O Tourments Fatalité

une des voix » + « les chuchotements se ressemblent » Style télégraphique « C’est perdu. Tombé »  rapproche de l’effet de choc avec des tournures de phrases minimales. Modalité interrogative « Quand ? »  marque l’angoisse Modalité exclamative « ô résurrection »  marque la fin de la recherche, le soulagement rapide marqué par le présentatif bi syllabique « voila » Effet cyclique dans l’angoisse et l’attente puisqu’à cela s’ajoute le « mais » adversatif L’angoisse éclate dans la modalité exclamative

permis de comprendre que Rosalie s’est détachée de Clairville depuis que Dorval est arrivé dans la maison. Au moment où elle avoue en aimer un autre, Dorval paraît pour plaider la cause de son ami. Une vive émotion traverse alors Rosalie qui s’écrie « O Ciel ! C’est Dorval », ce qui constitue un premier aveu. Le spectateur devine que Dorval est bien l’être aimé sans que les choses soient dites formellement. De son côté, Dorval, que sa vertu défend, est devenu songeur au seul nom de Rosalie. La rencontre

dans la construction de l’œuvre. Lectures analytiques : 1- Acte I, scène 1 : scène intégrale. 2- Acte III, scène 16 : de « -Vous l’épouserez » à « Marceline lui saute au cou ». 3- Acte V, scène 3 : extrait du monologue de Figaro, de « O femme ! femme ! femme ! » à « il fallut bien périr encore ». Documents et activités complémentaires : - Les préfaces ou la genèse de la trilogie : extraits de la Lettre Modérée sur la chute et la critique du Barbier de Séville, de la préface

sens, malgré son amour pour son ancien amant, elle se doit d'obéir à son devoir d'épouse et de fille : "Je vous l'ai trop fais voir, Seigneur ; et si mon âme Pouvait bien étouffer les restes de sa flamme, Dieu, que j'éviterai de rigoureux tourments ! Ma raison, il est vrai, dompte mes sentiments ; Mais quelque autorité que sur eux elle ait prise, Elle n'y règne pas, elle les tyrannise. Et quoique le dehors soit sans émotion, le dedans n'est que trouble et que sédition." (Polyeucte, v

à des événements antérieurs. La métaphore qui en rend compte est celle de la chaîne, reprise par Jacques (« les chaînons d’une gourmette », l. 22). Ainsi, ce personnage analyse tout ce qu’il lui arrive de bon ou de mauvais sur le mode de la fatalité : tout est « écrit là-haut » (l. 5) et tout s’enchaîne sans qu’il ait prise sur le cours des événements : « Sans ce coup de feu, par exemple, je crois que je n’aurais pas été amoureux de ma vie, ni boiteux » (l. 22-24). 7. Le dialogue entre

La souffrance et le bonheur de la femme dans l’ouvre de Francois MauriacMasarykova Univerzita v BrněFilozofická fakulta Ústav románských jazkyků a literatur Diplomová práce La souffrance et le bonheur des femmes dans l’œuvre de François MauriacVypracovala : Renata DrápalováVedoucí práce : prof. PhDr. Petr Kyloušek, Csc.Brno 2009Prohlašuji, že jsem vypracovala magisterskou diplomovou práci samostatně s využitím všech uvedených pramenů a literatury, a že elektronická verze se přesně shoduje s verzí

ligne 7). Ce tableau à sujet champêtre est un cliché, pour ne pas dire un poncif de la littérature utopique. Le pastoralisme est un lieu commun dans les ½uvres littéraires du Siècle d'Or, notamment chez les moralistes. « Ô pâtres, faisait dire déjà La Bruyère au philosophe Héraclite, ô rustres qui habitez sous le chaume et dans les cabanes [...], si vous n'avez point le c½ur percé par la malice des hommes, si on ne parle plus d'hommes dans vos contrées, mais seulement de renards et de loups-cerviers

rappelle « sa » Marie disparue depuis bien des années. La poésie de commande et la poésie personnelle se mêlent donc : Terre, ouvre ton sein, et me laisse reprendre Mon trésor, que ta Parque[6], a caché dessous toi ; Ou bien, si tu ne peux, ô terre, cache-moi Sous même sépulture, avec sa belle cendre. Fonction référentielle de la poésie : poésie engagée Les écrivains de la Pléiade et Ronsard ont une haute idée de leur rôle auprès des grands de la cour. Non seulement le poète dispense

glaive de la justice, le 9 mars 1762, est un des plus singuliers événements qui méritent l'attention de notre âge et de la postérité. On oublie bientôt cette foule de morts qui a péri dans des batailles sans nombre, non seulement parce que c'est la fatalité inévitable de la guerre, mais parce que ceux qui meurent par le sort des armes pouvaient aussi donner la mort à leurs ennemis, et n'ont point péri sans se défendre. Là où le danger et l'avantage sont égaux, l'étonnement cesse, et la pitié même s'affaiblit;

nécessairement et arrangé pour le mieux » 7. Un autre exemple de contresens panglossien intervient au cours du chapitre cinquième mettant en scène le tremblement de terre de Lisbonne. Pangloss empêche Candide de sauver Jacques l’anabaptiste au nom de la fatalité « en lui prouvant que la rade de Lisbonne avait été formée exprès pour que cet anabaptiste s’y noyât ». Le philosophe verse ici dans « fatum mahumetanum » et dans l’argument paresseux que Leibniz s’emploie au contraire à réfuter 8. Peu de temps après