Métaphore Océan Mer

coupés avec une grande hardiesse pour l’époque. La répétition d'«oublier» est d’une grande habileté rhétorique. Dans la strophe suivante, les lieux où l’amour s’est épanoui sont célébrés par toute une série de métaphores. L’évolution et la qualité des passions sont rendues à travers la métaphore péjorative des «histrions», comédiens ambulants et cabotins : le «masque» représente la duplicité et le «couteau» la vengeance. Les vers 99 et 100 sont remarquables par l'harmonie imitative qui rend la montée

décor. Afin d'interpréter cette abondance de dialogues répétitifs, voyons l'image structurante de la frustration des citadins. Après l'introduction du prétexte du conte, le deuxième chapitre s'ouvre sur une métaphore à la fois banale et sibylline, celle de " loqueteux [...] perdus dans cet océan : une eau potable contenue cherchait à se vider dans un autre bassin propre " (125). On se souvient de la fillette Adjibidji qui cherchait " ce qui lave l'eau " dans Les Bouts de bois de Dieu et qui découvrait

chaque poème comment vous savez qu’il s’agit d’une femme particulière. Le serpent qui danse : Que j’aime voir, chère indolente, de ton corps si beau, Comme étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux acres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s’éveille Au vent du matin, mon âme s’appareille, Pour un ciel lointain. Tes yeux, ou rien ne se révèle De doux ni d’amer, Sont deux bijoux froids ou se mêle L’or avec le

dieu hostile. Le décor est immobile (plage), mais semble pourtant en mouvement, impression donnée par les nombreuses métaphores et personnification de la mer et de la plage : ( « la mer a charrié un souffle épais et ardent», la plage est « vibrante de soleil ») Le décor est ainsi un pge à part entière, un personnage puissant, identifiable à un dieu hostile.   NB : Etrange : la mer, pour Meursault, peut se :montrer bienveillante, favorisant la sensualité (les bains avec Marie) ou poussant le protagoniste

montrer que le personnage est entouré d'un cadre qui va joué sur son destin. Une nature hostile Le décor est composé d'une plage , c'est un décor immobile mais il va être mis en mouvement cette impression est montré par les métaphores et personnification de la mer «  le murmure de son eau » « une plage vibrante de soleil » « le bruit des vagues », ce paysage devient un personnage a part entière. La lumière va troubler la vision de M., ses yeux semble aveuglait et il n'est pas certain de sa

pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures 20 Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; http://www.comptoirlitteraire.com/ 2 25 Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les

sens strict, elle consiste à dire le contraire de ce que l’on veut faire comprendre. Isotopie : « tout réseau sémantique marqué par un système de redondances. [..] On parlera par exemple d’une isotopie de l’oiseau dans un texte bâti sur plusieurs métaphores évoquant, par leurs comparants, les comportements et les formes de la vie de cet animal, même si le mot oiseau n’apparaît jamais ». (J. Mazaleyrat et G.Molinié, Vocabulaire de la stylistique, PUF, « Grands dictionnaires », 1989). Leitmotiv :

pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures 20 Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; 25 Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes

lyrique: - est souvent écrite à la première personne - utilise le vocabulaire des sentiments et des sensations - emploie une ponctuation forte pour traduire les émotions du poète ( ? ! …) - utilise de nombreuses figures de style (comparaisons, métaphores, anaphores, personnification, hyperbole…) - joue sur le rythme et la musicalité du texte grâce aux procédés de versification (rimes, allitérations, assonances…) L’élégie est une forme de la poésie lyrique qui constitue une sorte de plainte

macrocosme du microcosme de la chevelure de la femme aimée. Une métaphore marine : (transfert) Dans ce poème est présent un important champ lexical de la mer assimilant celle-ci à la chevelure. Moutonnant (v.1); profondeur (v.8) ; voguer (v.9) ; nager (v.10) ; houle (v.13) ; Mer d’ébène (v.14) ; le vers 15 entier ; port (v.16) ; vaisseaux (v.17) ; plonger (v.21) ; noir océan (v.21) ; roulis (v.23) ; bercement (v.25) L’alexandrin s’accord