Névrose Obsessionnelle

* Période de latence = ‘Oubli’ car refoulement/amnésie infantile * Puberté = Réveil des pulsions sexuelles avec possibilité de sublimation C’est à la puberté que se mettent en place les névroses 1905 - 1er texte sur la sexualité infantile/sexualité inconsciente A partir de ses travaux sur les névroses, notion d’hystérie : on pense à l’époque, à une répression forte de la sexualité ≠ de traitement entre filles et garçons A la fin du 19ème siècle et au début du 20ème, chez les bourgeois,

Breuer la fait boire sous hypnose. Son « anorexie » à l’eau disparaît alors. On en conclus qu’il est possible de guérir la folie en découvrant un trouble lié à la petite enfance. L’expérience de Breuer amène Freud à pressentir l’origine psychique des névroses. Cette découverte l’incite à vouloir expliquer l’homme, son discours, ses sentiments et ses réactions en se référant principalement aux mécanismes de fonctionnement du psychisme. Il y a 2 grandes partie dans la psychanalyse : - L’inconscient - La

pour nom « l’inconscient ». Freud nous rappelle l’importance qu’a eu l’hypnose dans la genèse de la psychanalyse tant dans la pratique que vis-à-vis de la théorie. Mais Freud précise que Charcot n’a pas tenté de compréhensions psychologiques des névroses hystériques. Bien que Janet lui ai tenté de le faire, Freud n’a pas suivi ses travaux, mais s’est plutôt rapproché de Breuer et de son cas Anna O. Ce cas venait étayer les thèses de Freud sur les pouvoir de l’inconscient, ainsi que de lui permettre

soumis à trois maîtres : Ça, Surmoi et Monde extérieur Surmoi : ICS, CS, héritier du complexe d’Œdipe, interdits, Loi… Point de vue psychodynamique : Les conflits dans la névrose et dans la psychose Psychose : Conflit entre le Ça et la Réalité, le monde extérieur Conflit entre le Moi et la Réalité, le monde extérieur Névrose : Conflit entre le Moi et le Ça Conflit entre le Moi et le Surmoi Exemple de refoulement ayant entraîné une dépression Exemple de symptômes hystériques dans une problématique

s’appuie sur une névrose, transfert de la figure paternelle. Le besoin de religion est donc lié à une angoisse résiduelle de la petite enfance. Il développe l’idée que soit la religion est un pouvoir exercé sur l’homme (l’infantilisation), ou soit elle est intrinsèquement perversion qui produit une infantilisation. * le dv personnel passe par des phases de névroses. * et l’humanité aussi finalement * la religion déclenche une névrose. * Avec le dv les névroses s’estompent, on arrive

temps disponible que réclament une analyse de la part de ceux qui l'entreprennent. Bien sûr, comme tout traitement psycho-thérapeutique, il existe quelques contre-indications / indications à observer : neutralité bienveillante, uniquement des cas de névroses, la relative mais indispensable « lenteur » de la technique, aucun danger pour le malade. Pour autant, cela ne se fait pas sans déplaisir. Au contraire, puisque le dit déplaisir est à l'origine du refoulé et de son cortège de résistances, et permettre

du terme. Le nar­ra­teur inté­rieur devient la proie de ses écrits, la boucle se ferme inexorablement. On retien­dra notam­ment le texte très court et très inci­sif “Cycle de sur­vie”, où l’on voit que l’écrivain peut très vite suc­com­ber à la névrose obses­sion­nelle, et s’installer dans une sorte de solip­sisme ter­ri­fiant où l’auteur est tout à la fois le fac­teur, le direc­teur de col­lec­tion, le rédac­teur en chef et le lec­teur, et ainsi de suite. Une fois encore la boucle se referme.

autres. Pour un bon fonctionnement, il faudrait que l’instance suprême soit informée de tout ce qui se prépare, et que sa volonté puisse pénétrer partout son influence, or, en dépit de ce que représente le moi, ça n’est pas le cas. Dans le cas des névroses, le moi se sent mal à l’aise, il rencontre des limites à son pouvoir à l’intérieur de sa propre maison. C’est ce que Freud présente de la manière suivante : « Mais dans bien des cas, par exemple dans celui d’un conflit pulsionnel de ce genre, il

personnalités narcissiques, la dépréciation d’autrui vise à maintenir un haut niveau d’estime de soi. L’omnipotence : sentiment de toute-puissance que le sujet s’attribue. Niveau du désaveu Le déni : Refuser d’accepter la réalité. Dans la névrose, le sujet donne l’impression de savoir et de ne pas savoir à la fois. La projection : attribuer à un tiers ses propres désirs, sentiments ou comportements. Niveau de distorsion majeure : Le clivage : L’identification projective La rêverie

cherche un tel premier signifiant, un signifiant « maître » ; quoique sa recherche à chaque fois échoue puisque personne n’est suffisamment « maître » à ses yeux. C’est essentiellement ce manque dans l’Autre qui est refoulé par l’hystérique – et le névrosé en général. C’est pourquoi, dit Freud, Emma encore plus tard – en tant qu’adulte – a peur d’entrer dans les magasins quand elle est seule, sans raison évidente, à cause de quelques associations erronées qu’elle fait entre sa situation actuelle et