Métaphore Du Cerveau

visualisation, images mentales) Substrat neuronal - Pendant longtemps : mémoire = apanage de certaines structures cérébrales précises (ex. amygdale) - Aujourd’hui : la mémoire = apanage du fonctionnement entier du système nerveux central (cerveau) - Exemple : la récupération de connaissances à propos • Mots impliquant une action motrice (ex. pédaler, sauter) cortex moteur et pré-moteur impliqués dans la réalisation motrice de ces actions • Connaissances à propos de la couleur (ex. pelouse

processus dynamique. Deux théories s'affrontent sur la qualification de l'identité : la théorie cognitiviste et la théorie psychosociale. Pour les Cognitivistes, héritiers du Behaviorisme, l'identité repose sur des structures de connaissance dans le cerveau qui sont stimulées par l'interaction sociale de la personne et qui exécutent des tâches cognitives. Ces "mécanismes" cognitifs seraient "les rouages" de l'identité. Personnellement, je suis quelque peu révulsé par la théorie cognitiviste, bien que

organisations, propose une grille de lecture utilisable par les chercheurs et les managers. Afin de mieux comprendre les organisations, Morgan propose l’utilisation de métaphores [2]. Selon cet auteur, les théories de l’organisation reposent sur des images implicites qui nous éclairent sur les organisations. En fonctionnement par analogie, les métaphores vont permettre de mettre en avant les similitudes pouvant exister entre l’organisation, d’une part, et l’image employée, d’autre part. En complément, des distorsions

évidemment la force nazie. « Ces esclaves nos ennemis », ce sont les Allemands qui se conduisent en esclaves soumis à Hitler. « S’ils ont compris S’ils sont capables de comprendre », c’est-à-dire : s’ils ne sont pas trop abrutis par le "lavage de cerveau" de la propagande nazie et qu’ils sont encore capables de comprendre. Ils « Vont se lever » pour s’enfuir. 2- Demain. Demain . . . âgé de cent mille ans, j'aurais encor la force De t'attendre, ô demain pressenti par l'espoir. Le temps,

tombait de partout et nos visages étaient tellement racornis que chacun de nous avait l'air de porter un masque. Et ce masque nouveau qui nous collait au visage, qui se rétrécissait, nous comprimait le crâne, nous meurtrissait, nous déformait le cerveau. Coincées, à l'étroit, nos pensées s'atrophiaient. Nous avons choisie se roman poétique et surréaliste pour le voyage intérieur que fait le narrateur Moravagine est une histoire qui tient aussi certainement de la volonté de Cendrars d’exorciser

sorte que la voix par exemple n’est pas simplement entendue mais aussi touchée, vue ou goûtée ou que les lettres écrites en N/B sont perçues en couleur ou bien vont générer des émotions. Cela va au delà de la simple métaphore du type “couleur chaudes” ou “sons brillants” ou encore “voir rouge” quand on est en colère. Définition : Une stimulation donnée (l’inducteur) provoque une sensation additionnelle (le concurrent ou co-current) : Stimulus

péché et de la damnation. L’ouvrage est divisé en six sections, de très inégale longueur. Les titres sont thématiques, constitués à partir d’un objet volontiers symbolique (« Le vin »), d’une attitude morale ou métaphysique (« Révolte » ou d’une métaphore picturale, au réalisme trompeur (« Tableaux parisiens »). Ces sections peuvent être considérées comme les étapes d’un voyage explorant la misère de l’homme. * Le poème initial (hors section), « Au lecteur », montre l’homme en proie à tous les

: Just what is it that makes today's homes so different, so appealing ? 1956 Hamilton se déguise en « Marseillais » (la casquette ?). Attend-il un pastis ? L’artiste insiste sur l’effet de contamination que la publicité peut produire sur notre cerveau… Première Partie PRESENTATION   RICHARD  HAMILTON   LE  PERE  DU  POP  ART   LE  POP  ART   L’ŒUVRE  «  QU’EST-­‐CE  QUI  PEUT  BIEN  …  ?  »   DESCRIPTION  SOMMAIRE   LE

« Spleen »[], a exprimé lui aussi ce curieux sentiment (Romances sans paroles, 1874), tout comme Jules Laforgue dans son recueil du même nom (Les Complaintes[], 1885), ainsi que Hector Berlioz dans ses Mémoires, qui l'a lui expliqué à l'aide d'une métaphore filée utilisant une expérience chimique avec de l'acide sulfurique Les Fleurs du mal eut trois titres successifs : - "Les Lesbiennes" en 1845 => référence à Sapho, poétesse grecque qui enseignait les arts à des jeunes filles sur l'île

Capharnaüm. D'après la prophétie d'Esaïe, Capharnaüm verrait un jour apparaître une grande lumière divine. Jésus s’y rendit donc. Évidemment, le pieux gourou attira une foule monstre devant la maison de ses hôtes. Voilà un premier point qui clarifie la métaphore qui compare le capharnaüm à Capharnaüm; le chaos, le désordre des gens, l’amoncellement, la cohue… Jusqu’ici pourtant, Capharnaüm est synonyme de lumière et non d’ombre. En fait, et sans entrer dans les détails, ce revirement de situation est dû