Aujourd'hui, nous pensons savoir uniquement grâce aux sens. Ce texte est du philosophe Allemand Leibniz qui est reconnu mondialement dans le domaine de la philosophie. Le thème de ce texte est le savoir, la connaissance. On peut alors se demander quel peut être le rôle des sens dans la recherche de la connaissance ? En parlant d'abord des sens qui nous permettent peut être de savoir, puis nous allons voir que les sens ne sont pas suffisant et pour finir nous allons voir que les mathématiques sont essentiels afin de savoir.

Le jour de notre naissance jusque quelques mois, nous développons de plus en plus nos sens. Tout d'abord il y a la vue, puis le toucher, et enfin l'ouïe. Il y a aussi l'odorat et le goût qui ne nous intéresse moins. Quand nous sommes que bébés, les sens n'ont que peu d’intérêts. Cependant au fil du temps, chacun des sens prend de l'ampleur jusqu'à un certain age où nos sens nous permettent de grandir, d'apprendre et de se fier qu'a nos sens. La vue, est l'un des premiers qui se développent, il nous permet de retenir des formes et des couleurs.L'ouïe nous permet d'apprendre les règles de nos parents et des professeurs qu l'on rencontre a travers notre parcours scolaire. Enfin, le toucher nous permet de faire nos premières expériences, cela nous permet de savoir par nous même. Se fier aux sens n'est pas illogique. Cela fait très longtemps cela existe. Comme le dit Leibniz : « Par exemple les Grecs et les Romains et tous les autres peuples connue aux anciens ont toujours remarqué qu'avant le décours de 24 heures, le jour se change en nuit, et la nuit en jour. ». Cela nous permet donc de savoir que même les peuples les plus grands, ont essayer de « savoir » uniquement grâce aux sens.
Leibniz dit aussi : « Et l’on peut dire que celui qui aura vu attentivement plus de portraits de plantes et d’animaux, plus de figures de machines, plus de descriptions ou de représentations de maisons et de forteresses, qui aura lu plus de romans ingénieux,