O Beaux Cheveux D Argent

- savoir ( je sais , nous savons , ils savent ) - boire ( je bois , nous buvons , ils boivent ) * Particularités : * Les verbes en « cer » prennent une cedille sous le « c » devant ( a ou o ) * Les verbes en « ger » prennent un « e » après le « g » devant ( a ou o ) * Les verbes en « eler » et en « eter » doublent les consonnes « l » ou « t » devant un « e » muet ( appeler , jeter ) . *Les verbes «  couvrir , cueillir , offrir » et leurs

LA FLÈCHE : HARPAGON : Je veux renfermer ce que bon me semble, et faire sentinelle comme il me plaît. Ne voilà pas de mes mouchards, qui prennent garde à ce qu’on fait ? ( Bas, à part. ) Je tremble qu’il n’ait soupçonné quelque chose de mon argent. ( Haut. ) Ne serais-tu point homme à aller faire courir le bruit que j’ai chez moi de l’argent caché ? Vous avez de l’argent caché ? LA FLÈCHE : HARPAGON : Non, coquin, je ne dis pas cela. ( Bas. ) J’enrage ! ( Haut. ) Je demande si, malicieusement

nubile et déborde de sang ; Que son immense sein, soulevé par une âme, Est d'amour comme Dieu, de chair comme la femme, Et qu'il renferme, gros de sève et de rayons, Le grand fourmillement de tous les embryons ! Et tout croît, et tout monte ! - Ô Vénus, ô Déesse ! Je regrette les temps de l'antique jeunesse, Des satyres lascifs, des faunes animaux, Dieux qui mordaient d'amour l'écorce des rameaux Et dans les nénuphars baisaient la Nymphe blonde ! Je regrette les temps où la sève du monde, L'eau

nubile et déborde de sang ; Que son immense sein, soulevé par une âme, Est d'amour comme Dieu, de chair comme la femme, Et qu'il renferme, gros de sève et de rayons, Le grand fourmillement de tous les embryons ! Et tout croît, et tout monte ! - Ô Vénus, ô Déesse ! Je regrette les temps de l'antique jeunesse, Des satyres lascifs, des faunes animaux, Dieux qui mordaient d'amour l'écorce des rameaux Et dans les nénuphars baisaient la Nymphe blonde ! Je regrette les temps où la sève du monde, L'eau

séparation, tantôt emportée par la mort, tantôt emportée par un autre homme. J'ai choisis le thème de l'amour pour constituer cette anthologie poétique car c'est grâce à ce dépôt d'émotions du poète au lecteur que les poèmes d'amour sont souvent les plus beaux, les plus émouvants, de plus comme dit plus haut ils sont toujours destinés à qui saurait bien se reconnaître, comme si le lecteur comprenait l'auteur car lui même a eu le même sentiment. Certains de ces poèmes me parlent, d'autres ne le peuvent, peut-être

quand il veut concevoir Ces natives grandeurs, aux lieux où se font voir La nudité de l’homme et celle de la femme, Sent un froid ténébreux envelopper son âme Devant ce noir tableau plein d’épouvantement. Ô monstruosités pleurant leur vêtement ! Ô ridicules troncs ! torses dignes des masques ! Ô pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasques, Que le dieu de l’Utile, implacable et serein, Enfants, emmaillota dans ses langes d’airain ! Et vous, femmes, hélas ! pâles comme des cierges, Que ronge

discutait dans les boutiques et sur la place publique, déclarant rechercher « ce qui est bien et ce qui est mal dans les maisons ». Souvent, au cours de ses recherches, il discutait avec véhémence, lançait les poings en avant, ou s’arrachait les cheveux, ne se souciant aucunement des rires qu’il soulevait, les supportant au contraire avec calme. Un jour même, il reçut un coup de pied sans se fâcher, et comme on s’en étonnait, il dit : « Si c’était un âne qui m’avait frappé, lui intenterais-je un

On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute la fumée ardente et tout le bruit De l'embrasement d'une ville. D'où vient-elle ? des cieux, de la mer ou des monts ? Est-ce le char de feu qui porte des démons À quelque planète prochaine ? Ô terreur ! de son sein, chaos mystérieux, D'où vient que par moments un éclair furieux Comme un long serpent se déchaîne ? 10 II La mer ! partout la mer ! des flots, des flots encor. L'oiseau fatigue en vain son inégal essor. Ici les flots,

votre apparence physique et votre look, ne vous habillez pas comme un fonctionnaire Marchez avec CONFIANCE ! Touchez les femmes quand vous parlez avec elles… de façon non sexuelle bien évidement (les épaules, l‟avant-bras, le dos, sentez leurs cheveux…) Ne détournez pas votre regard quand vous parlez avec une femme Ayez toujours un petit sourire tout sexy Quand vous êtes dans un café, ne pas se pencher quand elle vous parle… lean back…lean back ! reculez et laissez-la se pencher vers VOUS,

estudié!... Souvent, noir et flou comme chevaucheur d'escovettes, il regarde dans les logis par des mortaises: "- O, ces morceaulx savoureux et frians! ces tartes, ces flans, ces gelines dorées! - je suis plus affamé que Tantalus! - Du rosit! du rost! - Oh! cela sent plus doux qu'ambre et civettes! - Du vin de Beaulne clans de grandes aiguières d'argent! - Haro! la gorge m'ard!... O, si j'eusse estudié!... - Et mes chausses qui tirent la langue, et ma hucque qui ouvre toutes ses fenêtres, et