Métaphore Mort Sommeil

vents abandonné, Le toit pende en lambeaux sur le mur incliné; Que les fleurs du tombeau, les mauves, les épines, Sur les parvis brisés germent dans les ruines! Que le lézard dormant s'y réchauffe au soleil, Que Philomèle y chante aux heures du sommeil, Que l'humble passereau, les colombes fidèles, Y rassemblent en paix leurs petits sous leurs ailes, Et que l'oiseau du ciel vienne bâtir son nid Aux lieux où l'innocence eut autrefois son lit! Chant d’espoir Ah! si le nombre écrit sous l'œil

le scandale que représente la mort violente d’un jeune soldat, le poète propose au lecteur une marche lente et progressive vers le drame, tandis que le nouvelliste décrit crûment, avec moult détails, des lieux dévastés et les affres des luttes armées. À l’évidence, ces deux manières si dissemblables d’exprimer leur désarroi sont par ailleurs tout aussi efficaces l’une que l’autre. D’abord, dans l’intention de mieux faire ressortir le scandale que représente la mort violente d’un soldat, le poète

publié en 1857 qui rassemble des poèmes écrits par Charles Baudelaire. C'est un poète qui se situe à la croisée de la poésie classique, romantique et parnassienne. La poésie classique et romantique traite de thème comme « le temps qui passe » « la mort » « l'importance du moi » et la poésie parnassienne centre son intérêt sur la qualité esthétique, une cherche de la perfection des vers dans des vers en alexandrins et des poèmes à formes fixes. Il est le précurseur de la modernité dans la Poésie puisqu'il

Guerre de Napoléon III, Rimbaud a déjà commencé à lancer sur sa ville natale et sur le monde un regard critique. Il a de plus déjà fait des fugues et en 1870, il s'enfuit à Paris au lieu de passer son bac. Rimbaud méprise le nationalisme et dénonce la mort de jeunes hommes qui deviennent la chair à canon de la guerre. C'est ce sentiment de révolte qui lui inspire Le Mal et Le dormeur du val. Ce sonnet qui est essentiellement descriptif conduit le lecteur, à partir d'un titre sans ambiguïté, sur une piste

précise? non. • Autres personnages: Aucun, le personnage est seul. mention de "jeunes filles" qui font référence à son passé, mais aucune mention de personnages "familiers".  Intrigue et enjeu: • Intriguel: "Condamné à mort" (l. 1), Le personnage attend sa condamnation à mort. pourquoi est-il condamné? Mystère. • Enjeu: Présenter cet homme comme une victime (lexique fortement connoté). Sorte de journal intime fictif, donc énoncé romanesque en focalisation interne. De ce fait, le lecteur n'a

cochon » car sa sœur, Louisette, avait été sa victime. Chapitre III Tôt le lendemain matin, une fois rentré au Havre, Roubaud reprend son service. Il est agité car il sait qu’une dépêche va annoncer la nouvelle de la mort du président. Il écoute distraitement les consignes de son collègue qui avait fait le service de nuit : une voiture (celle dans laquelle le crime a été commis) doit rester à quai, en réserve. Puis il erre, impatient, dans la gare. Ceux qui le croisent

du voyant. → Marques de prosaïsme mêlées aux éléments poétiques → Attrait pour le monde de l’enfance, le roman d’aventures → Importance des correspondances horizontales (synesthésies) et verticales (lien concret / abstrait) → Travail sur la métaphore et le réseau d’images dévoilant l’invisible. Esthétique de la surprise, cf. « dérèglement  de tous les sens ». → Tendance à l’hermétisme liée à la recherche d’une langue nouvelle qui traduit les visions du « voyant ». Type de texte : Narratif :

une catharsis des sentiments ) et dans trois paragraphes commençant par des connecteurs les arguments suivants : 1. une mort inévitable / comparaison avec la vie de sa mère ( attente de la mort ) anaphore de la bas , adv aussi , prêt à revivre 2. se libérer de ses sentiments ( faire une catharsis ) - sentiments incontrôlés et violents 1re perso / métaphores : crever et déverser - violences verbales et brutalité cf les verbes insulter et crier , -

abandonnés. La rêverie en tant que genre est une extension du rêve, qui s’est fait connaitre quand Diderot a utilisé Le Rêve de d'Alembert comme titre du deuxième et très poétique des trois dialogues qu’il a écrit en août 1769, quand sentant la mort venir, il eut enfin de le temps de revenir à la philosophie. Le dialogue est probablement le plus imaginatif des travaux de Diderot, et aussi celui qui unit avec le plus de succès littérature et philosophie. Il traite de l’éveil de la sensibilité pour

|évocation négative | | |Vue : «rouge» | | |Champ lexical du sommeil |« Dort », « étendu », « fait un somme », « lit » « il dort»|Explication | | | |On croyait