Métaphore Mort Sommeil

LE MAL ARTHUR RIMBAUD Arthur Rimbaud est un poète français, né le 20 octobre 1854 à , mort le 10 novembre 1891 il a ecrit notament des poemes connu comme le dormeur du val sa vie a ete plutot courte et mouvemente il a etenle precurseur du symbolisme ( prolongement du romantisme par le jeu de expression emotion et image ) il se revolte cotnre les regles sociale et artistique vie en marge de la societe .il ecrit egalement et notamment le mal, poeme et plus particulierement Sonnet, inspiré par

des vivants avec le « là-bas ». Le fait qu’il ne fait plus parti du monde des vivants est confirmé lorsque Garcin emploi le mot « vivre » et que le garçon le reprend avec ironie « vivre… ». Le spectateur comprend confusément que Garcin va subir la mort éternelle sans tortures physiques ce qui est différent de ses attentes. Les rôles des personnages sont aussi confus. Enfin, en lisant les didascalies nous pouvons connaitre le nom des deux personnages. L’un se prénomme Garcin l’autre est désigné par

plus voir la fausse vérité que nous montrent nos yeux et pour ne plus voir ses crimes. Il maudit également ses deux fils pour ne pas s'être occupé correctement de lui. Sa mère et épouse, elle, se suicide en apprenant l'inceste. A la suite de la mort de leur père, Etéocle et Polynice obtiennent tous deux le trône, qu’ils doivent se partager à tour de rôle. Après un an de règne, Etéocle refuse de céder le trône à son frère, et celui-ci lève donc une armée pour le lui prendre. Les deux frères vont

une valeur morale. En rendant sa parole offensive, Dom Juan renverse les principes de la vie amoureuse : en effet, les expressions péjoratives appliquées à la fidélité abondent dans son discours : la métaphore de la mort « s’ensevelir dans une passion » et le terme « mort », repris par celle du sommeil « nous nous endormons dans la tranquillité » associe clairement l’idée de fidélité avec la perte de la vie. Par opposition, de nombreuses dénominations appréciatives qualifient l’inconstance qui apparaît

|Des forets qu’elle dessine | |Je suis le gardien |Je l’aime à mourir | |Du sommeil de ses nuits |Elle porte des rubans | |Je l’aime à mourir |Qu’elle laisse s’envoler

PREMIÈRE PARTIE Le Horla, Guy de Maupassant Extrait 1 (p. 8) Repérer et analyser 1. a. Le récit est mené à la première personne du singulier. b. La date mentionnée au début du texte est le 8 mai, date de la mort de Gustave Flaubert, grand ami du jeune Maupassant. La nouvelle se présente sous la forme d’un journal intime, destiné au seul narrateur. Jamais il n’évoque la possibilité de le montrer à quiconque. En fait, le véritable destinataire est le lecteur. c. Dans la mesure où le diariste relate

1 Madame Patricia Louette Quatrième cours – lundi 14 février 2022 LGC – littérature – TD de tronc commun L1 – Semestre 2 – groupes L2LM14T04 & L2LM14T05 patricia.louette@orange.fr ______________________ Sommaire ______________________ Tutorat suite ■ Correction du DM • Grille de notation du commentaire composé Repérages sur le texte 3 de Chamisso ■ Dostoïevski (1821-1881) • Biographie • Genèse du Double • Résumé du Double Repérages sur le texte 4 de Dostoïevski

pour décor un cadre lui-même grandiose, formé par les collines qui encadrent la vallée de la Viorne : « le large amphithéâtre qui monte de la rivière à Plassans […] cascade gigantesque sur laquelle coulaient les bleuâtres clartés de la lune ». Les métaphores de l'amphithéâtre et de la cascade font de ces murailles éclairées par les reflets de la lune, un magnifique mur de scène naturel. Mais, dans ce contexte nocturne et hivernal, c'est un spectacle assez effrayant, car il surgit dans la « paix morte

Dans ce discours direct il demande à l’amour de faire ce que les amants ne sont plus capables de faire (« Nous » est opposé à « toi » aux vers 73 et 74). Le poète crie ainsi à l’amour de se souvenir (très belle métaphore de « la forêt de la mémoire »), il lui dit de retrouver le goût de surprendre l’autre (78,80), de renouveler les signes d’amour et de paix (« tends-nous la main »). L’amour doit faire ce que les amants ne font plus. C’est à ces conditions seulement




Etude du poème :

1) Le poète éveillant la nature.

Avant le passage du poète :
=> La nature est morte : chp.lex. de l’inertie, de la mort : « rien ne bougeait », « morts », « ombres ». Ce chp.lex. est ici utilisé par R. pour montrer à quel point la nature est immobile, sans vie.

=> Les ombres de la nuit son ici assimilées à l’inertie, par extension à la mort, de plus les phrases sont négatives « rien ne bougeait » , « ne quittait pas ». Le poète insiste ainsi encore sur l’immobilité, l’absence