Métaphore Océan Mer

ainsi se comprendre symboliquement comme le recueil poétique. Face à l'anéantissement, au silence, à l’impression d’abandon, seule reste la parole poétique, l'écriture: « l'obscure naissance du langage ». La prière se fait alors poésie avec les métaphores (l.4; l.9), les allitérations: [s], dans le verset 3 et le travail sur le rythme précédemment étudié. En outre, la représentation du poète oracle ( « les prophéties » du livre) se donne à voir dans la solennité du ton. B- La réflexion sur

40) il parcourt tout l’extrait comme si les élèves ne peuvent se retenir de rire avec une montée en puissance (li. 56) et l’adjectif « étouffé » (li. 60) qui montre à quel point on peine à se contenir L’humour du professeur (li. 42-43) avec la métaphore guerrière du « casque » (li.42). On note ici que l’expression « qui était un homme d’esprit » marque l’ironie de l’auteur vis-à-vis du professeur. C’est une antiphrase. II-a) Toute la classe fait bloc (li. 39) alors qu’en face (li.44) « le pauvre

principalement le motif maritime, auquel il confère, par une personnification, une matérialité nouvelle. La mer apparait ainsi comme une figure maternelle qui "console" et "berce" le poète, dont la douceur est relayée par l'allitération en [s] et la diérèse du vers 9. La fascination du poète pour l'océan est de plus marquée par l'atmosphère épique qu'il développe strophe 2, à travers l'image du démon, la métaphore grandiose de "l'orgue des vents" et l'oxymore "rauque chanteuse". D'autre part, le poème développe

3) le poète exprime sa souffrance en utilisant : - des images « roses fanées » v. 11 - le champs lexical de la souffrance « remords », « se lamente »… - l’accumulation « de vers, de billets doux, de procès, de romances » v. 3 - des métaphores « je suis un cimetière abhorré de la lune » v. 8 - des interjections « ô matière vivante » v. 19 - des comparaisons « comme un couvercle » v. 1 III- L’idéal esthétique 1) Dans « la Beauté », la beauté est associée à l’indifférence

des strophes, des vers et des rimes 5. Qu’est-ce Histoire qui fait passer une émotion, que la un message poésie, selon toi ? Jeux de mots, sous-entendus (implicite) Enchevêtrement de mots auxquels on donne un ordre Figures de style : comparaisons métaphores, personnifications… Expression des sentiments Le poème, c’est un grand journal intime de phrases 3ème Un poème, c’est des strophes, des vers et des rimes C’est la description d’un paysage, d’un être Le poème raconte une histoire Le poète suggère

Grâce à un réseau de personnification, les trois premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu (" roi " vers 6), à un voyageur ailé tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une comparaison et une métaphore hyperbolique, un " prince des nuées " (vers 13) aux " ailes de géant " (vers 16). Exilé parmi les hommes, la vie de l'albatros apparaît donc comme une parabole qui définit l'existence du poète. Le poète et l'albatros sont associés dans la dernière

couché illustre trois lances des glaciers fiers, fiers car levés Le I renvoie au rire des filles (lèvres belles) mais est aussi un son aigu, agressif, renvoyant au sang Commentaire [T8]: Golfe : partie de la mer qui rentre dans les terres du littoral et dont l'ouverture du côté de la mer est généralement assez large Commentaire [T9]: Candeur : état d'innocence ingénue pouvant aller jusqu'à la naïveté Commentaire [T10]: groupement de fleurs Commentaire [T11]: 1/ religion : dans la religion catholique

1559 poète de la Cour. C'est dans le recueil Les Odes (1550 – 1552), placé sous le parrainage de Pindare et Horace (deux poètes de l'Antiquité), que Ronsard publie ce poème. Il tente de séduire Cassandre qu'il a rencontrée cinq ans plus tôt. La métaphore filée de la rose constitue une véritable invitation à l'amour et Ronsard y livre un éloge du carpe diem. À Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée

climats; Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève! Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts: Un port retentissant où mon âme peut boire A grands flots le parfum, le son et la couleur Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur. Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse Dans ce noir océan où l'autre est enfermé; Et mon esprit subtil que le roulis caresse

libres, évoquant dans sa diversité et sa fluidité le mouvement de la mer, s'il décrit le voyage entre l'Amérique et l'Europe, est moins une célébration du paquebot qu'une révélation du pouvoir de l'Océan. Ainsi, l'écriture poétique révèle la fragilité, la vanité du paquebot et de l'homme, et la toute-puissance de la mer dans ce voyage, métaphore de la condition humaine. I. Le paquebot apparaît comme un morceau de terre posé sur la mer. Ce tableau de Michel Dugué peint en 1986 à l'acrylique nous rapporte