Métaphore Océan Mer

moins une tonne de charge. Ce ne sont là que des métaphores, pour donner au lecteur une idée de la multiplicité des écrits du Cheikh. C’est un peu comme quand le Coran fait allusion à une valeur innombrable, Il le caractérise simplement en disant « des milliers... », Traduit en arabe par « alfun ». Mais l’on ne saurait donner une valeur exacte à ces écrits car il y’a des Qaçidas que le Cheikh a mis en terre, d’autres qu’il a laissés en mer, et d’autres qu’il a préféré ingérer par dissolution

champ, et il me semblait que j’étais comme un arbre plein de sève qui secoue au vent ses feuilles sèches pour se revêtir d’une verdure nouvelle.» (page 177) - «Les malheurs ont leurs symptômes comme les maladies, et il n’y a rien de si redoutable en mer qu’un petit point noir à l’horizon.» (page 178) - «Comme le zinc, ce demi-métal, tiré de la veine bleuâtre où il dort, fait jaillir de lui-même un rayon du soleil en approchant du cuivre vierge, ainsi les baisers de Brigitte réveillèrent peu à peu dans

1882 : Torquemada 1886 : Théâtre en liberté (à titre posthume) Romans : 1818 : Bug-Jargal 1823 : Han d'Islande 1829 : Le Dernier Jour d'un condamné 1831 : Notre-Dame de Paris 1834 : Claude Gueux 1862 : Les Misérables 1866 : Les Travailleurs de la mer 1869 : L'Homme qui rit 1874 : Quatrevingt-treize Poésies : 1822 : Odes et poésies diverses 1824 : Nouvelles Odes 1826 : Odes et Ballades 1829 : Les Orientales 1831 : Les Feuilles d'automne 1835 : Les Chants du crépuscule 1837 : Les Voix

dernières nouvelles et leur dépeint un pays extraordinaire, la Bétique. Le fleuve Bétis coule dans un pays fertile et sous un ciel doux, qui est toujours serein. Le pays a pris le nom du fleuve, qui se jette dans le grand Océan, assez près des Colonnes d’Hercule1 et de cet endroit où la mer furieuse, rompant ses digues, sépara autrefois la terre de Tharsis2 d’avec la grande Afrique. Ce pays semble avoir conservé les délices de l’âge d’or. Les hivers y sont tièdes, et les rigoureux aquilons3 n’y soufflent

l'objet d'une étude d'Anne Ubersfeld, "Avec Hugo", Cahiers de L'Herne. Jean Vilar, 1995. 1 Après avoir présenté dans ses grandes lignes chacune de ces trois mises en scènes, nous repèrerons plus en détail et de manière transversale les grandes métaphores obsédantes déployées par les scénographes de Vitez pour mettre en œuvre l'imaginaire hugolien ; nous verrons ensuite comment la distribution et la direction d'acteurs orientent la compréhension de l'intrigue vers un brouillage des modèles actantiels

Quand tu m’as annoncé que tu t’en allais Tu es partie malgré mes pleurs Mais tu es toujours restée dans mon cœur. Ce poème a été écrit par Juliette Boué quand elle n’avait que 12 ans. Chloé et elles se sont rencontrées en Guadeloupe d’où la métaphore « sur un papillon ». (La Guadeloupe étant comparée à un papillon par sa forme). Quand Chloé a quitté l’île, Juliette en fût bouleversée. Ce poème exprime bien la tristesse que peut provoquer le départ d’une personne chère. J’attends que tu me

ville disparue à la fois historique et légendaire. Selon la légende, les dieux grecs Poséidon et Apollon ont bâti les murailles insurmontables de Troie pendant le règne de Laomédon. Troie aurait été située à l’entrée de l’Hellespont, non loin de la mer Égée en Troade, en Asie Mineure, dans l'actuelle Turquie, à Hissarlik (voir fig. 2). L’archéologue amateur allemand Heinrich Schliemann prétend avoir découvert les ruines de Troie en 1887. Même si on ne peut être absolument certain que Troie a

l'Etna qu'il évoque si bien dans son récit. Il convient cependant de tout d'abord rappeler la symbolique que la tradition littéraire donne au volcan: le feu, mais celui de l’âme, un sentiment qui couve, prêt à exploser. René, apparaît ainsi comme la métaphore parfaite du trouble qui habite son âme et qui le pousse à s'en aller loin des gens. Ainsi comme le volcan, notre héros a les « entrailles brûlantes » ; ses passions menacent de s’extérioriser à tout moment. Il est tourmenté par ce feu intérieur qui

que j’étais comme un arbre plein de sève qui secoue au vent ses feuilles sèches pour se revêtir d’une verdure nouvelle .» (page 177) - « Les malheurs ont leurs symptômes comme les maladies, et il n’y a rien de si redoutable en mer qu’un petit point noir à l’horizon. » (page 178) - « Comme le zinc, ce demi-métal, tiré de la veine bleuâtre où il dort, fait jaillir de lui-même un rayon du soleil en approchant du cuivre vierge, ainsi les baisers de Brigitte

mort. Ridicule de ses propos : adjectif « joli » qui connote une certaine naiveté dans la mesure ou ce paysage = paysage de mort. Jeu de mots « un endroit qui vous met l’eau à la bouche d’une noyade » : proximité du mot « noyade » et de la métaphore figée « l’eau à la bouche » qui met en avant le grotesque du personnage. Moquerie de son personnage + raillerie du romantisme Fin du passage mettant en evidence la volonté du personnage de repousser sa mort : il s’accroche à un souvenir pour