Métaphore Dans Midi

sueur de ton travail Le travail de I` esclavage L`esclavage de tes enfants Afrique dis-moi Afrique Est-ce donc toi ce dos qui se courbe Et se couche sous le poids de l’humilité Ce dos tremblant à zébrures rouges Qui dit oui au fouet sur les routes de midi Alors gravement une voix me répondit Fils impétueux cet arbre robuste et jeune Cet arbre là-bas Splendidement seul au milieu des fleurs Blanches et fanées C`est I` Afrique ton Afrique qui repousse Qui repousse patiemment obstinément Et dont les fruits

Auriez-vous l’obligeance de me dire où habite le syndic ? – Pourriez-vous me dire ... – Où habite le syndic, je vous prie ... – S’il vous plaît ... 2. « [il] cracha dans la fontaine en passant » (l. 35–36) : le geste de l’étranger est une forme de métaphore. Il traduit sa réponse à l’hostilité et au mépris des villageois. L’homme salit l’eau. Ce geste peut aussi exprimer sa déception, sa frustration. Il n’a pas obtenu ce qu’il voulait. 3. Le narrateur ne mentionne pas les sentiments de l’étranger. Le

amoureux). "Fantôme sans os" l'impression de Ronsard vie encore, mais sans corps. Dans ce texte, il est énormement question de la fuite du temps. C. La mort omniprésente: "Le soir" est une métaphore très connue de la fin de vie ( exemple: l'énigme du sphynx à Oeudipe; le matin je marche a 4 pattes, le midi à 2, le soir à 3). Référence églemebt au Parques de la mythlogie ( femmes avec la laine symbolisant la vie...). autres symbole de la mort: la chandelle, lorsqu'elle s'étaint il n'y a plu de flamme

La nourrice, les gardes…) Indications temporelles: -Quatre heures du matin (première tentative d’Antigone d’enterrer le cadavre de son frère) -Midi (deuxième tentative d’Antigone) -Cinq heures (fin de la pièce) Les thèmes : La solitude, le bonheur, l’enfance et le devoir Figures de style : Des personnifications, des comparaisons, des métaphores, des antiphrases,…… Temps des verbes : Temps dominant : le présent. Emploi du conditionnel : scène Antigone et Hémon. Des notes sur la tragédie :

pour une série de conférences à Boston, Chicago, Philadelphie, Madison, Hartford... Le Corbusier fait le parallèle entre la France des bâtisseurs de cathédrales en l’an mil et les États-Unis des années 30. Entre la pureté blanche des cathédrales, métaphore de la vitalité de l’époque qui a repoussé les limites techniques pour créé des formes nouvelles, « gratte-ciel de Dieu » prouesse et symbole de l’époque, et entre les villes nouvelles des U.S.A., leur quartier d’affaires hérissé de tour plus haute

ne peut pas revenir en arrière ; c’est un nouveau concept qui voit le jour. Par exemple durant sa conférence à Lausanne en 1924, Le Corbusier a essayé de démontrer la théorie de l’empathie physique en mettant en avant la notion du paysage comme métaphore de création architecturale. Afin de montrer la pureté de l’architecture romane face la complexité de l’architecture gothique, il les avait comparées au paysage environnant et il avait conclu que la culture franco-suisse était meilleure que la culture

) Les correspondances sont des synesthésies. Elles sont d’abord horizontales (de sens à sens) et elles peuvent être verticales. (un objet concret ou un impression peuvent être liés à un concept abstrait). D’où les nombreuses métaphores. La nature est un temple. La métaphore est filée avec le terme piliers, puis le terme arbre. .  »On peut retrouver le fil conducteur du texte et la relation entre les strophes. Le premier quatrain définit une situation, celle d’ l’homme dans la nature, et leurs rôles

Catherine à l'écouteur, Yvan, me dit ma mère, tu as jusqu'à présent mené ta barque de la manière la plus chaotique qui soit et parce que, subitement, tu entreprends de développer une activité conjugale, je me trouve dans l'obligation de passer un après-midi et une soirée avec ton père, un homme que je ne vois plus depuis dix-sept ans et à qui je ne comptais pas exposer mes bajoues et mon embonpoint, et avec Yvonne qui, je te le signale en passant, a trouvé moyen, je l'ai su par Félix Perolari, de se

ruche : le magasin semble avaler son personnel. Il semble également avaler le quartier tout entier : "un développement sans fin". Il semble même de dimensions infinies : "fuite de perspective". Une sorte d’ogre prêt à tout dévorer, même les gens (métaphore de la nourriture qui sera par la suite amplement développée dans le roman). Conclusion Le contrat est rempli : présentation des éléments spatio-temporels et début d’histoire : le lecteur est impatient de savoir ce que les personnages viennent faire

Adresse directe : le lecteur se sent concerné (emploi du « je ») • Références sensorielles : ouïe (Armstrong), odorat (fumée du crématoire), vue (regards) • Répétitions, insistance, développement de ses idées • Figures de style : métaphores, paraphrases, analepses, ellipses • Citations de beaucoup d’écrivains et de poètes : Aragon, Primo Levi, Malraux, Vallejo, … 4. Image du camp Semprún nous donne une image de Buchenwald très paradoxale. Il est très traumatisé par