Ne Jamais Croire Est Ce Necessaire Pour Philosopher

comme dans son métier d’accoucheur des esprits, où aucun signe extérieur ne le distinguera du sophiste le plus ordinaire. Bien qu’il n’ait pas laissé d’écrits et que le succès n'ait pas été un souci pour lui, il s’est imposé dans l’histoire comme le philosophe par excellence, le parfait amoureux de la sagesse. En 399, il fut condamné à boire la cigüe par un tribunal populaire de la ville où il était né, qu’il avait toujours aimée et qu’il n’avait quittée que pour la défendre. Il eut pour femme Xanthippe

superflus pour ne conserver que le strict necessaire. Ainsi, les désirs "physiques", qui existent dans le monde sensible, sont réprouvés. On assiste donc a un controle des desirs par la selection. La selection des desirs est la clé de voute des différentes morales antiques. Les philosophies qui pronent une maitrise des desirs font toutes appel a la volonté, et placent la volonté comme outil pour se libérer de ses désirs. C'est a dire que les philosophes souhaitant se libérer des desirs superflus

moi qui m’oblige librement. Pourtant, bien des devoirs sont impérieux au point de paraître nécessaires : j’ai plus souvent l’impression dans le devoir d’être obligé que de m’obliger. Suis-je capable de m’obliger au point de faire mienne la règle qui m’oblige ? Est-ce qu’au contraire les règles du devoir me restent toujours extérieures ? Question : Le devoir peut-il vraiment être libre, ou bien n’est-il jamais consenti que sous la contrainte ? L’aspect contraignant que revêt le devoir vient aussi

Aujourd'hui, nous pensons savoir uniquement grâce aux sens. Ce texte est du philosophe Allemand Leibniz qui est reconnu mondialement dans le domaine de la philosophie. Le thème de ce texte est le savoir, la connaissance. On peut alors se demander quel peut être le rôle des sens dans la recherche de la connaissance ? En parlant d'abord des sens qui nous permettent peut être de savoir, puis nous allons voir que les sens ne sont pas suffisant et pour finir nous allons voir que les mathématiques sont

DISERTATION DE PHILOSOPHIE Sujet : Se tromper est-ce s'éloigner de la vérité ? Certains disent qu’il faut éviter l’erreur pour accéder à la vérité, d’autre disent qu’elle est nécessaire pour une bonne quête de vérité. L’erreur (épistémologiquement) est l’inadéquation du discours à la vérité. C’est une inattention de la raison. En se trompant, on « passe à côté » de la vérité car l’erreur nous en éloigne. Le mathématicien qui se

temps au cameraman, vise le projecteur sur moi , est-ce qu’on me voit bien dans l’écran ou des trucs comme ça. René Jemenfou : Louis t’es le gars qui est venu contre son grès, t’en a rien à fouttre de l’émission et tu répond toujours l’air speed, jamais d’expression dans tes phrases et dans ton regard (ce serait bien que t’es un petit cigare :p). T’es carrément couché sur ta chaise et tu dit ouais au lieu de oui ( tu vois ce que je veux dire ) Bernadette La loufoque : Moi je joue une fofolle et

cercle vertueux du progrès, qui produit une abondance toujours accrue, créant des besoins que le progrès cherche à satisfaire. Ainsi nous sommes toujours à la poursuite de quelque chose, poussés par un désir de posséder un nouvel agrément, ce qui est nécessaire à notre motivation, et notre monde progresse techniquement, se perfectionne, s’embellit. Le mouvement, toujours le mouvement, issu du désir ! Je ne crois qu’à cela.. A : Au fond, tu n’es pas trop rousseauiste ! La contemplation immobile d’une

nous croyons , I- le bonheur est dans la satisfaction A-) La solution épicurienne Point historique : 341-270 av.JC philosophe grec de l'antiquité il a donné son nom a une école de philosophie : épicurisme Grèce patrie originaire de la philosophie , Épicure appartient à la tradition grec qui définit la philosophie comme une manière de vivre , les philosophes se constituant dans des écoles dans lesquelles on adopte la doctrine de l'école . Ataraxie → absence de trouble est dans une

Il était tout d’abord tout à fait important dans ce sujet de comprendre que la le verbe d’obligation falloir, retrouvé dans le « faut-il » devait être vraiment pris en compte. Pourquoi faudrait-il douter de tout, en quoi cela pourrait-il être nécessaire, obligatoire, en quel sens cela pouvait-il relever d’un impératif de prudence ou d’un devoir, d’une exigence que le sujet se fixerait à lui-même ? Dans le même sens, il était tout aussi important d’analyser la notion de doute et la manière de douter

• Les sophistes ont du succès et il est répandu de croire que le « bien » dépend de nos préférences. • Les gens pensent d’abord et avant tout à servir leur intérêt. Pour Socrate : « une vie sans examen, sans remise en question, ne vaut pas la peine! » ... Il ne se contente pas de vivre et de mourir, mais