Métaphore Du Cerveau

bébés réalisent sans difficulté l'addition 1 + 1 = 2, ainsi que la soustraction 2 - 1 = 1 (4). Cette capacité numérique a aussi été démontrée par Marc Hauser, de l'université de Harvard, chez les grands singes qui ont, comme les bébés humains, un cerveau sans langage (5). Dans l'étude de K. Wynn, on présente aux bébés un petit théâtre de marionnettes (des figurines de Mickey) où sont réalisés sous leurs yeux des événements possibles (par exemple 1 Mickey +1 Mickey = 2 Mickey) ou magiques (1 + 1 =

sentiment que le Spleen gagne les habitations, les refuges possibles, puisqu’il touche aux « murs » (v 7), aux « plafonds » (v 8). Nous avons relevé le champ lexical de la prison au vers 5, mais celui-ci s’étend à la strophe suivante où nous relevons la métaphore « d’une vaste prison imite les barreaux » (v 10), avec enjambement sur les vers 9 et 10 et inversion du sujet qui place l’élément important, « les barreaux », en fin de vers.  Le ruissellement Le Spleen, enfin, s’infiltre, il dégouline par la pluie

surréalisme ? Dès la fin du XIXe siècle, certains artistes peuvent apparaître comme les annonciateurs du bouleversement qui donnera naissance au surréalisme. Par exemple, lorsque Charles Baudelaire écrit : « Nous voulons, tant ce feu nous brûle le cerveau, / Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu'importe ? / Au fond de l'Inconnu pour trouver du nouveau ! » (Le Voyage, 1861), il pose des jalons pour une recherche poétique future. De même, Alfred Jarry, avec sa pièce Ubu roi (1896), bouleverse

hommes parviennent à sortir de la minorité, les femmes, elles, ne peuvent y parvenir. Nous noterons l’ironie de Kant lorsqu’il parle de la « bonté » des tuteurs, qui veillent à ce que leurs mineurs restent bien toute leur vie durant à leur côté. La métaphore avec le bétail dans la phrase d’après correspond parfaitement à la situation : les mineurs enfermés dans leur propre corps, gardés par les tuteurs qui s’emploient à les conforter dans leur idée que leur situation est confortable ; « domestique »

la poésie après son maitre Mallarmé.Le recueil "Charmes" sera l'un des derniers de Valéry qui s'intéressera à la pensée pure, à la philosophie et aux mathématiques. Comme chez Mallarmé le poème est codé, il contient un mystère à déchiffrer. La métaphore principale du poème est celle de relever le principe de la poésie,"sa secrète architecture".On a donc un objet naturel et une étude sur la pensée que Valéry appelait pour "Charmes","Une tragédie de l'esprit". Le poème progresse, commence par deux

« Vers le palais » (v.1), « on voit venir » (v.5), Etapes intermédiaires : Descriptions du cadre, des éléments le composant (v.6-18) Prise de parole (v.19-24) Enumérations de faits (v.26-30) Fin : Comparaison entre viande et pensées Cerveau et mets Vocabulaire Champs lexicaux : * Rêve, imaginaire * Pensées * Nourriture * Les 5 sens : toucher (v.9), gout (v.11-12), vue (v.16), odorat (v.26), ouïe (v.40) *Stigmate : trace, empreinte *Archer : tireur à l’arc *Résine :

est aussi cette touche qui fait que quiconque appréciera le packaging de son iPod au point d’hésiter à le jeter. Plus simplement, l’ergonomie c’est ce lien entre l’outil et le cerveau, appréciable et difficilement explicable autrement que par une phrase du type : « c’est bien pensé …». C’est bien cette relation entre le cerveau et l’ergonomie à la quelle nous allons nous intéresser, plus précisément c’est la question de la place de la psychologie cognitive dans l’ergonomie. Alors que les supports de

« légèrement » l.40 ; « vivement » l.29 ; « si profondément » l.52 ; « encore » l.51 3) Un point de vue scientifique * Champ lexical des sciences « scientifique » l.28 ; « la vue scientifique » l.27 ; « création » l.26 « philosophe » l.27 ; « cerveau » l.35 * Le « galvanisme » l.49 : phénomène produit par le courant continu sur certains organes = diagnostic médical. III) Un nouveau monde, reflet des contradictions du personnage. 1) La création d’un nouveau monde par Balzac.

première a une image de statue, elle semble presque inhumaine, une image préconçue de la féminité mais perd de son humanité. L’autre en comparaison semble plus humaine. -Pour continuer sur le côté préconçu de la femme, au vers 27, nous retrouvons une métaphore «Le luxe et la beauté ne sont que son écume ». L’écume représente ici la superficialité de cette inconnue issue de la haute société, comme l’écume n’est que le dépôt ou la fine couche illusoire ou apparente de la mer. -Au dernier vers, on trouve

l'espace et soulignent « étalé ». De plus on remarque qu'il s'agit d'un processus intérieur et extérieur dans la mesure où le vers 8 est complété par le vers 12 « se cognant la tête à des plafonds pourris / Vient tendre ses filets au fond de nos cerveau ». Le sujet subit donc une double agression à laquelle il ne peut se soustraire. Les strophes 2 et 3 viennent consigner l'universalité de l'inclusion à laquelle l'individu ne peut échapper. Le bestiaire lui même est connoté négativement « chauve souris