Ni Nu Ni Vêtu

faire : Je crains et j’espère ; je brûle et je suis de glace. Et je vole au plus haut des cieux, et je gis à terre ; Et je n’étreins nulle chose, et j’embrasse le monde entier. Qui me garde en prison la porte ne m’ouvre ni ne ferme, Ni ne me tient pour sien, ni ne défait les liens ; Amour ne me tue pas et ne m’ôte pas mes fers, Ne me veut pas vivant, et ne vient pas à mon secours. Je vois et n’ai point d’yeux, et sans langue je crie ; Et je désire périr, et demande de l’aide

guerre à faire : Je crains et j’espère ; je brûle et je suis de glace. Et je vole au plus haut des cieux, et je gis à terre ; Et je n’étreins nulle chose, et j’embrasse le monde entier. Qui me garde en prison la porte ne m’ouvre ni ne ferme, Ni ne me tient pour sien, ni ne défait les liens ; Amour ne me tue pas et ne m’ôte pas mes fers, Ne me veut pas vivant, et ne vient pas à mon secours. Je vois et n’ai point d’yeux, et sans langue je crie ; Et je désire périr, et demande de l’aide ; Et pour

De l'homme vaincu, plein de sanglots et d'insultes, Je l'entends dans le rire énorme de la mer. Comme tu me plairais, ô nuit ! sans ces étoiles  10 Dont la lumière parle un langage connu ! Car je cherche le vide, et le noir, et le nu ! Mais les ténèbres sont elles-mêmes des toiles Où vivent, jaillissant de mon œil par milliers,  Des êtres disparus aux regards familiers. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, XIXème siècle L'angoisse de la mort est exprimée

l’auteur du dessin. Ces trois responsables politiques des principaux pays vainqueurs de la Première Guerre mondiale, sont représentés avec un visage dur et fermé. Volontairement non-identifiable, il représente le peuple allemand dans son ensemble. Torse-nu, comme dépouillé de son honneur, et les mains liés dans le dos, il symbolise une population allemande humiliée et impuissante face au « diktat » de Versailles. La guillotine est l’élément central de ce dessin. Si Thomas Theodor Heine a fait le choix

ne se retrouve pas dans le texte : en effet, on mentionne qu'ils sont vieux mais on ne donne pas leur âge. Dans le vitrail de van Ort, l'un des vieillards porte une barbe alors que l'autre n'en porte pas. Celui qui semble être plus vieux est aussi vêtu d’une tunique et d’un bonnet différents de ceux portés par son compagnon, comme pour s'assurer que le spectateur comprenne bien qu'il s'agit de deux personnages distincts et non d'une même personne effectuant deux actions dans la même représentation

vue de cette photo (1853). Description : La mise en scène est assurée par Delacroix et Durieu se trouve derrière l’appareil photo. Il s’agit d’un nu d’une femme vue de dos, un modèle professionnel qui détourne son visage, non pas par pudeur mais suivant une mise en scène étudiée. C’est une des plus belles réussites artistiques de la photographie de nu à ses débuts. En effet, il s’agit d’une photo intemporelle qui mêle sensualité et pudeur. La maitrise de l’éclairage, l’absence de décor et le dépouillement

contrôle de toutes les chaines télévisées et que de toute façon le pape ne mérite pas de passer à la télévision. -Pas de télé, ce n’est pas grave et vous courrez aller acheter un magasine juridique ou le journal « Le Monde » - Cela ne vous fait ni chaud ni froid mais vous préféré tous de même sortir pour prendre la joie de noël sur le visage des gens avec votre appareil photos sur la place de la ville. * De toute façon le soir du réveillon on ne regarde pas la télévision. 2) L’expression

de ne pas être seul. Une chouette hulule. Mon ombre se dessine sur les côtés au gré de la luminosité ambiante tantôt croissante, tantôt décroissante. Sous une sombre entrée, j'entre aperçois une frêle et malingre silhouette voutée, c'est un prêtre vêtu de sa traditionnelle soutane à 13 boutons, bible à la main. Son visage blanc émacié sort de l'ombre, je croise son regard clair qui me transperce, il m'indique l'entrée de la maison située face à lui en déclarant simplement, « Ce que vous êtes venu

Maya la renonçante 4 Maya la renonçante 1. Maya Q uand la porte de sortie s'est ouverte, j'ai simplement avancé lentement, uniquement préoccupée par l'instant présent, concentrée sur chacun de mes pas. N'ayant plus aucun lieu où aller ni plus aucun but, je décidais de me laisser complètement emporter par le vent. Au grand croisement, le réflexe de m'isoler de la civilisation et de toute son agitation m'a naturellement fait emprunter le chemin de la campagne. À l'ombre d'un saule au

fille qui était peintre un goût esthétique qui confinait à l’admiration et participe encore de ce sentiment. Elle m’aimait ou le croyait et je crus ou plutôt m’efforçai de l’aimer, car je ne l’aimais pas alors. Nous n’étions connus en ce temps là ni l’un ni l’autre et je commençais mes méditations et mes écrits esthétiques qui devaient avoir une influence en Europe et même ailleurs. Je puis dire que je fis mon possible pour faire partager mon admiration à l’univers. Elle voulait que nous nous mariions