Nomination Discretionnaire Conseil Constitutionnelle

régulier nécessaire à l’établissement d’un gouvernement républicain. - 28 mai 1958 : Pierre Pflimlin (président du Conseil) remet sa démission. Le dernier gouvernement de la Quatrième République - 29 mai 1958 : Face aux inquiétudes, René Coty (président de la République) adresse un message au Parlement dans lequel il l’informe avoir fait appel à De Gaulle comme président du conseil. - 1er juin 1958 : De Gaulle obtient l’investiture de l’Assemblée nationale. - 2 et 3 juin 1958 : De Gaulle obtient

Leçon 1 : L'identité du droit constitutionnel Section 1) La position du droit constitutionnel Sous-section 1. Une branche du droit public A) Division du droit objectif Le droit objectif est ordonné, hiérarchisé, organisé pour écarter le désordre normatif préjudiciable à la cité. Il est une composante du droit objectif plus précisément une branche du droit public. Du point de vue matériel quant à son contenu le droit objectif est divisé en deux grandes branches elle-même subdivisée en plusieurs

* les Conseils de préfecture au niveau départemental compétents en matière de contribution directe, travaux publics, domaines nationaux et grandes voiries, ils sont très dépendants du préfet qui les préside. * Le Conseil d’Etat rétabli en l’an VIII retrouve dans sa formation spécialisée, qui est celle de la Commission du contentieux créée en 1806, à la fois le règlement de procédure qui lui est attaché, ainsi que les compétences et les méthodes de travail de l’ancien Conseil du roi.

républicaine du régime avec l’étude de l’art 1er, 2 et 3 de la république avec des notions du préambule. La constitution affirme, énonce dans sa première phrase que la France est une république. C’est une information tout à fait claire, le texte constitutionnel renvoi à la tradition républicaine de la France. Tradition qui remonte à la révolution française de 1789. Art 89 concerne la révision, « la forme républicaine du gouvernement ne peut faire l’objet de révision » alinéa premier de cet article

36 Section 13 : Le Parlement 37 XXVII. Les modalités de désignation des parlementaires 37 XXVIII. Le statut 39 XXIX. L’organisation du Parlement 41 XXX. Les fonctions 46 XXXI. La fonction de contrôle 53 Section 14 : Le Conseil Constitutionnel 57 XXXII. Statut 57 XXXIII. La diversité des compétences 58 XXXIV. Les méthodes de contrôle 62 Chapitre I – L’Etat l’origine de l’Etat Phénomène naturel Formation de l’Etat comme un processus naturel, souvent violent, quelques

ADMINISTRATIF Introduction : Les juridictions administratives. Les juridictions en France Les juridictions judiciaires Les juridictions administratives |Tribunal des conflits | |Cour de Cassation | |Conseil d’état | |Cour d’appel | |Cour administrative d’appel |

Licence 1 Groupe de cours 1 Année 2010-2011 Introduction au droit public COURS 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. Définitions : droit, droit constitutionnel, ordre juridique et hiérarchie des normes L’Etat de droit La constitution : la suprématie de la constitution La constitution : le contrôle de constitutionnalité des lois Les normes internationales : élaboration et conclusion Les normes internationales : l’application en droit interne Les normes communautaires européennes Les normes européennes

Commentaire de l’article 5 de la Constitution du 4 octobre 1958 « Le président de la république est la clef de voute des institutions » ; ces mots de Michel Debré à l’occasion de la présentation de la constitution devant le Conseil d’Etat reflètent parfaitement la conception que le pouvoir constituant originaire et dérivé de la V république ont retenu à l’article 5 de la constitution du 4 octobre 1958. C’est le peuple souverain qui a adopté la constitution par référendum (environ 80% des inscrits

|DROIT CONSTITUTIONNEL | Introduction A – définition de l’Etat de droit Il peut être définit comme celui dans lequel tout les organes de l’Etat et de manière plus générale toute les personnes publics ou privées sont soumises au respect de la règle de droit. Cette description s’oppose à l’Etat dans lequel les autorités publiques et en particulier le souverain peuvent faire tout

affaires locales sont les affaires que la loi à confier aux collectivités territoriales. Dans le cadre d’un État unitaire décentralisé, c’est le parlement qui établi la répartissions des compétences. En droit français la décentralisation à une base constitutionnel. L’art 72 de la constitution dit que les collectivités locales s’administre librement, dans les conditions prévu par la loi. Tous ce qui concerne les compétences, les ressources de la collectivité, dépende de la compétence du parlement dans un