Névrose Obsessionnelle

RÉSUMÉ Cette recherche vise à réfléchir sur ce que les psychoses fonctionnelles et les états-limites ont en commun qui justifie leur différenciation. Après un resume historique et une clarification terminologique le tableau psychopathologique classique des organisations limites, sont en tant dans la dimension clinique, structurelle que génétique. Au début, quand on pense aux psychoses fonctionnelles et les États de leur limite constaté que les deux ont un élément commun souvent la pathologie de

en aucun cas une cure analytique réalisée par Freud auprès de Schreber, mais simplement une interprétation du livre que ce dernier a pu écrire. De plus, nous nous intéressons au texte « La perte de la réalité dans la névrose et dans la psychose » de 1924, issu du recueil « Névrose, psychose et perversion », regroupant différents textes illustrant sa théorie. Par ailleurs, il convient de situer ces textes en fonction des deux topiques ( schéma théorique du psychisme) que Freud a élaboré. Sa première

construction de l'enfant. La capacité de mentir s'acquiert très tôt, permettant à l'enfant de faire ses expériences, construire son jardin secret, et de se positionner en tant qu'individu. Concernant le mensonge d'enfants, Freud, dans son ouvrage, Névrose, psychose et perversion, nous livre un court texte, Deux mensonges d'enfant. Il introduit son texte par une sorte d'avertissement pour les éducateurs en leur disant que un certain nombre de mensonges d'enfants bien élevés ont une signification bien

lieu dans l'appareil psychique, et la volonté, guidée par ces renseignements, exécute ce qui est ordonné par le moi, corrigeant ce qui voudrait se réaliser de manière indépendante (...). Dans certaines maladies, et, de fait, justement dans les névroses, que nous étudions, il en est autrement. Le moi se sent mal à l'aise, il touche aux limites de sa puissance en sa propre maison, l'âme. Des pensées surgissent subitement dont on ne sait d'où elles viennent ; on n'est pas non plus capable de les chasser

répression. Le ça, même si enfouit dans l’inconscience, reste donc directement relié au moi et surmoi. Freud modifia sa première topique car le premier découpage semblait inopérant pour expliquer certains phénomènes rencontrés notamment lors de névroses traumatiques. En effet, certaines symptômes persistait malgré la conscience du moi. L’aspect répétitif du comportement névrotique, lui permis d’élaborer l’existence d’une instance le ça qui met en avant ce qui existe de plus primitif et de plus impersonnel

“c’est de reminiscences que souffre l’hystérique” Cas Elisabeth: Cours automne 1892 Freud examine jeune fille 24 ans: Symptômes: douleures aux jambes, marche difficile. Dès le début il soupçonne qu’elle doit connaître les motifs de ses symp. Le névrosé SAIT (contrairement au psychotique). Il renonce avec elle à l’hypnose. Il compare sa méthode avec méthode archéologique “élimination par couches, des matériaux psychiques”. L’analyse fait remonter l’emoi convertit au physique d’un événement vécu

dépendance tant par rapport aux revendication du ça que des impératifs du surmoi et des exigences de la réalité : il se pose en médiateur. En 1924 dans « Névroses et psychoses » texte qui précéde juste le texte présent, Freud différencie ainsi la névrose et la psychose en se référant aux instances précédemment définies : « La névrose serait le résultat d’un conflit entre le moi et le ça , la psychose elle (serait) l’issue analogue d’un trouble équivalent entre le moi et le monde extérieur »

également négatif (avec éléments hostiles). Cette thérapeutique par le transfert vise essentiellement à la guérison des névroses, affections dont l’origine psychique et dont les symptômes expriment symboliquement un conflit issu de l’histoire du sujet et de son enfance. C’est dans le complexe d’Œdipe qui constitue, aves ses dérivés, le complexe central de chaque névrose. Définissons-le comme une disposition affective par laquelle un être humain est attaché, sexuellement, à son parent de l’autre

pulsions de mort (THANATOS par Freud):A partir de 1920 qu’il va découvrir. Notamment la compulsion de répétitions qui a un caractère pénible et négatif. Freud l'explique par la pulsion de mort. Ce phénomène compulsif va s'observer dans la névrose de destinée, dans la névrose traumatique. Le phénomène compulsif n'est pas seulement pathologique, il s'explique aussi dans les jeux d'enfants et d'adulte. Freud voit que « Tout dans l'être humain n'est pas orienté vers la vie, vers le développement, vers le progrès

intitulée. Sigmund Freud est né le 6 mai 1856 à Freiberg, actuel République Tchèque. Il est un médecin neurologue, fondateur de la psychanalyse. Ses différentes rencontres et théories vont l’amener à repenser les principes d’inconscient, de rêve et de névrose et ainsi proposer une technique de thérapie, la cure psychanalytique. Fuyant le régime nazi, il se réfugie à Londres en 1938 où il meurt le 23 septembre 1939. Le malaise dans la culture est écrit fin 1929 c’est-à-dire juste après le krach boursier