se juxtaposent aujourd'hui. D'une part une guerre de tranchée faite de souffrance terrible, de la vie quotidienne dans les tranchées. Et d'autre part une vision sur la partie héroïque, ou le soldat tire sur son ennemi. En réalité on sait que les gens finissent exploser par les obus, déchiqueter, découper, et meurt de la gan graine principalement sans avoir vu son ennemi, et

soldats allemands sur le front Ouest et qui s’intitule « Mourir dans la boue ». On voit donc que le danger est permanent. A tout moment, comme le raconte Henri Barbusse dans « Le feu », une balle, un obus ou encore une explosion, pouvait les atteindre. De plus, les soldats ne sont en sécurité et à l’abri des obus que 10 kilomètres derrière les tranchées. Les soldats qui combattent dans les tranchées vivent donc des instants très durs. Privés du minimum vital et côtoyant le danger tous les jours, ils sont